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Chatbot

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□ How Facebook chatbots are transforming ecommerce. Dans le shaker, la relation. L’intelligence conversationnelle est-elle au cœur de la nouvelle relation homme / machine ? - Imaginer Demain. Temps de lecture : 5 minute(s) Lorsqu’en 1970 le roboticien japonais Masahiro Mori publie sa théorie de l’ « uncanny valley », la vallée de l’étrange, il met en confrontation le degré de familiarité d’un robot et son anthropomorphisme. Il cherche à démontrer dans son article qu’un être mécanique n’est pas forcément accepté par l’homme en fonction de son réalisme esthétique. L’auteur considère qu’un objet atteignant un niveau de ressemblance anthropomorphique élevé peut faire apparaître une sensation d’angoisse et de malaise. Malgré tout, la théorie prévoit un certain niveau de perfection dans l’imitation où les objets androïdes sont de mieux en mieux acceptés. Jugé au premier regard Une notion sous-jacente à la Vallée de l’étrange est la classification qu’exerce l’humain lors de sa première confrontation à la machine.

Crédit : MATHUR, REICHLING, COGNITION, Janv. 2016. Des appareils qui deviennent de plus en plus intelligents D’après une étude de PewResearchCenter : CHATBOTS. Le monde « Chatbots», assistants : l’extension du domaine du smartphone. Traitement automatique du langage naturel. Pour les articles homonymes, voir Tal. Un assistant en ligne sur un site web, utilisant le traitement automatique du langage naturel. Le traitement automatique du langage naturel (abr.

TALN), ou traitement automatique de la langue naturelle[1], ou encore traitement automatique des langues (abr. TAL), est un domaine multidisciplinaire impliquant la linguistique, l'informatique et l'intelligence artificielle. Il vise à créer des outils de traitement de la langue naturelle pour diverses applications. Le TALN est sorti des laboratoires de recherche pour être progressivement mis en œuvre dans des applications informatiques nécessitant l'intégration du langage humain à la machine[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Années 1950-1960[modifier | modifier le code] Les premières applications informatiques sont liées au traitement automatique des conversations. Les progrès réels sont donc décevants. Années 1970-1980[modifier | modifier le code] TALN statistique[modifier | modifier le code] Effet ELIZA. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, l'effet ELIZA, désigne la tendance à assimiler de manière inconsciente le comportement d'un ordinateur à celui d'un être humain.

Dans sa forme spécifique, l'effet ELIZA désigne uniquement « la prédisposition à attribuer à des suites de symboles générés par ordinateur (en particulier à des mots) plus de sens qu'ils n'en ont réellement[1] ». Douglas Hofstadter donne un exemple simple pour illustrer la forme spécifique de l'effet ELIZA : un distributeur automatique qui affiche « MERCI » à la fin d'une transaction. Certaines personnes pourraient penser que la machine exprime sa gratitude ; or, elle ne fait qu'afficher une suite de symboles pré-programmés[1]. Origine du terme[modifier | modifier le code] L'effet ELIZA tire son nom du chatterbot ELIZA, élaboré en 1966 par Joseph Weizenbaum, informaticien au MIT (Institut de technologie du Massachusetts).

Humain : C'est mon petit ami qui m'a dit de te parler. Humain : C'est vrai. Prix Loebner. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Prix Loebner est une compétition annuelle qui couronne les agents conversationnels satisfaisant le mieux les critères du test de Turing (avec lesquels il est le plus difficile de déterminer s'il s'agit d'un robot ou d'un humain). Montants[modifier | modifier le code] Au départ, le prix était accompagné d'un montant de 2 000 USD pour le gagnant.

Le prix a été de 3 000 USD en 2005 et de 2 250 en 2006. En 2008, 3 000 USD ont été remis. De plus, il y a deux prix, uniques, qui n'ont toujours pas été remportés en 2010. 25000 USD sont offerts pour le premier agent conversationnel qui trompera au moins deux juges en se faisant passer pour un être humain. 100000 USD (et une médaille d'or) sont promis pour la première réalisation qui réussira un test de Turing comprenant le décodage et la compréhension de textes, d'images et de textes sonores. Histoire[modifier | modifier le code] Gagnants[modifier | modifier le code] ECTOR. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. ECTOR est un agent conversationnel (chatterbot en anglais) qui apprend à partir des phrases de ses interlocuteurs.

Il est censé reconnaître certaines expressions, à force de les rencontrer, et aussi se focaliser sur les idées de l'interlocuteur. Il est fondé sur une partie d'une architecture d'intelligence artificielle appelée BAsCET, qui est un système neuro-symbolique appelé réseau de concepts. Le rétroacronyme ECTOR signifie Entité Cybernétique Totalement Obligée de Réfléchir. Ce nom a été choisi car le programme qui l'a précédé s'appelait Achille.

Or Hector et Achille se sont rencontrés durant la Guerre de Troie. Un prototype est écrit en PHP/MySQL. Une version plus aboutie a été écrite en langage C. Ces trois versions sont sous la Licence publique générale GNU. Une version en Node.js existe maintenant. Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail des logiciels libres. Entendez-vous ces bruits de bots ? Une réflexion sur la robomorphisation du web et de l'emploi. « Vous devriez être à même de discuter avec une entreprise de la même manière que vous discutez avec un ami. » Ainsi parlait Mark Zuckerberg qui, il y a quelques jours à peine annonçait en fanfare la grande arrivée des bots sur Facebook. « Bots », raccourci pour robots. Les bots auxquels Mark fait référence ne sont pas de froids monstres métalliques mais de petits agents conversationnels ou « programmes informatiques autonomes supposés intelligents, doués de personnalité, et qui habituellement, mais pas toujours, rendent un service ».

En version courte, les bots sont des entités virtuelles avec qui on pourra discuter ici ou là, sur un site Internet ou dans un service de chat (on parle alors de chatbot). Avec plus de deux milliards d’utilisateurs sur Whatsapp et Messenger, Facebook a trouvé là le bon moyen d’aller un peu plus loin dans la grande conversation (marchande) qu’est Internet. « Bots » : extensions du domaine du web Coup de bot sur l’emploi Le tract FO en question. Mais à quoi servent donc les chatbots? - Challenges.fr.

Les chatbots, nés de la contraction des mots « chat » (discussion) et « robot », cumulent automatisation des conversations, capacités d’écoute quasi infinies et précision dans la transmission des valeurs de la marque. Ces logiciels robots, qui permettent de toucher individuellement une multitude de consommateurs, avec le bon message, au bon moment, offrent aux entreprises une dimension inédite pour ancrer des histoires émotionnelles et créatives. Seraient-ils le nouvel outil à placer au centre des stratégies de communication ? Le chatbot humanise la relation avec les marques Avec l’avènement du social media, les marques se sont mises à parler : par leur présence sur Facebook, leurs réactions sur Twitter ou leurs inspirations sur Instagram.

Paradoxalement, le chatbot peut les aider dans cette quête d’une relation, puisque c’est une machine plus humaine que la plupart des autres interfaces avec lesquelles les consommateurs ont pris l’habitude d’être en contact.