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Pornography

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« Le porno n’existe pas » et autres mensonges. Il paraît que « Le porno féministe n’existe pas« , c’est ce que j’ai découvert estomaquée en lisant un article publié sur le site de Libération.

« Le porno n’existe pas » et autres mensonges

L’occasion d’y répondre de manière argumentée et de démonter un part un tous les clichés et mensonges qui circulent à ce sujet. J’ai longuement hésité à réagir. J’ai espéré que l’article passe un peu inaperçu en cette période de vacances, et que l’on ne m’ennuie pas trop avec cela. Le problème est que depuis sa parution, on me harcèle de tous les côtés avec ce texte d’Agnès Giard publié sur le site de Libération intitulé Le porno féministe n’existe pas qui m’était très directement adressé. Quelle violence dans le titre ! Oh, je doute que ma réponse soit autant lue que l’article d’origine qui, lui, a été relayé par tous les détracteurs du porno féministe, et Dieu sait qu’ils sont nombreux. . « Le porno féministe est consensuel » C’est une des erreurs les plus insupportables de l’article d’Agnès.

. « Le porno féministe est tendre » Oui et non. Les réseaux sociaux version porno: un concept qui monte. Docu : du porno et des tentacules au Japon. Cet article a été classé comme "contenu explicite", ce qui signifie qu'il peut contenir de la nudité ou tout autre contenu sensible.

Docu : du porno et des tentacules au Japon

En cliquant sur ce lien vous certifiez être majeur et conscient du contenu que vous allez visionner. Alors que l’exposition du Grand Palais dédiée à Hokusai s’est achevée en janvier, Arte propose un film sulfureux, nous plongeant dans les entrailles tentaculaires de la pornographie japonaise. “Le Rêve de la femme du pêcheur” d’Hokusai Du 1er octobre 2014 au 18 janvier dernier, le Grand Palais s’était japonisé, mettant à l’honneur le célèbre peintre Hokusai et ses estampes délicates à travers une immense retrospective.

Alors que l’exposition vient de prendre fin, Arte propose aujourd’hui de jouer les prolongations en dévoilant un film qui prend comme point de départ un genre d’estampe qui fut absent au Grand Palais : la shunga, soit la version érotique de l’estampe qui fait son apparition pendant la période Edo au Japon. Comment les femmes consomment-elles le porno ? Une infographie publiée par Pornhub nous rappelle qu’hommes et femmes ne sont pas égaux face à la consommation pornographique.

Comment les femmes consomment-elles le porno ?

Nous avons demandé à plusieurs femmes plus ou moins proches du milieu de nous éclaircir sur ce sujet. Comme chaque année, Pornhub, le plus grand conglomérat de sites porno, nous dévoile les chiffres sur les habitudes de ses consommateurs à travers une infographie intéressante. Parmi les 18 milliards de visites estimées, seules 23% seraient d’origine féminine à l’échelle planétaire et 21% en France. Les résultats ne sont cependant pas si étonnants. Une fréquentation plus basse, des recherches et des envies qui divergent, une évocation encore taboue chez les femmes, autant d’aspects qui témoignent de la différence hommes/femmes par rapport au porno. (Crédits Image : Ortie) Afin de mettre au clair ce rapport entre femmes et pornographie, nous avons contacté plusieurs personnes. L’industrie porno ou “la sexualité hétéro avec un regard d’homme” Source : PornHub.

Transforming Pornography: Black Porn for Black Women by Sinnamon Love. The author, a self-titled “black feminist pornographer,” works to dismantle stereotypes one video at a time.

Transforming Pornography: Black Porn for Black Women by Sinnamon Love

A few years ago, I sat on a panel with notable feminist academics and a femi­nist pornographer—all of whom were well-respected. I was put on the spot when asked, “Do you consider yourself and your work to be feminist?” I didn’t know how to answer. I tried to steady my voice as I replied, “I’ve never really given that any thought.” The other panelists gave their view of my work and what they knew about me… but the question, which I had to answer for myself, remained: “Am I a feminist?”

I was naive about the sexual liberation movement, and had never considered whether or not my decision to flaunt my sexuality on screen was a feminist act. When I walked onto my first adult film set at nineteen, I had never seen a porn movie or magazines or been to a strip club. When I walked onto my first adult film set at nineteen, I had never seen a porn movie or magazines or been to a strip club.

Série d’hiver. Pornographies mots-désir.