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URBAN DEVELOPMENT

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Revue mensuelle de l'urbanisme français. Opportunities for Internet of Things (IoT) in Smart Buildings. Frost & Sullivan focus on primary research to guarantee up-to-date information, direct from key players in the market. TOC Development:The analyst team starts by performing secondary research on the topic to design the table of content of the study. Often, the team also performs a few calls with leading industry players to confirm the market segmentation that should be adopted in the study. Questionnaire Development:The analyst team starts by designing the research questionnaire.

The questionnaire is typically sent to the companies prior to the interview. This is critical, as it enables the interviewees to prepare for the interview. Also, in large organizations, our contacts may need to obtain information from various groups. Contact List Development:Using proprietary databases and inputs from market participants, Frost & Sullivan develops a list of potential interview contacts for primary research. Smart Cities : Toute l'actualité sur Le Monde.fr.

LAND USE

De l’espace usinier aux nouveaux territoires urbains. 1Dans le cadre de processus de reconversion et/ou de « requalification » de friches industrielles et portuaires, quelles sont les interactions possibles entre traces industrielles, groupes sociaux, et projets urbains1 ? Quels sont les discours, les dispositifs, les images mis en œuvre, que ce soit dans le domaine de ce qui est construit comme « patrimoine industriel » ou celui du « projet urbain » pour pallier l’absence de ce qui a souvent contribué à structurer l’espace social et urbain et ses pratiques. 2Après une présentation de la genèse de ce travail (Cf. tableau 1), trois thèmes de recherche en cours seront développés : les rapports entre trace urbaine et mémoire collective ; l’usage de la figure du concepteur urbain, ici un « grand architecte » (Dominique Perrault), par les maîtres d’ouvrage et les usages du projet urbain ; les aspects reliant projet urbain et appropriation sociale des espaces.

Tableau 1 : Lieux et thèmes de la démarche. Remarques préliminaires. 1La synthèse que C. Hamnett a publiée en 1991 dans les Transactions of the Institute of British Geographers* sur les processus et les facteurs de la gentrification constitue, à notre connaissance, le bilan le plus complet et le plus approfondi proposé à ce jour sur cette question. Certes, depuis lors, les débats théoriques se sont poursuivis. C’est pourquoi il a paru important de mettre à la disposition des lecteurs français une traduction de cet article, certes un peu daté déjà, mais si riche qu’il est beaucoup plus facile de découvrir les développements plus récents, munis des solides points de repères sur les théories en présence proposé dans ce texte.

C. Hamnett est l’un des géographes britanniques les plus renommés sur les problèmes de ségrégation, sur l’évolution du parc de logement et ses effets sur les transformations socio-démographiques du grand Londres. 3Passons au cœur de l’affaire. Territoire et exclusion : des mots de l’État-providence et des maux de la société civile. 1Ce texte a une triple ambition, beaucoup plus modeste que son titre : celui de prolonger le débat engagé par Nicole Mathieu en reprenant certains thèmes et en les précisant, celui d’apporter quelques remarques et brèves mises au point en guise de réponse provisoire, enfin celui de passer le relais, en quelque sorte, à d’autres chercheurs. Nicole Mathieu souhaitait que je réagisse sur son texte : j’ai reçu ce texte comme une série d’interrogations de fond, si lourdes qu’il n’est pas question ici d’y répondre de manière vraiment approfondie.

Et ce texte se fonde surtout sur les travaux originaux menés par N. Mathieu sur l’exclusion en milieu rural ; donc je reprends ici le relais, en posant d’emblée que l’exclusion est un champ de recherche que je connais mal, mais dont les facteurs qui l’engendrent ne me sont pas inconnus, du moins pour ce qui concerne le champ urbain. 2Le terme d’exclusion n’est pas un concept, au sens strict. S. 8La question de N. 5 | 1990 Conjuguer stratégies et territoires ? Pernette Grandjean, Raymonde Ladefroux et Nicole Mathieu1 Martine Berger, Jacques Brun, Jeanne Fagnani, Pierre Beckouche, Jacques Lévy, Nicole Mathieu, Michel Rochefort, Michelle Guillon et Yvan Chauviré Christiane Chauviré et Yvan Chauviré Catherine Paix et Michèle Petit Michel Rochefort, Catherine Paix, Jacques Lévy, Michèle Petit, Yvan Chauviré, Martine Berger, Françoise Plet, Nicole Mathieu, Pierre Beckouche et Jeanine Cohen Nicole Mathieu, Catherine Paix, Jacques Lévy, Marie-Claire Robic et Michel Rochefort Michel Rochefort, Nicole Mathieu, Chantal Balley, Françoise Plet, Marie-Claude Guerrini, Yves Luginbuhl, Catherine Paix, Catherine Rhein et Jacques Lévy.

La place de Michel Rochefort dans la recherche urbaine française. 1Le paradoxe de Michel Rochefort est d’être célèbre et relativement méconnu à la fois. Célèbre par ses travaux sur les réseaux urbains et parce qu’il s’est imposé comme le leader d’une géographie « volontaire » soucieuse de donner une application pratique à la recherche. Relativement méconnu, parce qu’il fait partie de ces universitaires qui ont fait passer une grande partie de leur réflexion théorique dans leurs enseignements et leurs directions de recherche, que ses convictions profondes et ses orientations marxistes l’ont souvent mis en porte-à-faux par rapport à l’establishment, et que son œuvre écrite, à la fois ramassée et synthétique, ne permet pas toujours aisément de discerner les principales avancées auxquelles il a personnellement contribué. 3Trois constantes sont à souligner, car elles ont beaucoup contribué à faire avancer la géographie et participent aux grands débats théoriques et méthodologiques qui ont animé les sciences sociales au cours de ce dernier demi-siècle.

L’AUTONOMIE FINANCIERE LOCALE A-T-ELLE UN AVENIR ?