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Mais que penser des bonus ?

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Why Isn't Wall Street in Jail? Why Isn't Wall Street in Jail? Pour - Point de vue d'un insider. ACDEFI - L'humeur de la semaine - Bonus : Attention à la désinfo. Une analyse plus fine. BNP Paribas s'apprêterait à verser un milliard d'euros de bonus à ses traders : cette « révélation » de Libération agite le web. L'histoire est loin d'être aussi simple. Dans leur empressement à taper sur les banquiers, les médias ont oublié quelques faits. Non seulement la BNP ne va pas forcément verser un milliard de bonus, mais son attitude va précisément dans le sens d'une « moralisation » de la finance.

Un bonus, en tant que tel, n'est qu'une forme de rémunération variable liée à la performance, comme les commissions de n'importe quel commercial. En soi, que quelqu'un qui rapporte plus d'argent à son entreprise touche une gratification supplémentaire, ça ne choque personne. Les cordons de la Bourse. Grâce aux députés, le scandale des emprunts toxiques va se traduire en chiffres a priori incontestables.

Les cordons de la Bourse

Selon le rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les produits financiers à risque, publié ce matin, et consultable ici, au second semestre 2011, l’encours total des prêts structurés détenu par les collectivités locales françaises, ainsi que les hôpitaux et les organismes de logement social se montait à 32,125 milliards d’euros. Parmi cet encours, la commission estime que les emprunts à risque sont de 18,828 milliards d’euros, dont 15,787 milliards de très risqués. Pour obtenir ces chiffres, la commission a pratiqué le plus simplement du monde.

Son rapporteur, le député UMP Jean-Pierre Gorges, l’a demandé aux banques, qui ont été obligées de lui répondre (le rapporteur d’une commission est « habilité à se faire communiquer tous documents de service », selon l’ordonnance 58-1100 du 17 novembre 1958). Celle du rapport Gissler. «Il faut bien faire la différence entre le bon et le mauvais ban. Douglas J.

«Il faut bien faire la différence entre le bon et le mauvais ban

Elliott, de la Brookings Institution, est consultant sur les institutions financières publiques et privées. Ancien banquier d’affaires de JP Morgan, il a présidé le Centre sur les institutions financières fédérales. Plusieurs banques américaines annoncent des bénéfices records et recommencent à verser de copieuses primes à leurs traders et cadres dirigeants. Est-ce le signe de la guérison de Wall Street ou du retour de l’arrogance ? Pour - edito du figaro. L'émoi médiatique suscité par le possible versement de bonus à 17 000 de ses salariés par la banque BNP Paribas n'est guère surprenant dans notre pays.

Pour - edito du figaro

La France n'en finit pas d'entretenir des rapports embarrassés, équivoques, jaloux avec l'argent. D'où le développement de polémiques excessives, voire injustifiées. Trader: le besin d'une rémunération spécifique ? Contre. Le débat sur le bonus des traders est loin d'être terminé.

Contre

Il faut le distinguer des bonus des dirigeants dans la mesure où il est basé sur un « pool » distinct qui permet de les rémunérer séparément. Je vais tenter d'expliquer où se trouve la supercherie. Au départ, les banques d'affaires n'étaient pas actives dans le trading des actions et des obligations comme elles le sont maintenant. Lorsque j'ai rejoint Morgan Stanley en 1985, les résultats et les activités de la firme provenaient de la garantie de bonne fin et du placement de titres (« underwriting »), de l'activité de conseil aux grandes entreprises et gouvernements et des fusions et acquisitions... Nous avons célébré la première année où la firme a atteint $ 100 millions de bénéfices. C'est à la fin des années '80 que tout a changé : l'activité de trading est devenue indispensable à celle d'underwriting et les banques établirent aux Etats-Unis et a travers le monde les gigantesques « machines » de trading que nous connaissons.

Le commentaire de Jacques Attali. Banques: le triomphe des coupables par Jacques Attali. - Le parquet du New York Stock Exchange Reuters - La crise, chacun le sait, est largement de la faute des banques américaines, qui ont trop prêté et développé des produits spéculatifs.

Banques: le triomphe des coupables par Jacques Attali

Pour les sauver, le Trésor américain leur a prêté de l'argent sans intérêt. Celles de ces banques qui n'ont pas fait faillite continuent à agir comme avant, inventant de nouveaux produits spéculatifs et ne prêtant, très chers, qu'à celles des entreprises qui n'ont pas vraiment besoin de leur argent. Elles ont, en plus, aujourd'hui, une raison supplémentaire d'agir ainsi: tous les régulateurs leur enjoignant de reconstituer leurs fonds propres, elles le font, non seulement en utilisant tous les artifices comptables rendus possibles par les réformes d'avril, mais aussi en refusant de prêter aux particuliers et en exigeant des intérêts énormes des grandes entreprises désespérément à la recherche de liquidités. publicité. Crise économique. Le lobby bancaire en position d’accusé. Dans une tribune publiée sur le site slate.fr, Jacques Attali fustige le lobby bancaire coupable selon lui de « recommencer à développer des produits spéculatifs, avec lesquelles elles comptent refaire les mêmes profits que par le passé, sans que personne ne vienne même, cette fois, leur opposer des réglementations ».

Crise économique. Le lobby bancaire en position d’accusé

Une solution, la nationalisation ? Et de continuer ainsi, lui qui est aussi banquier au sein de son établissement de micro-crédit, Planet Finance : « Ces lobbys sont si puissants qu’on n’en sortira que par une révolution politique. Elle devrait conduire, au moins, à interdire aux responsables publics du secteur financier de travailler ensuite dans les établissements qu’ils contrôlent. Et au plus, à nationaliser ce secteur ». Woutch. Bonne nouvelle, les banques flambent (encore) « Piratage(s) Moins d’un an après la débâcle financière, les traders se goinfrent encore.

Bonne nouvelle, les banques flambent (encore) « Piratage(s)

La banque BNP-Paribas provisionne un milliard d’euros de bonus. "Je suis particulièrement choqué que Le Figaro trouve que ce soit une bonne chose et s’en réjouisse, je trouve que c’est très dangereux […] un certain nombre de gens dans la presse disent que tout va très bien", mauvais coucheur, P.

Jorion ne mesure pas l’importance d’une telle nouvelle. En effet, la finance retrouve du souffle, le monde va mieux. BNP Paribas glisse 1 milliard de cadeau bonus dans ses comptes - Les marchés financiers repartent à la hausse, les banques distribuent des bonus et les politiques s’indignent.

BNP Paribas glisse 1 milliard de cadeau bonus dans ses comptes -

Jusque-là, on ne voyait de tels scandales qu’aux Etats-Unis. Mais cela arrive en France. BNP Paribas, la première banque du pays, a réalisé des performances records pour ses activités de marchés. Bonus et primes : le (résistible) chantage des « compétents » - De la crise que connut la Grèce antique issue de la décomposition de la royauté mycénienne en la première agora, Jean-Pierre Vernant, citant Theognis, indique très clairement le germe : « Ceux qui aujourd’hui ont le plus convoitent le double.

Bonus et primes : le (résistible) chantage des « compétents » -

La richesse, ta chrémata, devient chez l’homme folie, aphrosunè » [2]. Et Vernant, décrivant l’état des mœurs de cette Grèce du VIème siècle en crise d’ajouter pour sa part : « Qui possède veut plus encore. La richesse finit par n’avoir plus d’autre objet qu’elle-même (…), elle devient sa propre fin, elle se pose comme besoin universel, insatiable, illimité, que rien ne pourra jamais assouvir. A la racine de la richesse, on découvre donc une nature viciée, une volonté déviée et mauvaise, une pleonexia : désir d’avoir plus que les autres, plus que sa part, toute la part.

Banquiers : les pendre ou les nationaliser ? - Marc Vasseur (Jou. Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 09:38 Goldman Sachs, BNP-Paribas, Barclays… à chaque jour suffit pour annoncer des profits records et des bonus dépassant l’entendement.

Banquiers : les pendre ou les nationaliser ? - Marc Vasseur (Jou

Oui la reprise est bien là pour ces prédateurs… sinon au mieux on attend une déçue du chômage au mieux pour 2010/2011 donc pour le moment, c’est la douce musique des plans sociaux… avec heureusement, une côte de popularité en hausse pour Nicolas Sarkozy… tout de suite, ça va mieux. Tiens en parlant de lui, de vagues souvenirs reviennent à mon esprit, de grandes envolées sur la réussite du G20, d’un changement de comportements de tous ces dirigeants touchés par la grâce de l’éthique et d’une nouvelle morale.

Manifestement, il faudra encore un peu de temps et quelques recommandations fermes de la part de nos dirigeants pour les vœux pieux se transforment en faits… bref autant dire jamais. C’est vous dire si on vous a bien pris pour des canards sauvages ou pour des cons… Connaitre avant de juger ? Que se passe-t-il dans la tête d’un trader (2)? Le Momentum - E- Que se passe-t-il dans la tête d’un trader? (3) - E-FI, le blog. Que se passe-t-il dans la tête d’un trader? (4) - E-FI, le blog. Que se passe-t-il dans la tête d’un Trader ? (5) - E-FI, le blog.

Le début de la polémique. Dans un contexte de reprise des marchés financiers, les politiques s'indignent que les banques se remettent à distribuer des bonus importants. Et bien voilà de quoi nourrir leur réflexion. Selon ses comptes semestriels, BNP Paribas s'apprête à distribuer à ses traders un milliard d'euros de plus en 2009 qu'en 2008 (le montant total des bonus distribués n'est en revanche pas indiqué). La banque ne le crie pas sur les toits, mais, du fait de ses bonnes performances de début d'année, elle a fortement augmenté ses provisions pour payer à ses traders des rémunérations variables faramineuses au début de l'année prochaine. Mais il ne faut pas aller chercher très loin pour trouver les montants exacts. Lors du premier semestre, le montant des frais de gestion du pôle Corporate and Investment Banking (CIB) a été de 3,237 milliards d'euros. Et l'évolution des bonus constitue la principale explication de cette augmentation.

Flexibilité à la hausse, comme à la baisse! Réagissez à l'article. Quelles conséquences ? Bonus des traders : Lagarde ne veut pas de loi. Sociétés : Nicolas Sarkozy reprend en main le dossie. Le président de la République convoque les banquiersà une réunion le 25 août. La polémique ne pouvait laisser l'Élysée indifférent. Jeudi matin, Nicolas Sarkozy, dans le Var, François Fillon, en Toscane, et Christine Lagarde, en Corse, ont eu plusieurs échanges téléphoniques pour ajuster la réaction du gouvernement aux nouvelles révélations sur les bonus. Un communiqué a donc été publié hier pour demander notamment aux banques d'« appliquer avec fermeté les règles (du G20, NDLR) en matière de rémunération ». Il convoque également une réunion à l'Élysée le 25 août, c'est-à-dire le jour du premier Conseil des ministres de la rentrée. Bonus des traders : "Dans la pratique, rien ne change" - L'écono. Bonus / Banques : les traders, les bonus et les risques.

Les bonus des traders ne sont pas seulement scandaleux : ils annoncent aussi le retour de la spéculation. Avant que n'éclate la prochaine bulle, il faut des mesures fortes pour réguler le secteur financier dans son ensemble. Par Guillaume Duval, rédacteur en chef d'Alternatives Economiques Depuis que Libération a révélé que BNP Paribas avait mis 1 milliard d'euros de côté au premier semestre 2009 pour payer les bonus de ses traders, la question des rémunérations dans la finance est revenue au premier plan de l'actualité. Les salaires, fixes et variables, que touchent ces salariés très spéciaux sont en effet colossaux, souvent supérieurs mêmes à ceux, faramineux, des PDG des banques qui défraient pourtant régulièrement la chronique. La suite des événements. Si le G20 voulait... Il ne faut pas s’étonner que « ça » résiste. C’est une forme de vie que la finance se prépare à défendre et, il faut en être tout à fait certain, de celles dont elle a tiré tant de joies qu’elle ira jusqu’au bout pour la faire perdurer.

Bonus et crédit : Sarkozy réunira les banquiers le 25 août. Sociétés : Nicolas Sarkozy reprend en main le dossie. Un plan pour résoudre le problème des bonus - Démystifier la fin. Après de nombreux articles ici-même sur ce sujet, je vais tenter une synthèse qui semble faire défaut a beaucoup de dirigeants politiques s’ils veulent faire mieux que simplement mettre un emplâtre sur une jambe de bois. Le bonus en soi est une bonne chose. Pour compenser les exc. Quand Baudoin Prot flingue le bonus-malus des traders... Les Etats piégés dans un soutien financier sans fin à une économ.

Le ralentissement actuel (1) de la vitesse d'effondrement de l'économie mondiale qui « crée » les « bonnes nouvelles » (2), n'a été rendue possible que par l'immense effort de soutien financier public mondial des douze derniers mois (3). Mais le « temps gagné » grâce à l'argent des contribuables du monde entier aurait dû être consacré à la remise à plat du système monétaire international puisqu'il est au cœur de la crise systémique actuelle (4). Bonus et primes : le (résistible) chantage des « compétents » -

La banque, le consultant naïf et le régulateur. SARKOFRANCE: Banques, mensonges et trahisons (1) : les paradis. Les traders sont ils les derniers glorieux poilus de l'ére moder. Les bonus provisionn. Bonne nouvelle, les banques flambent (encore) « Piratage(s) Un plan pour résoudre le problème des bonus - Démystifier la fin. Banquiers : les pendre ou les nationaliser ? - Marc Vasseur (Jou. Bonus : les faux-semblants de la régulation Potemkine - Les blog. Bonus / Banques : les traders, les bonus et les risques. Histoires de bonus (1) : Le mercato fantôme - SoBiz, le business. Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 12:17. Le gendarme bancaire britannique veut taxer les banques. Le chef de l'autorité bancaire britannique s'est dit partisan d'une taxation des banques pour faire baisser les bonus controversés qu'elles accordent à leurs cadres, qu'il a attribués notamment à un accroissement démesuré du secteur financier.

Le vrai-faux repentir des banquiers. Le vrai-faux repentir des banquiers. Le vrai-faux repentir des banquiers. Le vrai-faux repentir des banquiers. La dérive des salaires des patrons. La polémique Goldman Sachs. Rogue Traders: Lies, Losses, and Lessons Learned. TRADINGOFEL/ZONE-TRADING : Tout ce que vous avez toujours voulu. Crise systémique : le trou noir. Bonus : les faux-semblants de la régulation Potemkine - Les blog. Histoires de bonus (1) : Le mercato fantôme - SoBiz, le business.

Le vrai-faux repentir des banquiers. Le gendarme bancaire britannique veut taxer les banques. G20 : banques et bonus au G20 : des risques mal calcul. Goldman Sachs Had Bigger Role in AIG. Banques: les bonus des traders sont inutiles pour l'économie. Une crise qui ne règle pas les problèmes qui l'ont générée, par. Limiter les bonus, poudre aux yeux pour électeurs. Top US banker criticises bonuses. Janet Tavakoli, President, Tavakoli Struct. Today's Sharp Pullback In Stocks I.

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