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0 L’avènement du prosommateur. Au delà du consommacteur, le consommateur créatif. L'internaute est de plus en plus impliqué dans les stratégies marketing des marques. Ces dernières s'inspirent des usages des consommateurs pour les inclure directement dans le processus créatif des campagnes. Par Marion Roucheux, Chef de Projet Marketing à la Cartoonerie Quand j'observe le marketing d'aujourd'hui, et donc le consommateur, on voit que ce dernier est passé du passif à l'actif voire au créatif. Jusque là j'entendais souvent parler du consommateur marketeur. Prenons le fameux exemple de Starbucks : la marque a fait appel à ses consommateurs sur le web pour leur demander leur avis sur leurs prochains produits, jetant aux oubliettes les projets non retenus par les internautes. Idem pour Danette qui pour déterminer ses futures gammes de crèmes dessert organise des votes en ligne. Les marques passent à l'innovation 2.0.

Webcast: lift11 conference - Co-creation: present and future by Nick Coates. Innovation, marketing… : l’essor des plates-formes de crowdsourcing. En décembre 2010, a vu le jour à San Francisco Festo Engineering Network, une plate-forme d’échange destinée aux professionnels de l’énergie photovoltaïque mondiale. Les experts de cette industrie peuvent se retrouver sur cet espace virtuel pour relayer des articles, partager des études diverses, innover ensemble, entreprendre de nouveaux projets, ou faire appel aux idées de la communauté, etc. Festo Engineering Network constitue l’une des dernières initiatives internationales de crowdsourcing qui soit apparue ces dernières années.

But : donner aux industries l’opportunité d’utiliser le potentiel de la masse pour enrichir son processus d’innovation. Les entreprises expérimentent de plus en plus ce approche ouverte. Le crowdsourcing devient ainsi l’une des formes ultimes d’innovation ouverte (open innovation). Une multiplication de plates-formes de crowdsourcing d’innovation depuis 2000 Innocentive, mise sur pied par le groupe pharmaceutique Eli Lilly, fût l’une des premières. Marketing participatif et crowdsourcing - Cedric DENIAUD.com : De la stratégie digitale à la digitalisation des entreprises. Et si on revenait aux sources de la co-opération ? Co-créons nos projets !

Posted by Marie-Christine Boeve on 05 juin 2012 Le 3 mai dernier, l'UNESCO célébrait la Journée mondiale de la Liberté de la presse. Les affiches de la journée étaient issues d'un concours créatif soutenu par la société Eyeka, leader mondial de la co-création en ligne. Des créateurs de 23 pays ont proposé des visuels répondant aux critères d'originalité, de qualité et de pertinence.

L'UNESCO s'est déclarée « ravie de faire entendre ces voix, qui s'élèvent dans le monde entier pour la défense de la liberté de la presse ». Faire entendre des voix par la co-création.... n'est-ce pas la mission d'un communicateur d'une agence de coopération ? Co-création, crowdsourcing , des notions à clarifier Depuis que le Time Magazine vous a élu « Vous » (YOU) , personnalité de l'année 2006, le monde a changé.

Le « crowdsourcing » est né : néologisme calqué sur l'outsourcing (externalisation), la traduction littérale est : « approvisionnement par la foule ». Et si on co-créait ? La Co-Création est Beaucoup Plus que du Crowdsourcing. 1inShareinShare1 Un des thèmes les plus discuté du web depuis quelque années est celui du Crowdsourcing, un moyen pour les enterprises d’ “engager” les utilisateurs en leur faisant participer à la création même de la marque. Malheureusement ce concept de crowdsourcing a été réduit trop vite au modèle User Generated Advertising, partie plus visible et avec une influence sûrement importante coté retombées médiatiques, mais qui ne répond pas toujours aux besoins marketing d’une entreprise et surtout n’apporte pas une vraie valeur aux consommateurs.

Le but de la co-création n’est pas de la création low-cost Un modèle de business qui a trouvé sa place, mais qui parfois oublie le véritable intérêt du crowdsourcing qui ne devrait pas être réduit à une “créativité low-cost“. Si cela est le but ultime, il convient d’abord de considérer : cliquez pour agrandir Crowdsourced Graphic Design by 99designs Pourquoi la co-création ne se réduit pas à une action de social-media washing ? Crowdsourcing vs. Co-Creation: Is There a Difference? From co-creation to collaboration. Today is the last post in our series on structural collaboration based on the study of Tom De Ruyck and myself. We would like to close off with some thoughts and conclusions. Need for a change in internal implementation processes Collaboration should lead to decisions which are taken through a cooperation of the market and your company.

The proof of structural collaboration is in the implementation of the ideas. Remember that structural collaboration does not come overnight. Make sure that, along the way, you take into account these last tactical tips to make collaboration work: Have clear objectives in each collaboration project. Hope you enjoyed these insights about structural collaboration! L’impact du “crowdsourcing” sur le marketing - L'Art du Marketing. L’impact du “crowdsourcing” sur le marketing Écrit par Jimmy Mallet.

La quantité d’informations disponibles a radicalement augmenté. Selon Eric Schmidt, ancien PDG de Google : “Tous les deux jours, nous créons une quantité d’informations équivalente à ce qui a été créé de l’aube de la civilisation jusqu’en 2003.” Comme l’a décrit Jeff Howe en 2006, alors rédacteur à Wired Magazine : “L’augmentation exponentielle de cette masse de données combinée à l’évolution technologique et la démocratisation des outils informatiques grand public ont fortement réduit certains écarts entre professionnels et amateurs, ce qui permet à des entreprises de profiter du talent de la population pour atteindre des objectifs économiques, culturels, sociaux ou scientifiques”.

Selon Jeff Howe, ce n’est pas de l’externalisation, mais du “crowdsourcing.” Cette théorie du “crowdsourcing” a-t-elle un impact ou une influence sur la manière de faire du marketing ? L’avenir est loin d’être clair. « Crowdsourcing » : Opportunité ou menace ? | Réflexions publiques. Dans l’ère des médias sociaux et du contenu généré par les consommateurs, le « crowdsourcing » devient une tendance de plus en plus grandissante dans tous les domaines de la communication. Doritos l’a utilisé pour faire une campagne marketingBP l’a utilisé comme outil de gestion de criseMusique Plus l’utilise comme source de contenu Qu’est ce que le « crowdsourcing »?

C’est de la sous-traitance par le peuple, de la collaboration populaire. L’exemple le plus connu est Wikipedia. L’exemple Doritos : le concours Depuis un bon moment maintenant, Doritos fait chaque année un concours aux États-Unis, dans le cadre duquel les consommateurs sont invités à soumettre leurs idées de publicités pour Doritos. Cette année, la première version Canadienne de cette campagne a été faite.

Dans ce cas, le « crowdsourcing » était un outil parmi plusieurs. L’exemple BP : la diversion Les fuites pétrolières de BP ont obligé le département de communication à opérer une gestion de crise des plus embêtantes. Le crowdsourcing créatif et les marques. 17 avril 2012 par Yannig Roth, diplômé de l’ESSCA (promotion 2006-2011), chargé de recherche chez eYeka, doctorant à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Avez-vous déjà entendu parler de crowdsourcing? Cette expression un peu barbare, née en 2006 dans un article du magazine américain Wired, désigne le fait d’externaliser l’exécution d’une tâche auprès d’un grand nombre de personnes (une « foule ») via Internet.

Les exemples très souvent cités sont ceux de Dell IdeaStorm ou myStarbucksIdea, qui sont des plateformes participatives grâce auxquelles ces marques ont pu recueillir de précieuses idées de la part des internautes. Cet article ne parle ni de Dell, ni de Starbucks, mais des 10 marques les plus connues au monde. Toutes ces marques utilisent aujourd’hui le crowdsourcing pour faire appel à la créativité des internautes. 1) Coca-Cola: Selon le classement Interbrand, Coca-Cola est la marque la plus valorisée au monde. 10) Hewlett-Packard (HP) : Conclusion.

Le crowdsourcing: les bonnes idées sont dans la foule. Comment trouver la boisson rafraîchissante qui fera un carton cet été ou le prochain plat préparé préféré des consommateurs? En demandant aux internautes! En marketing, cela s'appelle du “crowdsourcing”. Le mot « crowdsourcing » est apparu pour la première fois dans le magazine en 2006. A l’époque, ce concept marketing proposait une idée géniale et pas chère: solliciter sa communauté autour d’une problématique donnée. Aujourd’hui, les marques l’ont intégré pour répondre aux attentes de nouveaux consommateurs. A ses débuts, le crowdsourcing relevait davantage du vote des consommateurs. En Suisse, c’est la jeune société bernoise Atizo qui propose à ses clients de bénéficier de leur plate-forme et de s’appuyer sur une communauté de 15'000 « innovateurs ». Une tendance qui porte ses fruits.

Le marketing participatif n'a pourtant pas que des qualités. Sur le Web, les idées sont gratuites... mais n'ont pas de prix! Transmedia Storytelling. La narration transmedia est un concept de communication consistant à utiliser un certain contenu narratif sur plusieurs types de médias mais en différenciant les aspects de la narration selon les spécificités du média utilisé. Explications. Le transmedia ou transmedia storytelling va au-delà du crossmédia ou pluri média. Il décline en effet une narration globale sur des supports complémentaires afin d’obtenir un contenu narratif unique sur chacun d’entre eux et permettre au public d’utiliser différents chemins pour parvenir à l’information diffusée.

Chaque contenu a sa propre histoire indépendante mais tous forment finalement un tout cohérent. La communication transmedia utilise donc les médias comme des supports distincts et complémentaires contrairement au pluri media où le même concept de communication sera utilisé et assez peu modifié sur chacun des supports publicitaires. Le crowdsourcing, ou quand la foule devient fournisseur. Effet de groupe. On connaissait le B to C, le B to B… voici le C to B. Derrière cette formule se cache le futur de la relation et de l’intégration client : le crowdsourcing. Chez Sosh d’Orange, on connaît l’attraction entre les consommateurs de la soshiety et les community manager de sosh. Et les constats sont rudes : entente presque de guerre, les différents forums de la marque sont des chants de batailles aux insultes. Alors revenir aux fondamentaux du crowdsourcing ça veut dire quoi ?

Et bien c’est tout simplement intégrer son client, son consommateur en respectant un certain nombre de commandements au cœur de son business : que ce soit en terme de créativité, d’offres, de services et d’innovation pour moderniser et défricher un marketing pas toujours si opérationnel. Cela permettrait non seulement de dégager des tendances et nouvelles idées mais aussi d’améliorer et de perfectionner des offres toujours plus proches de son consommateur tout en récoltant des données. Co-innovation : quelles limites pour le crowdsourcing ? Le recours au grand public dans le cadre de dispositifs de co-innovation soulève de nombreuses difficultés. Consommateurs et contributeurs (2/3). En confiant à des étudiants en école de design des projets relatifs aux interfaces domotiques à domicile, l’opérateur de télécoms Orange s’inscrit dans une logique proche de celle de Free (lire notre précédent article) mais fait appel à des professionnels en devenir, exprimant un besoin de reconnaissance de la part de leurs pairs et attirés par un potentiel emploi chez le commanditaire, pour mener à bien sa démarche de co-innovation.

L’entreprise, qui met en avant le regard neuf attendu de la part des participants, s’attend in fine à pouvoir concevoir de nouveaux produits à partir des propositions qui seront effectuées, et intègre donc des apports extérieurs dès la phase de recherche et de développement. La place des usagers en question Des contributeurs peu représentatifs de la population ?

Crowdsourcing : un brainstorming géant entre la marque et le consommateur » » • Marketing Performer• Marketing Performer. Sous l’impulsion des marques qui recherchent constamment à enrichir leurs offres grâce aux suggestions des internautes, le crowdsourcing a de nouveau le vent en poupe. Après le Web, cette technique marketing s’invite sur les réseaux sociaux. Pourtant, si l’implication de consommateurs dans le déploiement d’une stratégie marketing peut assurer le succès d’une marque, elle n’est pas à l’abri de quelques ratés. Un hypermarché qui fait appel à une agence pour trouver le prochain nom de son centre commercial ? Une marque de chocolat qui cherche de nouvelles saveurs ? C’est donc via la plateforme de co-création Creads.org que l’agence a choisi de développer ses campagnes. 40 000 designers planchent sur le brief de l’annonceur et proposent des idées qui seront ensuite soumises aux votes des internautes.

. « La bonne idée ne se trouve pas forcément en agence de communication. La cocréation : une rupture avec les modèles classiques du marketing. Une synthèse de Serge Soudoplatoff sur la cocréation (qu’il nomme codesign) rejoint tout à fait mes convictions sur la façon de faire du Marketing, aujourd’hui. Il présente les faiblesses et les limites du marketing traditionnel basé sur une relation « one to many » et la difficulté des entreprises à passer du stade de l’innovation (déclenchement d’une nouvelle technologie) au marché de production pour le grand public.

Voici comment il explique que le marketing traditionnel basé sur le Techno-Push, où les ingénieurs pousssent une innovation vers le marché, suivi du modèle Market-Pull où le Marketing poussent des produits, issus d’études de marché, vers les consommateurs, ne peuvent plus faire recette auprès des clients férus d’interactivité, qui ont leur mot à dire, quant à l’usage du produit proposé. Le Techno-Push : C’est la R&D qui guide l’innovation et la création de produits. Il s’agit d’un schéma linéaire : R&D ⇒ Ingénierie ⇒ Fabrication ⇒ Marketing ⇒ Vente. Co-création et implication du consommateur à l'ordre du jour d'une table ronde au SEMO 2010 - le blog usages d. Co-création « Marketing, satisfaction client, fidélité. La co-création est morte … Vive la co-création Lorsqu’en 2009 j’écrivais mon premier article, une revue de littérature consacrée à la co-création, je sentais déjà que cette thématique allait être absorbée très vite par les praticiens.

Les lecteurs de ce blog auront pu suivre les différents développements sur ce thème et sa diffusion progressive dans l’entreprise. Alors que le débat fait encore rage parmi les théoriciens sur la définition de la co-création (Vargo... Read More MyStarbucksIdea : un formidable échec ? Un “formidable échec” : ces deux mots ne sont-ils pas antinomiques ? Ferrari remercie ses fournisseurs Je m’étais déjà fait l’écho de Solvay qui à travers sa filiale Solvin décernait des prix à ses meilleurs fournisseurs. Les initiatives d’innovation ouverte (open innovation) échouent Un des participants à l’EMAC 2011 (de l’Université d’Amsterdam) présentait hier quelques faits sur les plateformes collaboratives comme MyStarbucksidea et Dell Ideastorm.

Hygie Ethik Consulting - RSE & DD: La co-création, nouvelle tendance de l'innovation au service de la RSE ? Leçon de co-création n°1 « Marketing, satisfaction client, fidélité. Les initiatives d’innovation ouverte (open innovation) échouent « Marketing, satisfaction client, fidélité. Co-création : Innover avec et grâce aux consommateurs. La co-création, pilier du Web 2.0 - Co-création Internet. La co-création via les communautés de consommateurs : opportunités et limites par Marc Papanicola - Chronique e-Business. Co-création de contenu, Doritos accélère - Publicité - Catégories articles - brainfood. Le marketing participatif = le client pour créér, promouvoir et vendre son produit. Crowdsourcing : les 4 raisons pour une marque de faire appel à l'internaute. Les 6 types d’acteurs de l’Internet social. Comment des entreprises françaises fabriquent et vendent de faux avis sur le Net. Marketing Participatif : Les Conseils Pour Unir Les Marques Et Les Internautes.

Les 7 Péchés Capitaux du Marketing Participatif.