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Philosophie

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Sénèque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sénèque Philosophe occidental Antiquité Statue de Sénèque à Cordoue Sénèque (en latin Lucius Annaeus Seneca), né dans l'actuelle Cordoue au sud de l'Espagne entre l'an 4 av. Conseiller à la cour impériale sous Caligula et précepteur de Néron, Sénèque joue un rôle important de conseiller auprès de ce dernier avant d'être discrédité et acculé au suicide. . « Le souverain bien c'est une âme qui méprise les événements extérieurs et se réjouit par la vertu. » Biographie[modifier | modifier le code] Sénèque (Antikensammlung Berlin). Il était encore très jeune lorsque sa famille vint à Rome, où son père lui donna une éducation soignée.

Il fut le précepteur de Néron : c'est d'ailleurs lui qui composa l'éloge funèbre prononcé par Néron à la mort de Claude, comme il composa, par la suite, bon nombre des discours du nouvel empereur. En 58, Sénèque est diffamé par P. En 62, l'étoile du conseiller philosophe finit par pâlir : — Tacite, Annales, XIV, 52. Ainsi parlait Zarathoustra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ainsi parlait Zarathoustra ou Ainsi parla Zarathoustra, sous-titré « Un livre pour tous et pour personne » (en allemand : Also sprach Zarathustra.

Ein Buch für Alle und Keinen) est un poème philosophique de Friedrich Nietzsche, publié entre 1883 et 1885. Présentation du texte[modifier | modifier le code] Première édition de la première partie (1883) L'allemand autorise à traduire Also sprach Zarathustra par Ainsi parla Zarathoustra. Chaque discours se termine par cette formule (à quelques exceptions).

L'imparfait en français indiquerait une répétition. Le nom Zarathoustra signifie « celui qui a de vieux chameaux » et non comme on l'a cru jusqu'à il y a une trentaine d'années « celui à la lumière brillante » ; c'est le nom avestique de Zoroastre, prophète et fondateur du zoroastrisme, l'ancienne religion perse. . « Tout cela se passe involontairement, comme dans une tempête de liberté, d'absolu, de force, de divinité. . . . « — Hélas ! « Hélas ! Idéalisme (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce schéma très général se décompose en autant d'espèces d'idéalisme qu'il y a de manière de relativiser la réalité au bénéfice d'un quelconque monde conceptualisé ou de la conceptualisation elle-même : Ce tableau des principaux types d'idéalisme appelle deux observations : Ne s'appliquant pas au même objet et pour cause, les postulats de ces idéalismes peuvent être plus ou moins contradictoires.

Il apparaît difficile par exemple de poser la pensée comme seule réalité fiable et d'avancer en même temps l'hypothèse d'une réalité plus transcendantale. Pour Platon, la réalité ne se divise pas en deux espaces, mais il n'existe qu'une réalité de type intelligible (improprement appelée « monde intelligible ») dont le monde dit visible participe et tient sa réalité. Dans le monde visible il faut distinguer ce qui est de l'ordre : Dans le monde intelligible on distinguera : Matérialisme Portail de la philosophie. Amour platonique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine du concept[modifier | modifier le code] Il exprime le fait que ce sont des qualités qui sont aimées dans une personne, et non la personne elle-même. Il faut d'ailleurs éviter l'amalgame simple et facile, selon lequel amour platonique concorde avec philosophie platonicienne.

L'amour platonique est un dérivé apparu bien après, plus par chasteté et peur de la punition divine que par amour philosophique développé par Platon. Théorie du Beau chez Platon : Le premier degré consiste en une attraction charnelle où les plaisirs de la chair l'emportent, première étape sur le chemin de l'amour des idées. Mais elle est en corrélation aussi avec le mythe de l'attelage ailé dans le Phèdre. Interprétation philosophique[modifier | modifier le code] Le concept d'amour platonique désigne dans le langage courant, un amour privé d'accomplissement charnel. L'amour, montre Socrate, est essentiellement désir. Bibliographie sommaire[modifier | modifier le code] Épistémologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épistémologie (du grec ancien ἐπιστήμη / epistếmê « connaissance, science » et λόγος / lógos « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général.

Définition[modifier | modifier le code] L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. Qu’est ce que la connaissance (la question gnoséologique) ? Induction (logique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'induction est historiquement le nom utilisé pour signifier un genre de raisonnement qui se propose de chercher des lois générales à partir de l'observation de faits particuliers, sur une base probabiliste. L'idée de départ de cette conception de l'induction était que la répétition d'un phénomène augmente la probabilité de le voir se reproduire. C'est par exemple la façon dont réagit le cerveau chez le chien de Pavlov. L'accumulation de faits concordants et l'absence de contre-exemples permet, ensuite, d'augmenter le niveau de plausibilité de la loi jusqu'au moment où on "choisit" par souci de simplification de la considérer comme une quasi-certitude : ainsi en est-il du deuxième principe de la thermodynamique.

On n'atteint jamais la certitude "complète" ; tout contre-exemple approprié peut remettre "immédiatement" cette « loi » en cause. Mais la définition précédente est assez impropre. L'âne, le mulet, le cheval vivent longtemps ; (fr) Inférence. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'inférence désigne les actions de mise en relation d'un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité, sous la forme d'une proposition appelée conclusion[1]. Dans sa définition classique, l'inférence est une opération logique portant sur des propositions tenues pour vraies (les prémisses) et concluant à la vérité d'une nouvelle proposition en vertu de sa liaison avec les premières.

C'est pourquoi l'inférence est souvent réduite à la déduction nécessaire dans laquelle la vérité des prémisses assure totalement la vérité de la conclusion. Exemples[modifier | modifier le code] L'inférence implique le recours à l'interprétation, peu importe qu'il y ait une suggestion. Le principe est, quand on fait une inférence, que l'on rajoute une information à celle(s) fournie(s) . « Imaginez, vous vivez en famille dans une maison. En pragmatique linguistique[modifier | modifier le code]