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Quelques textes fondateurs

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Martin Luther King, Jr. I Have A Dream Speech. Traités de Westphalie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Traités de Westphalie

Les traités de Westphalie (ou paix de Westphalie) signés le 24 octobre 1648 concluent simultanément deux séries de conflits en Europe : Négociations et traités[modifier | modifier le code] Catholiques et protestants refusant de se rencontrer[réf. souhaitée], les pourparlers se tiennent à Münster à partir de décembre 1644 puis à Osnabrück à partir de 1645. Les premiers voient s'opposer les Provinces-Unies à l'Espagne d'une part, et la France au Saint-Empire romain germanique d'autre part. Les seconds opposent l'Empire suédois au Saint-Empire. Véritables congrès internationaux, toutes les puissances européennes y sont représentées à l'exception du tsar de Moscovie, du roi d'Angleterre et du sultan ottoman[pourquoi ?].

Les trois traités signés à leur issue sont : Conséquences[modifier | modifier le code] Carte simplifiée de l'Europe après la paix de Westphalie en 1648. Saint-Empire romain germanique en 1648. Habeas corpus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Habeas corpus

L’ordonnance, bref ou mandat d’habeas corpus (en anglais writ of habeas corpus), plus exactement habeas corpus ad subjiciendum et recipiendum, énonce une liberté fondamentale, celle de ne pas être emprisonné sans jugement (contraire de l'arbitraire qui permet d'arrêter n'importe qui sans raison valable). En vertu de ce principe, toute personne arrêtée a le droit de savoir pourquoi elle est arrêtée et de quoi elle est accusée. Ensuite, elle peut être libérée sous caution, puis amenée dans les jours qui suivent devant un juge. Ses origines remontent à la Rome antique avec la provocatio, qui en est le précurseur, et son principe moderne naît dans l’Angleterre du Moyen Âge. Depuis, elle a été renforcée et précisée de façon à apporter des garanties réelles et efficaces contre la détention arbitraire par l’Habeas Corpus Act (« la loi d’Habeas Corpus ») de 1679.

Les origines médiévales[modifier | modifier le code] Magna Carta. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Magna Carta

Magna Carta. La Magna Carta Libertatum ou Grande Charte est une charte de soixante-trois articles arrachée par le baronnage anglais au roi Jean sans Terre[note 1] le 15 juin 1215 après une courte guerre civile notamment marquée par la prise de Londres, le 17 mai, par les rebelles. Les barons étaient excédés des exigences militaires et financières du roi et de ses échecs répétés en France, en particulier à Bouvines et à La Roche-aux-Moines. L’affirmation, largement répandue en France, selon laquelle la Magna Carta « a été rédigée en 1215, sur le sol français, dans l'abbaye cistercienne de Pontigny par des Anglais émigrés, en révolte contre leur roi, Jean sans Terre »[1], est historiologiquement infondée : les historiens anglais[2] et les études les plus récentes[3] ne constatent en fait rien de tel. Cette « Grande Charte des libertés d'Angleterre » garantit le droit à la liberté individuelle[6].

Controverse de Valladolid. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Controverse de Valladolid

Ne doit pas être confondu avec la conférence de Valladolid, une réunion théologique qui se tint à l'université de Valladolid en 1527. La controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda en deux séances d'un mois chacune (l'une en 1550 et l'autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid, mais principalement par échanges épistolaires.

Ce débat réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu'elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience [1]. Ce débat eut lieu sous le pontificat du pape Jules III. Le contexte[modifier | modifier le code] 4 septembre 1870 : la République proclamée. 4 septembre 1870 : La République proclamée Le palais du Corps législatif le 4 septembre 1870 Jacques Guiaud.

4 septembre 1870 : la République proclamée

Emile Boutmy / Quelques idées sur la création d'une Faculté libre d'enseignement supérieur : lettres et programme. J’accuse...! J’accuse…!

J’accuse...!

Dans l’Aurore du 13 janvier 1898 Monsieur le Président, Me permettez-vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous m’avez fait un jour, d’avoir le souci de votre juste gloire et de vous dire que votre étoile, si heureuse jusqu’ici, est menacée de la plus honteuse, de la plus ineffaçable des taches ? Vous êtes sorti sain et sauf des basses calomnies, vous avez conquis les cœurs. Vous apparaissez rayonnant dans l’apothéose de cette fête patriotique que l’alliance russe a été pour la France, et vous vous préparez à présider au solennel triomphe de notre Exposition Universelle, qui couronnera notre grand siècle de travail, de vérité et de liberté.

Puisqu’ils ont osé, j’oserai aussi, moi. Et c’est à vous, monsieur le Président, que je la crierai, cette vérité, de toute la force de ma révolte d’honnête homme. La vérité d’abord sur le procès et sur la condamnation de Dreyfus. Ah ! Mais voici Dreyfus devant le conseil de guerre. Ah ! Ernest Renan : Qu'est-ce qu'une nation ? (01)

RENAN, Ernest (1823-1892) : Qu'est-ce qu'une nation ?

Ernest Renan : Qu'est-ce qu'une nation ? (01)

, 1882. Saisie du texte : S. Pestel pour la collection électronique de la Bibliothèque Municipale de Lisieux (17.02.1997, corrigé le 19.I.00) Texte relu par : A. Ernest Renan : Qu'est-ce qu'une nation ? (02) RENAN, Ernest (1823-1892) : Qu'est-ce qu'une nation ?

Ernest Renan : Qu'est-ce qu'une nation ? (02)

, 1882. Ernest Renan : Qu'est-ce qu'une nation ? (03) Ernest Renan : Qu'est-ce qu'une nation ? (04) Blum, 1920, Pour la vieille maison.