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Les impostures de « l’écriture web » Ecriture web Si l’on en croît la vulgate de certains “experts” journalistiques ou marketing, écrire pour le web requiert un savoir-faire complexe et bien précis. Il s’agirait de suivre des règles incontournables si l’on veut plaire au lecteur et faire de l’audience. Ce point est soulevé par Morgane Tual dans son dernier coup de gueule via lequel elle raille ces formateurs sexagénaires débitant ce genre de règle absurde avec une “certitude insensée”. Ecrire court à tout prix alimente l’idée qu’on ne peut pas créer de la profondeur sur Internet, que tout est forcément superficiel et creux. Difficile d’expliquer le rigorisme de l’impératif kantien en 140 signes… En réalité, il ne faut pas écrire court, il faut écrire “dense” : dire un maximum de choses avec un minimum de mots.

Mais écrire dense, cela veut dire avoir des choses à dire, avoir de l’information, des faits à délivrer. En ce cas là, il semble judicieux de proposer les deux formats simultanés. Le-petit-clearstream. L’Observatoire des médias. Joël Ronez : écrire Net mode d'emploi. L’écriture web est aussi une écriture de la rupture. Elle porte en elle, pour qui veut la maîtriser, les caractéristiques propres à son support. Une écriture cinétique, du mouvement. Une écriture qui bouleverse de manière radicale le rapport au lecteur. La notion de parcours prenant un sens nouveau dans cette écriture du fragment, de l’instant ( Olivier Ertzscheid , préface à L’Ecrit Web de Joël Ronez). Internet n’a pas fonction de médiation, mais s’impose progressivement par transparence dans la totalité de nos usages sociaux d’une part, de nos usages privés ou de création d’autre part.

Il s’agit donc de se saisir de cette reconfiguration en interrogeant nos disciplines respectives depuis l’outil Internet. L’an dernier, Google moi de Barbara Cassin chez Albin, puis Gutenberg 2.0 de Lorenzo Soccavo (avec Constance Krebs) ont commencé à sortir cette réflexion des habituels Le Mac pour les nuls ou autres écrits périssables. l’écriture Web est une écriture de rupture l’essentiel en premier.

Action-redaction.com : formation et rédaction web, référencement éditorial, architecture de l'information - Belgique - Luxembourg. Paper.li, créez votre journal quotidien en ligne à partir d’un compte Twitter. Paper.li est l’un des nouveaux outils gratuit en ligne les plus tendance de cette rentrée à classer dans les services en ligne de veille. Il séduit de plus en plus d’internautes connectés à Twitter. Lancé par la jeune pousse suisse Small Rivers et disponible en version Alpha, Paper.li permet en effet de créer un journal quotidien public personnalisé composé d’articles en agrégeant automatiquement des informations publiées à partir de comptes Twitter que l’on suit… et en ayant son propre compte Twitter (indispensable).

Paper.li, mode d’emploi Via une interface en anglais (et bientôt en français, en espagnol et en allemand), pour façonner son Paper.li, il suffit de se connecter à son compte Twitter ou Facebook sur la page d’accueil du service via le bouton « Create your own daily paper » (créer votre journal quotidien). Ensuite, il vous faut choisir entre la création de votre publication journalière Paper.li soit : Organisation du contenu de veille Licence : Comment débuter dans les médias sociaux. Faisons comme si vous veniez d'assister à une de mes conférences sur les médias sociaux et que vous décidiez de vous lancer officiellement dans ce nouvel espace de communication en explosion.

Voici mes 5 conseils pour débuter efficacement dans le monde des médias sociaux : 1. Lire, lire, lireIl sera difficile de réussir dans l'univers des médias sociaux si vous ne commencez pas par vous familiariser avec le savoir disponible sur ce sujet. Premièrement, étudiez les différents médias sociaux. Dans le cas de Facebook, lisez le guide pratique intitulé Marketing sur Facebook. Pour Twitter, prenez connaissance du livre Twitter for Dummies.

Par ailleurs, prenez connaisance des blogues qui s'intéressent aux médias sociaux. Mais attendez. 2. Familiarisez-vous avec ces différentes plateformes. 3. Planifier votre présence sur les médias sociaux, c’est d’abord et avant tout connaître votre produit. Presse française: pour un laboratoire des nouveaux médias. [Mise à jour du 18 mai 2009: le Medialab de Sciences Po] Les médias vont mal. Des journaux ferment leurs portes chaque mois aux Etats-Unis. La rentabilité du secteur s’effondre là-bas comme ici. C’est la « médiapocalypse » pour reprendre l’expression d’Eric Schrerer de l’AFP. Une catastrophe qu’il faudrait parvenir à transformer en « médiamorphose« . Pour cela, une nécessité s’impose: investir dans la recherche et le développement. Le modèle éditorial et économique des médias est en train d’exploser sous nos yeux. La crise économique est seulement venue hâter un processus déjà bien engagé en accélérant la dégradation des comptes de la plupart des groupes de presse.

Pour des raisons économiques mais aussi en raison de la sociologie des rédactions, l’expérimentation vient rarement de l’intérieur. Il est plus que temps aujourd’hui. Comment faire? Aux Etats-Unis, le New York Times s’est doté d’un laboratoire avec des moyens sans doute hors de portée pour les médias français. Nouvelles pratiques du journalisme: “Nous vivons un âge d’or” Que retenir de la journée spéciale dédiée aux nouvelles pratiques du journalisme, organisée par l’Ecole de journalisme de Sciences Po et la Graduate school of Journalism de Columbia, le 10 décembre? Voici les points clés de chaque intervention, d’Ariane Bernard, du nytimes.com, à Antoine Nazaret, de Dailymotion, en passant par Masha Rigin, du Dailybeast.com, Sarah Hinman Ryan, de Times Union, Nicolas Enault, du Monde.fr, Nicolas Kayser-Brill, d’Owni.fr, Michael Shapiro et David Klatell, de la Columbia, et Jean-François Fogel et Bruno Patino, de l’Ecole de journalisme de Sciences Po… Cliquez ici pour la lire synthèse de la journée en français Cliquez ici pour lire la synthèse de la journée en anglais [Merci à tous les éditeurs de l'Ecole de journalisme de Sciences Po qui ont produit vidéos, photos, textes, live stream et tweets pendant cette journée marathon.

Cet article a été rédigé d'après leurs notes et le "live"] Ariane Bernard, home page producer, nytimes.com Le rôle de Masha Rigin? Nourrir Google affame les journalistes. Les journalistes du web sont, paraît-il, des forçats de l’info qui, sans doute, ne méritent guère plus que le Smic (parfois souvent moins). La logique est d’être les premiers à mettre en ligne l’information afin d’être repérés par Google. (Le Monde) Ceci expliquant sans doute cela, 20 % des sujets d’actualité occupent 80% de l’espace sur les sites web. La loi empirique de Pareto se trouve une nouvelle fois vérifiée par les faits. Trois chercheurs (Nikos Smyrnaios, Franck Rebillard et Emmanuel Marty) viennent de livrer les résultats d’une étude conduite en novembre dernier.

Résultat: l’effet d’entonnoir jour à plein sur le web comme dans les médias traditionnels. En savoir plus: J’ai par ailleurs demandé à Nikos Smyrnaios (qui m’a alerté sur cette publication) de préciser quelles étaient les sources que les chercheurs avaient scrutées. L’échantillon est quasi-exhaustif pour ce qui est des sites médias français. Ecrire en fonction des requêtes des internautes | Blog rédaction web référencement. On parlait récemment des fermes de contenus. Elles fonctionnent sur un principe simple : anticiper les tendances de recherche et écrire des articles en se basant directement sur ces requêtes populaires.

Les journalistes utilisent cette petite technique aussi. Ce n’est pas une mauvaise idée en soi. Moi aussi, pour trouver un bon titre ou la meilleure formule clé à insérer dans un title, j’utilise le générateur de mot-clé Google. On ne peut pas condamner cette façon de faire, qui va au bout de l’objectif de servir les internautes. Cas 1 : trouver une idée d’article Il faut du trafic, il faut plus de notoriété, il faut des lecteurs… donc il faut une bonne idée. Titre, article optimisé, publication, analyse des statistiques : youpi. Il faut du trafic, mais pourquoi ? Cas 2 : affiner son vocabulaire Là, on prend les choses dans l’autre sens. L’objectif est atteint, le client est satisfait, les retours sont positifs. Communiquer un message, c’est bien. Synthèse Pourquoi ne pas le faire ?