
Facebook étend son ciblage publicitaire, sous le contrôle relatif de ses membres Le réseau social, basé en Californie (ouest des Etats-Unis), a commencé il y a plusieurs mois à utiliser les activités en ligne de ses abonnés sur des sites extérieurs à Facebook pour cibler ses annonces. Si par exemple un abonné de Facebook visite des sites internet de voyage, il recevra ensuite sur le réseau social des publicités de séjours touristiques. Quand quelqu'un achète une chaîne stéréo sur un site internet, il augmente la probabilité de voir s'afficher des annonces publicitaires de haut-parleurs sur son compte. Mais le réseau social va aussi permettre à ses membres de préciser eux-mêmes quels types de publicités ils souhaitent recevoir. Les nouvelles annonces sont ainsi accompagnées d'une option intégrée qui expliquera à l'internaute pourquoi Facebook a estimé qu'une publicité pouvait l'intéresser, mais qui permettra aussi à l'utilisateur de stipuler ses préférences, en enlevant certains de ses "intérêts" de son profil publicitaire Facebook.
Snapchat va identifier les objets pour créer des publicités ciblées – Dans Ta Pub Après avoir donné un coup de neuf à son interface, notamment avec le redesign de sa section Discover, Snapchat se lance dans la publicité ciblée en proposant des filtres personnalisés. Snapchat veut enrichir son modèle économique qui était pour l’instant basé uniquement sur les marques présentent dans la « Stories ». Après le renouveau de son application, nous avons vu apparaître un nouveau format de diffusion pour les marques : financer Snapchat pour faire apparaître des articles temporaires. Ce brevet, déposé en 2015 et publié il y a peu par l’USPTO, montre le développement du modèle économique de Snapchat et, surtout, l’envie de s’inscrire dans la lignée de Google ou Facebook en terme de publicité ciblée. Source : Numerama
Facebook recule sur les publicités ciblées, mais devient une régie globale Facebook, la machine à flatter En dix ans, le succès planétaire rencontré par Facebook a généré une myriade de discours. Des discours qui, tous, semblent avoir occulté le ressort fondamental qui structure de part en part la méta plateforme : Facebook représente dans les faits un dispositif technique hautement élaboré, prioritairement destiné à flatter “l’individu-roi” contemporain. C’est du côté de “l’expérience utilisateur” que l’on peut décrypter – comme à la trace – la formation d’un sujet érigé en maître absolu de son environnement social en ligne. Chaque usager est appelé à nouer des “affinités sélectives”, par la transmission de requêtes ou par l’acceptation de demandes “d’amitié”. Cette posture est amplifiée par la possibilité à tout moment de “défriender” quiconque de sa liste, confortant ainsi une toute-puissance libre de “nettoyer” à sa guise le champ de son voisinage sans discussion médiatisée par la parole ou l’échange de visu. Du facebooker-maître au facebooker-tyran La cruauté du réel
Facebook s'invite (discrètement) dans les rayons des magasins avec des QR codes Le smartphone constitue l'élément clé pour réunir le monde du online et celui du offline. Ce constat n'a pas échappé à Facebook, qui, lui aussi, se lance dans l'omnicanalité. Le réseau social, qui frôle désormais les 2 milliards d'utilisateurs mensuels dans le monde, teste une nouvelle fonctionnalité au sein de son application mobile. Contacté par la rédaction de TechCrunch, Facebook a reconnu expérimenter cette solution depuis quelques mois : "Pour aider les entreprises à se connecter à leurs clients là où ils se trouvent, nous menons un petit test qui permet aux utilisateurs d’utiliser l’appli Facebook pour cumuler et proposer des récompenses lorsqu’ils réalisent un achat dans un magasin membre du programme".
Big Data : 5 exemples de son utilisation marketing Connu et pourtant ignoré, le Big Data est un peu le sous-marin du Web, très puissant, il offre une véritable force de frappe aux marques qui le mettent en oeuvre, et pourtant il reste plutôt caché, à tel point qu’on oublie à quel point il est décisif… Sujet on ne peut plus tendance, il reste néanmoins fantomatique lorsqu’il est question de connaître ses débouchés tellement ces derniers sont nombreux. Savoir que le Big Data c’est : “Beaucoup de données”, citation qui, il faut l’avouer, ne nous aide pas beaucoup dans la recherche pratique de ce qu’est ce phénomène dont tout le monde parle. D’où l’idée d’aborder 5 exemples d’utilisation du Big Data en marketing, tant ce secteur a intérêt à s’y intéresser et le fait depuis quelques années déjà. Pour revenir sur les métaphores un peu vides de sens : le Big Data, c’est un peu l’effet Canada Dry du Cloud. D’abord, parce qu’en définition, le Big Data n’est possible que grâce au Cloud. 1. 2. 3. 4. 5. Le résultat ? Crédit photo : shutterstock
Maîtrisez les réglages « vie privée » de votre smartphone Réglez la géolocalisation en fonction de vos besoins Pourquoi c’est important ? Environ 30 % des applications utilisent la géolocalisation, parfois plusieurs fois par minutes. Ces informations pourraient permettre de déduire des informations sur les habitudes et modes de vie des utilisateurs (lieux de vie, de travail, habitudes de fréquentation, mobilité, fréquentation d’établissements de soins ou de lieux de culte) Si vous voulez avoir un aperçu de l’impact de l’activation permanente de l’outil de géolocalisation sur votre smartphone androïd, rendez- vous sur Google Location Pour désactiver ce service, rendez vous sur la page google location. Si vous ne souhaitez plus que la localisation soit enregistrée à l’avenir, il vous faudra désactiver l’option « partager ma localisation » dans les paramètres google de votre téléphone. Comment faire ? Sur Androïd, le paramétrage de la géolocalisation est global pour l’ensemble du téléphone. Limitez le suivi publicitaire Comment faire ?
Pratiques des adolescents sur Internet et les médias sociaux L'article de la Revue Française des Sciences de l'Information et de la Communication prend appui sur certains des résultats de l’étude JAMES (Jeunes/Activité/Médias/Enquête suisse) menée en 2012, en partenariat avec les Universités de Zürich, de Lugano et de Genève. Cette enquête visait à mesurer les usages des médias et réseaux sociaux par les adolescents et, à l’échelle suisse, à combler un manque en matière de recherche sur les pratiques médiatiques des adolescents. Les auteurs du présent article s'appuient notamment sur un questionnaire fermé et standardisé, soumis à un échantillon de 1169 élèves âgés de 12 à 19 ans, et fréquentant des écoles (écoles de commerce, collèges) ou établissements professionnels (places d’apprentissage). Usages des médias chez les adolescents L'étude relève que les « 15-19 ans » ne sont que 16 % en France à lire la presse (gratuite et payante) tous les jours en 2009. Pratiques informationnelles des adolescents Sources et références complémentaires
Big data : comment les géants du Net transforment nos faits et gestes en juteux business Age, religion, profession, achats, loisirs... Les traces laissées en ligne par nos modes de vie numériques sont une mine d'or pour les régies publicitaires des géants du Net. À un point que les utilisateurs ne soupçonnent pas. C'était le deal de départ. Internet, c'est gratuit, mais, en échange, l'utilisateur doit naviguer entre les pubs. Des millions de données, appelées «big data», qui sont ensuite triturées par les géants du Web et mises à la disposition des annonceurs pour qu'ils y fassent plus de pubs, mieux ciblées. L'internaute qui, grâce à ce ciblage, se voit offrir des annonces en rapport avec ses besoins n'y a longtemps rien trouvé à redire. Mais la grogne monte. Celle des autorités judiciaires ensuite, comme le Conseil d'Etat, qui s'inquiète des risques d'un «enfermement de l'internaute dans une personnalisation dont il n'est pas maître» et d'une «confiance abusive dans les résultats d'algorithmes perçus comme objectifs et infaillibles». Celle des Etats européens enfin.
linc.cnil [Aller à la dernière version, publiée en juin 2022 : CookieViz 2.3] Le logiciel Cookieviz 2, à télécharger gratuitement depuis le compte Github de la CNIL, analyse les interactions entre votre ordinateur, votre navigateur et des sites et serveurs distants. En l'installant vous pourrez savoir à quels autres acteurs le site que vous visitez envoie des informations. Des nouvelles fonctionnalités pour la version 2: Création de parcours de visite manuellement ou depuis un fichier texteSupport multilingueAnalyse par histogramme, voronoï et par graphe Comment l’utiliser ? 1. Développeurs et experts du web, contribuez au projet open source ! Le code source du logiciel Cookieviz est librement accessible et peut être enrichi par les développeurs. Vous avez une idée que vous souhaitez partager avec nous pour améliorer ce projet ?