DU CINEMA. Pourquoi Hollywood tourne en boucle. Hollywood, 2011. Plus que jamais, la capitale du cinéma domine le 7e art mondial. Harry Potter a enfin vaincu Voldemort et la terre entière applaudit, Angelina Jolie est ambassadrice du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés et les magazines people s'en régalent, la Russie et la Chine ouvrent leurs marchés et les films américains s'installent en tête de gondole - en 2010, 67 % des recettes de l'industrie hollywoodienne ont été réalisées à l'étranger. Cette suprématie est le fruit, encore et toujours, du fameux studio system, qui a vu le jour il y a près de cent ans. Mais c'est un système qui s'est profondément métamorphosé. Les studios appartiennent aujourd'hui à de gros consortiums et, pour eux, le film, simple produit de consommation, est l'équivalent d'une marque.
La récente crise économique a intensifié cette vision purement commerciale du cinéma. 1°) Quel est l'impact de la crise économique? Il est important. 2°) Comment se porte le cinéma indépendant? Mal. Oui. How to finance a Hollywood blockbuster. - By Edward Jay Epstein. As paradoxical and absurd as it sounds, it's cheaper for a Hollywood studio to make a big-budget action movie than to make a shoestring art film like Sideways. Consider Paramount's 2001 action flick Lara Croft: Tomb Raider. On paper, Tomb Raider's budget was $94 million. In fact, the entire movie cost Paramount less than $7 million.
How did the studio collect over $87 million before cameras started rolling? First, they used the German tax-shelter gambit. Here's how it works: Germany allows investors in German-owned film ventures to take an immediate tax deduction on their film investments, even if the film they're investing in has not yet gone into production. The Hollywood studio starts by arranging on paper to sell the film's copyright to a German company. For the privilege of fake ownership, the Germans pay the studio about 10 percent more than they'll eventually get back in lease and option payments. Through this triple play, Paramount earned a grand total of $87.2 million.
Studios US. Marketing du cinéma. Diffusion. "Les salles de cinéma vont mal ! Pour manifester leur vive inquiétude auprès des pouvoirs publics face à leur situation économique dégradée, les 2100 cinémas de France s’unissent pour une opération symbolique en éteignant leurs enseignes lumineuses le mercredi 4 novembre de 18h à 19h.
Les salles de cinéma souffrent de difficultés économiques structurelles, aggravées par la nouvelle chronologie des médias. Les salles de cinéma ont investi près de 2 milliards d’euros en moins de 20 ans. Ces investissements ont été le facteur déclenchant de la relance de la fréquentation qu’a connu la France à partir de 1992. Cette croissance des entrées a profité en tout premier lieu aux films français dont les entrées ont plus que doublé depuis 1992 (+112%) contre une augmentation de "seulement" 23% pour les films américains et de 62% pour le total des entrées confortant les salles de cinéma dans leur rôle de premier contributeur de la filière cinématographique.
Quelle place pour les "films d'en bas" sur les écrans français ? Je vais me livrer ici à une opération de transparence qui est assez rare dans mon métier : l’analyse contextualisée de la première semaine d’exploitation commerciale de mon film. « Rachel » est sorti en salles le 21 octobre. Pour le trouver, il faut bien le chercher : il n’est programmé que dans deux salles à Paris et dans une douzaine de cinémas en province - qui ne le passent pas en continu, mais au rythme d’une ou deux séances par jour, et parfois seulement deux ou trois fois par semaine. Son score de la semaine est trop bas pour figurer au box-office (moins de 3000 entrées), mais avec si peu de salles et de séances, on ne pouvait espérer beaucoup mieux. Rachelaffiches.jpg Mon film précédent, « Mur », avait fait plus de 7000 entrées en première semaine, mais il avait quatre salles à Paris, ce qui fait une énorme différence.
L’échec des uns fait le bonheur des autres Il y a pourtant un parc de plus de 360 salles à Paris, et près de 5400 écrans en France. . -2_1.jpg. Panorama chiffré du cinéma français. Marché français. Gaul has a bevy of highly capitalized distributors either backed by TV nets — StudioCanal, SND, TFM — or who have a foot in exhibition — Pathe and Gaumont — giving them the economic muscle to ride out the current storm. Some arthouse crossover players, such as Wild Bunch, Haut et Court, Pyramide and Rezo, are faring well, as they rely not only on domestic distibution but also on production and international sales. In general, box office is booming in France. That’s not to say some players, especially boutique operations, haven’t been hit by a bad run of results. But all things considered, France is a market where companies are not only surviving but thriving. Top 2009 Indies “LOL (Laughing Out Loud)”, $32.4 million (Pathe) Recent Pickups “Redhead,” UGC “Somewhere,” Pathe “The Cove,” EuropaCorp “Rudo y Cursi,” SND “Belle epine,” Pyramide.
Politique fiscale. France is set to launch its new tax rebates for international production by the end of the year. This will put it in the same price bracket as rival Western European locations in the contest to attract productions from the U.S. and other countries that have no co-production treaties with France, says Patrick Lamassoure, managing director of the French Film Commission. The rebates, which will apply to film and TV projects, will be worth 20% of all production spend in France up to a maximum benefit of x4 million ($6 million). There are a few strings attached: Projects eligible for support from media regulator the Centre National du Cinema, which benefits local pics and European co-productions, are excluded.
At least $1.5 million must be spent in France. Visual effects work carried out in the country counts as part of the spend. Live-action projects must shoot for a minimum five days in the country. The first of these cultural criteria is far less strictly applied to animation. StudioCanal extends global reach - Entertainment News, Canal Plu. French vfx startups buck bearish trend - Entertainment News, Fre. PARIS — While some of Gaul’s biggest, most prestigious vfx and toon companies are feeling the pinch, a new breed of smaller companies — offering low-cost services, including Indigenes Prods., Supamonks and Wip Studios — has bucked the trend. “These companies are banking on the merging of vidgames and films, Web series, TV productions and commercials,” says Ile de France Film Commission’s marketing topper Yann Marchet, who’s one of the organizers of Parisfx — Creative Ile de France, the showcase of Gallic vfx, which runs Nov. 18-19.
Launched in 2003, Indigenes Prods. has been specializing in compositing, special effects, greenscreen filming and post-production for TV docudramas and toons. Shingle notably co-produced TV hit “Trafalgar,” a historical docudrama featuring CGI settings and greenscreen background shooting. “Since we’re a small structure, we’re cheaper and more flexible than larger groups in France,” says Supamonks co-founder Pierre de Cabissole. Le cinéma indépendant en panne de distribution. Chaque année de bons films sont révélés sur des Festivals tels que ceux de Cannes, de Sundance ou de Toronto mais bien souvent ces films ne sortent jamais dans votre ville. Cette année, c'est pire encore puisque ces films, pour la plupart ne sortiront nulle part. Seuls les chanceux présents sur les Festivals ou bien les habitants de villes telles que San Francisco, Los Angeles, Seattle, Austin et New York pourront découvrir ces films. Si le cinéma indépendant a connu quelques belles années notamment grâce au travail effectué, à l'initiative de Robert Redford, dans le cadre de l'institution Sundance, aujourd'hui il connaît une grave crise de distribution.
Cannes mais plus particulièment Toronto sont de très gros marchés du film, des espaces vivants où l'on peut acquérir les droits de distribution de nombreux films qui ne sont jamais rattachés à de gros studios, parmi eux des films indépendants, des films étrangers, des films documentaires.
Marché du film. I'll be blog » Blog Archive » Les acteurs les plus et moins rent. Après m’être penché sur les rentabilités du cinéma français et américain, je vous propose de jeter un œil sur celles des acteurs Hollywoodiens. Comme chaque année, le magasine Forbes sort son classement des acteurs les plus « bankable » de l’année. En 2009, Shia LaBeouf est le roi du Box Office avec en moyenne 160$ de recettes pour chaque dollar de cachet qui lui est reversé.
Le potentiel successeur d’Indiana Jones devance largement son premier poursuivant, James McAvoy, qui ne rapporte « que » 114$ pour chaque dollar de salaire. Je me réjouis de retrouver Javier Bardem en sixième place de ce classement, car s’il est rentable on le reverra plus souvent – même raisonnement pour Bale, ce qui par contre me contrarie fortement. Et puisque les Américains savent bien rigoler, ils ont aussi fait le classement des stars qui rapportent le moins, que voici : C’est bien dommage pour Di Caprio, qui a joué dans les et , mais cela reflète l’immensité des cachets qu’il reçoit.
Even Oscar Has Money Woes - Media Decoder Blog. OK, they won -- so what's next? - latimes.com. Oscar winner Mo'Nique has no new film projects lined up. (Robert Gauthier / Los Angeles…) Pretty much as soon as he's done celebrating, best actor Oscar winner Jeff Bridges will travel to New Mexico to shoot "True Grit," the Coen brothers remake of the John Wayne classic that will come out in December. It will be the second movie of the season for Bridges, whose "Tron Legacy" is also set to be released in December.
But don't expect to see too many other boldfaced names from Sunday's Oscar podium in movie theaters any time soon. After starring in three movies in 2009, Sandra Bullock is being ultra-deliberate in selecting her next film. An Oscar can significantly boost an actor's or filmmaker's career, creating a tidal wave of offers and raising their fees. But the path from the Oscar podium to the multiplex these days is more winding. The majority of studios and independent financiers are cutting back on the number of projects they're producing. 'Hornet' honcho The yen to direct.
Eastwood practices fiscal discipline - Entertainment News, Museu. To be a successful director in Hollywood, you need talent; a vision; a knack for picking the right material and projects and stars; and all the leadership qualities necessary to marshal and inspire a small army of actors, crew members and production staff. But to maintain an A-list career over decades demands some other key ingredients in the helmer’s makeup — most notably, stamina, discipline, flexibility and, perhaps above all, a healthy regard for budgets, schedules and the bottom line — the cold, hard realities in the dreammaking equation.
And in these tough economic times, the latter qualities have become all the more important. Hollywood is strewn with the ruins and rubble of once great studios and companies laid to waste by the hubris and profligate spending of visionary — and talented — men (the name Cimino can still send shivers down executives’ spines). Clint Eastwood, a proud child of the Great Depression, is not one of those men. When: Tuesday Night. Maraval Gate.
Blu Ray. Le Blu Ray Disc a été lancé il y a trois ans aux Etats-Unis, avec pour mission de donner un coup de fouet aux ventes des majors. On en entend parler de plus en plus comme le nouveau standard, mais il semble que ce format de meilleur qualité et proposant de nombreuses nouvelles possibilités n’a encore complètement pénétré ni les esprits ni le marché. Des chiffres publiés par The Wrap le prouvent : après trois ans, le Blu Ray représente 6% du chiffre d’affaire du divertissement à la maison.
Sur la même période, le DVD représentait 20% de ce marché. Bon, il y a déjà une raison évidente pour expliquer la plus grande lenteur de cette nouvelle norme à se mettre en place : le BRD implique un changement complet d’équipement si l’on veut remarquer profiter de la qualité de ses performances. La bonne nouvelle, c’est que ces mauvais chiffres vont certainement contribuer à la baisse des prix des Blu Ray.
Finance & Cinéma.