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Le livre selon Google. Arte a diffusé hier soir Le livre selon Google (Google and the World Brain). La connaissance est accessible à tous ! Telle était l’utopie revendiquée par Google, le géant du Net qui voulait numériser tous les livres du monde afin de lancer leur Google Books. Le projet de numérisation mondiale de livres a fédéré la communauté littéraire derrière lui autant qu’il l’a divisée. De 2002 à 2009, les serveurs de Google auraient numérisé plus de 10 millions de volumes. Google aurait maintenant plus de 20.000.000 d’ouvrages qu’il souhaiterait mettre en ligne. Le documentaire retrace les débuts du projet, l’enthousiasme qu’il a très vite suscité auprès des bibliothèques institutionnelles ou d’école mythiques comme Havard, mais aussi la fronde des auteurs et des éditeurs jusqu’aux procès.

Ben Lewis, le réalisateur du documentaire raconte : C’est l’histoire du projet le plus ambitieux sur internet et des personnes qui sont parvenues à le stopper. En sanctionnant Microsoft, Bruxelles adresse un avertissement à Google. Personne n'échappe à la vigilance des autorités européennes. Joaquin Almunia, commissaire européen à la concurrence, se veut très clair : l'amende de 561 millions d'euros, infligée mercredi 6 mars à Microsoft, le géant des logiciels, pour abus de position dominante et non-respect de ses engagements, est un avertissement. Il s'agit de "dissuader d'autres entreprises de suivre ce mauvais exemple", a-t-il expliqué. Derrière ce message, c'est Google, l'autre grande entreprise américaine, en plein processus de négociations avec la Commission européenne, qui est visée.

A l'instar de Microsoft, le moteur de recherche est soupçonné de profiter de sa position dominante en redirigeant le trafic Internet qui passe par son intermédiaire vers ses propres services. En condamnant Microsoft, la Commission souhaite s'assurer que Google tiendra ses engagements. Google : une action répressive des Cnil européennes lancée "avant l’été" Google : l’Europe en phase « sanctions »

Le 01/03/2013 à 05:00 Vu 549 fois «L e but n’est pas de condamner Google, mais qu’il se mette en conformité », a expliqué hier Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) qui, avec ses 26 homologues européens, a annoncé une action « répressive » contre le groupe américain qui refuse de modifier ses règles de confidentialité. « L’objectif à présent est de décliner les actes répressifs au regard du droit de chacun des 27 pays, qui pourraient infliger des sanctions pécuniaires ou faire cesser à Google le traitement des données qu’il utilise », a-t-elle ajouté.

Les 27 autorités européennes de protection des données vont lancer cette action « avant l’été ». Des sanctions pécuniaires pourraient être prononcées à l’encontre de Google même si les pouvoirs de sanction sont différents selon les pays européens. Depuis mars 2012, le géant américain de l’internet applique une nouvelle politique de confidentialité. Bientôt l’audition. Médias & Publicité : Google passe en force sur ses règles de confidentialité. En dépit des exhortations des CNIL européennes et d'autres défenseurs des libertés et de la vie privée sur Internet, le groupe américain va instaurer malgré tout sa nouvelle politique de confidentialité dès aujourd'hui. La guerre semble être déclarée entre les Commissions nationales de l'informatique et des libertés de l'Union européenne (CNIL) et le géant Google.

A partir d'aujourd'hui, la charte de confidentialité de l'ensemble des services de Google s'apprête à changer. Or, la CNIL française réclame, au nom des 26 autres CNIL, et à l'instar d'une partie du Congrès américain, un report de l'application des nouvelles règles de confidentialité de Google. Dans une lettre adressée le lundi 27 février par l'autorité administrative indépendante au groupe américain, Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la CNIL française, déplorait une absence d'information faite aux différents acteurs, ou alors très tardivement de ces changements.

Une possible non-conformité juridique. Protection de la vie privée : Google utilise-t-il vos données personnelles ? - High tech / Sciences. Entre Google et la Cnil (Commission nationale informatique et libertés), la guerre est déclarée. Le géant américain a finalement lancé hier sa nouvelle politique de confidentialité malgré les mises en garde de la Cnil qui exigeait un report. Concrètement, il s'agit du regroupement de 60 règles déjà existantes pour simplifier les conditions d'utilisation. Officiellement, l'objectif de Google est de faciliter la tâche à ses utilisateurs en clarifiant les interminables pages des conditions d'utilisation.

Dans les faits, ce regroupement d'informations permet à Google d'avoir une vision plus globale de ses utilisateurs et d'en savoir davantage sur eux. Ainsi, des informations comme des coordonnées de géolocalisation, l'historique des recherches ou des discussions en ligne, constitueront la base de donnée. La société américaine pourra ainsi mieux cibler ses utilisateurs, notamment en terme de publicités à lui diffuser.

Google fait de la prostitution informationnelle: on vend nos données personnelles contre un service. Si on accepte d’être tracé, quelque part on renonce à la liberté, qui est une vertu cardinale de l’être humain. On peut faire beaucoup de concessions dans la vie, mais on ne peut pas négocier sur la liberté. Dans le cas de Google, je parle de prostitution informationnelle: on vend ses données personnelles contre des services prétendument gratuits. Bien évidemment, les services de Google ne sont pas gratuits: on ne paye certes pas avec son corps, mais avec ses données personnelles, dont certaines peuvent être intimes. C’est pour cela que je parle de prostitution. La formule se veut choquante, mais en réalité elle ne fait pas du tout réagir les gens !

J’ai publié Les dix plaies d’Internet en 2008, et je me suis, il y a peu, replongé en arrière, pour voir si j’avais eu raison ou si j’étais dans un délire paranoïde. Les réactions des gens sont toujours les mêmes. On a énormément de renseignements sur les gens, notamment grâce à la liste des requêtes qu’ils émettent sur Google. La CNIL met en garde contre la politique de confidentialité de Google (Actu de fév. 2012. Montebourg aimerait bien imposer des règles à Google et Facebook - High-Tech.

Protection des données : l'UE prévoit une "action répressive" contre Google. Google dans l'œil de la Cnil.