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Cloud/virtualisation

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Avec SkySQL, MariaDB lance une DBaaS à vocation multicloud. Aujourd'hui disponible sur la Google Cloud Platform, la database as a service SkySQL de MariaDB sortira d'ici la fin de l'année sur Amazon Web Services puis sur Microsoft Azure.

Avec SkySQL, MariaDB lance une DBaaS à vocation multicloud

MariaDB livre SkySQL, la version DBaaS de sa base de données open source optimisée pour le cloud et dont le déploiement s’appuie sur l’orchestrateur de conteneurs Kubernetes. Fournie en préversion limitée depuis plusieurs semaines, elle est maintenant disponible sur la la Google Cloud Platform, mais sa vocation est multicloud et son éditeur adapte en ce moment son architecture pour EKS et AKS, les déclinaisons Kubernetes d’AWS et de Microsoft Azure. Sysdig se rapproche de Prometheus pour renforcer sa solution de monitoring  Pour aider les entreprises à mieux travailler avec la populaire solution de monitoring cloud Prometheus, Sysdig annonce l'intégration de cette dernière à sa plate-forme de supervision des applications conteneurisées et d'analyse des logs.

Sysdig se rapproche de Prometheus pour renforcer sa solution de monitoring 

Développé en 2012 par les créateurs de SoundSound, et désormais projet open source piloté par la Cloud Native Computing Foundation, Prometheus est un outil de monitoring des composant IT et de génération d'alertes. Et à l’heure du cloud, Prometheus s’intéresse bien sûr à l’activité des containers. Avec vSphere 7, VMware place Kubernetes au coeur de sa stratégie cloud hybride.

Kubernetes : pourquoi un tel succès ? L'adoption de Kubernetes est encore plus rapide qu'on ne le pense.

Kubernetes : pourquoi un tel succès ?

Le caractère open source et la grande ouverture du projet ne sont pas étrangers à sa fulgurante progression. Aujourd’hui, la plateforme d'orchestration de conteneurs est en production dans 78% des entreprises interrogées par la Cloud Native Computing Foundation (CNCF). Difficile de croire à la vue de ces chiffres que Kubernetes n'a atteint le niveau 1.0 qu'à la mi-2015, soit un an après son premier commit. Comme le disent certains, cette adoption est « incroyablement rapide ». Oui cette progression est « incroyablement rapide » : il y a un an à peine, le rapport 2018 de la CNCF indiquait que 58 % des entreprises utilisaient Kubernetes en production.

La communauté Kubernetes. Apache Brooklyn 1.0, un framework pour le cloud autonome. La boîte à outils open source, Brooklyn, propose des modèles (blueprint) pour les applications sur site ou dans le cloud et réagit aux mesures de santé de ces applications pour les réparer ou les mettre à l'échelle.

Apache Brooklyn 1.0, un framework pour le cloud autonome

L'Apache Software Foundation a livré une version de production du framework open source Apache Brooklyn 1.0 pour la modélisation, la surveillance et la gestion des applications déployées sur site ou dans le cloud. Brooklyn utilise les blueprints YAML pour décrire une application et ses composants. Avec Karbon 2.0, Nutanix propose de gérer des clusters Kubernetes hors ligne. L'intégration SD-WAN, WiFi 6, 4G et 5G change la donne au niveau des succursales. Serverless : 8 tendances qui caractérisent son adoption. Quelle réalité pour le serverless ?

Serverless : 8 tendances qui caractérisent son adoption

Datadog en donne un aperçu sous le prisme du service AWS Lambda. L’usage d’AWS Lambda peut-il refléter la réalité du serverless ? Datadog a pris ce parti pour constituer son premier rapport sur le sujet. L’éditeur américain, à l’origine d’outils de monitoring des infrastructures et des applications, s’est appuyé sur les données d’utilisation de « milliers » de ses clients. « Un échantillon large, mais pas parfaitement représentatif de l’ensemble du marché mondial », prend-il la peine de reconnaître. Dans sa nomenclature, une organisation est considérée comme : utilisatrice d’AWS si elle a géré, au cours d’un mois donné, au moins 5 fonctions Lambda ou au moins 5 instances EC2 ;adoptrice de Lambda si elle a exécuté, au cours d’un mois donné, au moins 5 fonctions Lambda. Les premières étapes du voyage vers le serverless. La meilleure façon de démarrer une aventure serverless, c'est de choisir un pilote sérieux qui offre de réels avantages commerciaux, et qui soit capable de se mettre rapidement à l'échelle à mesure qu'il présente des résultats.

Les premières étapes du voyage vers le serverless

C'est en tout cas ce qu'affirme Matt Brayley-Berger, responsable du développement commercial mondial pour Serverless Compute chez Amazon Web Services. Dans un webcast publié avant le dernier AWS Reinvent, il décrit la meilleure voie à suivre pour lancer un projet pilote d'informatique serverless. « Les entreprises numériques doivent innover le plus rapidement possible », indique-t-il. « Les équipes doivent se concentrer sur la création d'applications, et non sur la gestion de l'infrastructure sous-jacente ».

Les enjeux de sécurité restent un frein à l'adoption du cloud. Une étude réalisée par Trend Micro et OpinionWay montre que les enjeux réglementaires et de sécurité autour des données freinent toujours l'adoption du cloud auprès des DSI.

Les enjeux de sécurité restent un frein à l'adoption du cloud

PublicitéDans cette enquête, 202 DSI et RSSI ont été interrogés sur leur vision du cloud, notamment en termes de cybersécurité. 97% estiment que celle-ci est un point-clef à considérer, et 87% font de la sécurité des environnements cloud une priorité. Parmi les raisons qui poussent les entreprises à adopter le cloud, les répondants mettent en avant l'allègement des tâches côté IT : 69% citent la simplification de la gestion, 68% la possibilité de sous-traiter la maintenance ou les mises à jour aux fournisseurs et 64% les garanties offertes sur la disponibilité des données et services. Enfin, 61% des sondés mentionnent la facilité d'accès aux informations et aux applications, sauf le secteur de l'industrie où ils ne sont que 38 % à l'évoquer. Azure, locomotive du cloud chez Microsoft au 4e trimestre.

Depuis l'arrivée de Satya Nadella à la tête de Microsoft en février 2014, le cours de l'action de l'éditeur a grimpé de 330%.

Azure, locomotive du cloud chez Microsoft au 4e trimestre

Crédit photo : D.R. La branche Intelligent Cloud Business de Microsoft a engrangé 11,9 Md$ de chiffre d'affaires au quatrième trimestre. Dans le même temps, les revenus tirés des livraisons de la Surface ont approché de très près les 2 Md$. Le cloud, les logiciels de productivité, le gaming, la Surface et Windows.

Telles sont, dans l'ordre, les priorités que Microsoft s'est fixées et qui se reflètent dans ses derniers résultats. Accès à privilèges dans le cloud : l’évidence de la sécurisation. La sécurisation du cloud est aujourd’hui en retard face à la rapidité avec laquelle les entreprises migrent vers ces environnements.

Accès à privilèges dans le cloud : l’évidence de la sécurisation

Les risques de cyberattaques sont pourtant toujours plus nombreux et les conséquences de plus en en plus néfastes. S’il y a bien une chose dont nous sommes certains, c’est que l’adoption du cloud public n’est pas près de s’arrêter ou de ralentir. Poussées par des initiatives descendantes de transformation numérique et des approches ascendantes visant à rationaliser les processus de développement, même les organisations les plus fortement réglementées comme les services financiers et le secteur de la santé accélèrent leur cycle d’adoption.

Nos recherches ont démontré que 94 % des organisations mondiales utilisent les services cloud. L'ère du multicloud hybride a commencé. A l'heure où la mise à disposition des services IT de nouveaux projets s'effectue en seulement quelques heures, il est difficile d'imaginer une époque pas si lointaine durant laquelle les processus étaient plus lents et se comptaient en semaines ou même en mois.

L'ère du multicloud hybride a commencé

Si l'on ajoute à cela le défi du caractère siloté des équipes et la complexité d'organisation des parties prenantes, ces conditions compliquent les objectifs de toute équipe métier, qui est d'accélérer la mise à disposition des services auprès des utilisateurs. Au sein des entreprises se joue également un clivage générationnel entre les anciens processus et les nouvelles générations formées au cloud. Or, si le cloud est souvent perçu comme économique car sa facturation se fait à l'usage, il peut en réalité coûter très cher aux entreprises s'il est utilisé de façon constante, pour des applications avec des charges de travail sans variation.

Du cloud privé, public jusqu'au multicloud hybride : trouver la meilleure combinaison. Base de données : MariaDB Platform X4 passe au cloud natif. Nouvelle mouture de la base unifiée, MariaDB Platform X4 s’appuie sur une réplication native pour un stockage en lignes et/ou en colonnes. MariaDB Corporation a annoncé mardi la disponibilité de MariaDB Platform X4, la nouvelle mouture de sa base de données open source unifiée. Le système a été conçu pour « toutes les charges de travail », transactionnelles (OLTP – Online transactional processing) et/ou analytiques (Online analytical processing). Une approche que MariaDB Corporation nomme « transactions intelligentes » (smart transactions). Dans cet environnement HTAP (Hybrid transaction/analytical processing), en plus d’interroger la base pour des opérations « simples », avec quelques requêtes plus complexes, les entreprises peuvent bénéficier d’analyses en temps réel « avant, pendant et après » une transaction à des fins de prévision des ventes ou de recommandation produits, par exemple.

(crédit photo © MariaDB) Cloud : Azure l'emporte auprès de DSI de grands groupes. Les décideurs IT de grands groupes privilégient l’infrastructure cloud de Microsoft (Azure), selon une enquête de Goldman Sachs. Globalement, le marché du cloud public hyperscale est dominé par Amazon Web Services (AWS). Toutefois, selon une enquête de Goldman Sachs, dont CNBC s’est fait l’écho, Microsoft Azure est le fournisseur « le plus populaire » auprès de DSI de grands groupes mondiaux. Plus de 100 décideurs IT de multinationales ont été interrogés en décembre 2019. Ceux-ci pilotent des environnements IT hybrides (sur site et dans le cloud privé et/ou public). Les entreprises utilisent toujours autant le cloud public. 23,5% des entreprises participant à l'étude de Nutanix n'exploitent pas encore d'infrastructure de cloud hybride.

Ce taux devrait tomber à 3% d'ici deux ans. Illustration : D.R. 85% des entreprises estiment que le cloud public est le modèle idéal pour conduire leurs opérations IT. La sécurité et la flexibilité qu'il offre constituent des facteurs favorisant son adoption qui devrait grandement progresser dans les années à venir. L'hybridation reste le modèle préféré des entreprises interrogées sur l'environnement le plus indiqué pour déployer des applications dans le cloud. 85% des entreprises déploieront un cloud hybride d'ici 5 ans Néanmoins, donc, l'appétence pour le cloud hybride demeure forte.

Appian ajoute l'offre RPA de Novayre Solutions à son portefeuille. Pour la nouvelle année, Appian annonce le rachat d'un petit acteur du RPA : Novayre Solutions, qui développe la plateforme Jidoka RPA. Recap 2019 Kubernetes : de la gestion de containers à celle de l'infrastructure et des apps. AWS alerte sur le changement de certificat SSL/TLS pour les bases de données. Amazon Web Services a émis une alerte importante aux utilisateurs des bases de données Aurora, RDS et DocumentDB utilisant des connexions sécurisées SSL/TLS. Ces derniers doivent télécharger et installer le nouveau certificat CA-2019 avant le 14 janvier 2020.

Les utilisateurs des bases de données Amazon Aurora, DocumentDB et RDS doivent faire attention.