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Le XXème siècle et notre époque

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Chronologie de la France sous la Troisième République (1870-1914) Cinquième République. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cinquième République

La Cinquième République, ou Ve République, est l'actuelle forme du régime républicain en vigueur en France. Elle succède, le , à la Quatrième République, instaurée en 1946, et marque une rupture par rapport à la tradition parlementaire de la République française dans la volonté de renforcer le rôle du pouvoir exécutif. Mise en place[modifier | modifier le code] Des juristes ont argué que la mise en place de la Cinquième République s'est opérée selon une procédure non constitutionnelle et doit être considérée comme un coup d'État : en effet, la Quatrième République ne prévoyait pas la possibilité de modifier la constitution par référendum. Toutefois, en général, on considère que l'exercice du «droit souverain du peuple à disposer de lui-même», exprimé pour l'occasion par voie référendaire, prévaut sur le texte constitutionnel. Quatrième République. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Quatrième République

République françaiseQuatrième République 1946 – 1958&&&&&&&&&&&0437411 ans, 11 mois et 21 jours Ce nouveau régime républicain connaît de sérieuses difficultés pour dégager des combinaisons politiques stables, l'essentiel du pouvoir étant détenu par une Assemblée nationale au sein de laquelle ne se dégage pas de majorité claire. La formation de la Quatrième République[modifier | modifier le code] Les origines de la Quatrième République[modifier | modifier le code] La première Assemblée constituante[modifier | modifier le code] Projection graphique de la composition de la première Assemblée constituante issue des élections législatives de 1945 PCF : 27,13 % des voix, 159 sièges MRP : 25,60 % des voix, 150 sièges SFIO : 24,91 % des voix, 146 sièges Radicaux & UDSR : 12,12 % des voix, 71 sièges « Modérés » (droite) : 9,04 % des voix, 53 sièges Autres : 1,2 % des voix, 7 sièges.

Troisième République (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Troisième République (France)

Pour l'organisation du régime, voir l'article Lois constitutionnelles de 1875. République françaiseTroisième République 1870 – 1940[N 1](69 ans, 10 mois et 7 jours) Formant une constitution de compromis, les lois constitutionnelles de 1875 établissent une république parlementaire de type bicaméral. Marqués par le renversement en 1851 de la République par son premier président élu, les républicains vont n'accorder dans la pratique au chef de l'État qu'un rôle représentatif.

La IIIe République est aussi une période marquée par toute une série de réformes sociales auxquelles la société aspirait, notamment par l'adoption d'une législation plus favorable pour les salariés. Née dans la défaite, la IIIe République évolue de sa proclamation à sa chute dans un contexte de confrontation avec l'Allemagne. Après la chute de la royauté capétienne (802 ans), c'est le régime politique le plus long que la France ait connu (70 ans).

A. Lois Jules Ferry. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lois Jules Ferry

Pour les articles homonymes, voir Ferry. Lois Jules Ferry 1881-1882[modifier | modifier le code] L'obligation d'instruction[modifier | modifier le code] C'est une obligation d'instruction et non de scolarisation, l'article 4 indiquant que l'instruction peut être donnée dans les établissements d'instruction, les écoles publiques ou libres ou dans les familles. L'école elle-même n'a donc jamais été obligatoire ni dépendante. Contexte des lois Ferry[modifier | modifier le code] Régime de Vichy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Régime de Vichy

Le nom de régime de Vichy désigne le régime politique dirigé par le maréchal Philippe Pétain, qui assure le gouvernement de la France au cours de la Seconde Guerre mondiale, du au durant l’occupation du pays par l’Allemagne nazie[3], et dont le siège se situe à Vichy[5], situé en zone libre jusqu'en novembre 1942. Au cours de la guerre, cette collaboration prendra plusieurs formes : coopération économique, arrestations de résistants, de francs-maçons, et d'opposants politiques ainsi que de rafles de Juifs sur le territoire métropolitain. Sur le plan militaire, le régime n’est pas un allié officiel pour le Troisième Reich mais le gouvernement Laval reconnaît la Légion des volontaires français (LVF) comme une association d’utilité publique[9] et contribue aussi à l’effort de guerre allemand via la collaboration de son industrie militaire — comme défini dans les conditions d’armistice[10].