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Monnaies alternatives locales : pile ou face ? La Grèce va-t-elle enfin sortir de l’Euro ?

Monnaies alternatives locales : pile ou face ?

En tout cas, la ville de Volos, à mi-chemin entre Athènes et Thessalonique, est prête. Enfin, presque. Il y a quelque mois, un système d’échanges locaux (Sel) a en effet vu le jour dans cette ville portuaire de quelque 140 000 habitants. Le projet implique un millier d’adhérents pour qui le temps remplace désormais l'argent comme moyen d’échange : je donne une heure de cours de guitare à en membre du Sel, j'ai droit en retour à une heure d'un service de la part d'autres membres. Si au lieu de noter les heures de services rendus sur un compte, je reçois des coupons (les Tems, à Volos), je peux également m’en servir pour acheter des biens et services auprès de commerces et d’entreprises membres du réseau. Le temps, c’est de l’argent En Grèce, on recense une quinzaine de Sel actifs ou en cours d’activation depuis que la crise frappe et les plans de rigueur se succèdent.

Au Nord, on frappe sa monnaie. Monnaies locales : pile ou face ? (deuxième partie) Lire aussi sur cafebabel.​com la pre­mière par­tie de ce pa­no­rama consa­crée aux mon­naies lo­cales En France, pas moyen d’ar­rê­ter la planche à billet.

Monnaies locales : pile ou face ? (deuxième partie)

De­puis 2009 et le lan­ce­ment de « L'abeille » à Vil­le­neuve-sur-Lot et de « L'Oc­ci­tan » à Pé­ze­nas (Sud de la France, ré­gion Lan­gue­doc-Rous­sillon, ndlr), des mon­naies lo­cales au ca­rac­tère bien gau­lois poussent comme des cham­pi­gnons. Réunie au sein d’un ré­seau, elles par­tagent la ca­rac­té­ris­tique d’être « fon­dantes », à sa­voir qu’elles perdent de leur va­leur au fil du temps. Pour­quoi ? Car une mon­naie com­plé­men­taire vise tout d’abord à sti­mu­ler la consom­ma­tion lo­cale. Mais l’ex­pé­rience fran­çaise qui aura sans doute le plus fait par­ler d’elle vient de Tou­louse. Fe­de­rico Piz­za­rotti, maire de Parme et 39 ans. Une ten­dance qu’on re­trouve aussi en de­hors de la France. Gare à l’ « ivresse mo­né­taire » La pêche à Volos et le poids de l'éco­no­mie ?

Monnaies en Débat. Agenda 21 & engagement sociétal. Le soutien à l’emploi associatif et à la formation des bénévoles. Les délégués départementaux à la vie associative (DDVA)Les missions d’accueil et d’information des associations (MAIA)Les centres de ressources et d’information des bénévoles (CRIB)Le Fonds pour le développement de la vie associative (FDVA)Le fonds de coopération de la jeunesse et de l’éducation populaire (FONJEP)Les guides pratiques Les délégués départementaux à la vie associative (DDVA) La circulaire du Premier ministre n° 5811-SG du 29 septembre 2015 relative aux nouvelles relations entre les pouvoirs publics et les associations confirme les missions des services déconcentrés du ministère chargé de la vie associative (les DDVA) et incite à la mise en place des Missions d’accueil et d’information des associations (MAIA).

Le soutien à l’emploi associatif et à la formation des bénévoles

Le rôle des DDVA est explicité dans l’annexe 5 de ce décret. Leurs priorités portent sur : la formation des bénévoles, des dirigeants associatifs et des "correspondants associations" des services déconcentrés de l’Etat ; la connaissance du tissu associatif ; Gouvernance.