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Écrans et jeux vidéo à l’adolescence - Tendances 97 - décembre 2014

Écrans et jeux vidéo à l’adolescence - Tendances 97 - décembre 2014
Tendances n° 97, OFDT, 6 p.Décembre 2014 Quelles sont les pratiques d’écrans susceptibles de poser problème à l’adolescence ? Comment repérer les signes d’un usage problématique de jeux vidéo ? Auteurs : Ivana Obradovic, Stanislas Spilka, Olivier Phan, Céline Bonnaire Avec la collaboration de Zéphyr Serehen et Kilé Doucouré Télécharger le Tendances (fichier PDF, 803 Ko) Télécharger le communiqué de presse (fichier PDF, 803 Ko)

INPES - Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages Le jeu est présent dans toutes les sociétés humaines. Constitutif de l’homme, il forme le jeune aux défis qu’il devra relever adulte. Selon diverses sources, 90% des adolescents passent plus de deux heures par jours sur leurs écrans. Consoles, smartphones, tablettes, ordinateurs, autant de supports à leur disposition pour surfer sur Internet, se faire des amis virtuels sur les réseaux sociaux, jouer à Assassin Creed, World of Warcraft ou Call of duty…, activités parfaitement banales et licites. Dès lors, les inquiétudes que suscite l’usage intensif d’Internet et des jeux vidéo sont-elles justifiées ? Le marché du logiciel interactif européen pèse aujourd’hui 30 milliards d’euros par an, présente un taux de croissance de 15 % et des innovations permanentes. Dans notre pays, il existe encore peu de données quantitatives sur les pratiques de jeux vidéo/Internet chez les adolescents (voir « Pour en savoir plus »).

Dépendance ? — Enseigner avec le numérique Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...]«Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Figaro.fr, 22/01/ Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo”Interview par Hubert Guillaud "Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est grave docteur ?

Conduites addictives chez les adolescents – Une expertise collective de l’Inserm | Salle de presse | Inserm Télécharger la synthèse de l’expertise collective. En France, les niveaux de consommation de certaines substances psychoactives, en particulier l’alcool, le tabac et le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit des évolutions de la réglementation visant à limiter l’accès des mineurs à ces produits et des campagnes de prévention répétées. ©Fotolia Pour répondre à cette demande, l’Inserm a réuni un groupe pluridisciplinaire d’experts en épidémiologie, santé publique, sciences humaines et sociales, addictologie, neurosciences et communication. Les experts ont notamment constaté une modification des usages et des modes de consommation de certaines substances psychoactives, comme par exemple l’alcoolisation ponctuelle importante qui tend à se développer chez les adolescents. L’adolescence, période de vulnérabilité L’adolescence s’accompagne de nombreux changements physiologiques et physiques, mais c’est également une étape de maturation et d’évolution psychologique complexe.

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Réflexions intéressantes sur des méthodes de repérage des pratiques d’écrans susceptibles de poser des problèmes aussi bien que sur des signes d’un usage problématique de jeux vidéo. Car alerter des professionnels de santé au plus vite peut permettre d'aider à temps des addictes à internet. Cette information manquait à mes perles. Félicitation et bonne continuation. Svetlana by serdetchnaia_groupe1_psy Mar 5

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