background preloader

Monnaie-Economie

Facebook Twitter

Mozilla Firefox. L'Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR) «Le libre accès au savoir tient du bien public mondial» - Libéra. Le dernier ouvrage de Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie 2001, est un livre contre le «fanatisme du marché».Un autre monde (1) est un nouveau réquisitoire contre une mondialisation déséquilibrée. Illustration avec l'enjeu des droits de propriété intellectuelle (PI). La propriété intellectuelle est-elle la face cachée de la mondialisation ?

Les déséquilibres de ce régime de droits exclusifs sont parmi les pires déviances du capitalisme actuel. Parce qu'il est question de vie ou de mort, comme on le voit dans la lutte pour des copies de médicaments à bas prix. Les hommes ou les brevets ? Vous le dénoncez, mais à l'époque vous étiez le conseiller de Clinton à la Maison Blanche ! Il faut voir le lobby formidable des multinationales du médicament et de l'industrie culturelle. Et, quinze ans après, rien n'est réglé... Tous les pays n'ont pas la puissance du Brésil, qui a menacé de copier des médicaments antisida avant de voir le prix des originaux divisé par dix. Le marché selon la sociologie économique. Vers un changement de paradigme en économie ? - La vie des idées. Dans son article « Mais qui sont donc ces économistes ? », James K. Galbraith entreprend de préciser qui sont les économistes qui auraient eu suffisamment de clairvoyance pour pressentir la crise financière.

Galbraith défend la thèse que ces économistes ne sont pas là où on pourrait les attendre, à savoir au cœur de la science économique. Au contraire, il faudrait les chercher à la périphérie, voire à l’extérieur du champ de l’économie académique. Comme il en informe explicitement son lecteur, la liste des économistes qu’il donne n’est nullement exhaustive. La position défendue par Galbraith est intéressante et a, au minimum, un mérite : elle est constructive, dans le sens où elle entend partir de, et valoriser, des analyses certes à la périphérie de la science économique, mais qui ambitionnent de proposer une alternative à l’approche dominante. Une crise « systémique » de la science économique ?

La théorie néoclassique est morte, vive le mainstream pluraliste ? Conclusion. La finance islamique et l'imposition de la charia. 1. L’Occident alléché par la finance islamique Vous qui pensiez que tout ce qui touche à la charia, la « loi islamique », revêt forcément aux yeux des Occidentaux un aspect négatif, détrompez-vous : la finance islamique, qui, comme son nom le souligne, relève de règles éthiques et religieuses islamiques, semble avoir de beaux jours devant elle dans les pays d’Europe et d’Occident. De fait, ceux-ci, par l’odeur des pétrodollars alléchés, voient aujourd’hui dans la finance islamique un moyen de renflouer leurs caisses. Les chiffres d’ailleurs ne parlent-ils pas d’eux-mêmes : « 1000 milliards de dollars en 2010, c’est l’encours prévu par les économistes pour la finance islamique. 2.

Lorsqu’on parle de « finance islamique », certains s’interrogent encore : « Mais voyons, il ne peut exister de finance à proprement parler "islamique", la finance c’est la finance, point ! 3. 4. Éric Timmermans Sources : Le pape s’est-il converti à la finance islamique ?