
Robots, Drones et Intelligence Artificielle Avantages et désavantages des robots humanoïdes 1) Deux visions différentes de l'avenir, occident et orient. Alors que la création de robots humanoïdes ne suscite guère l’intérêt des chercheurs occidentaux, qui trouveraient plutôt chez les insectes leur source d’inspiration, les asiatiques, notamment les Japonais, investissent bien plus dans la création d’androïdes. Quelle peut en être la raison ? De façon plus générale, pourquoi les robots japonais sont-ils charmants, sympathiques ? La première cause d’une telle divergence de vision pourrait tout simplement être la source de financement : Par exemple, en Amérique, une grande partie des travaux sur l'Intelligence Artificielle et la robotique est effectuer par des militaires. Autre facteur, le vieillissement rapide de la population japonaise, qui nécessiterait la multiplication des robots androïdes pour s’intégrer à la population humaine âgée et lui venir en aide . Il y aurait d’autres causes, plus culturelles. A quoi peuvent servir les robots humanoïdes? 1) Le premier est abstrait.
Pourquoi les robots vont créer des emplois en France 01Business le 04/06/13 à 16h00 Il est 2 heures du matin dans ce hangar de la région parisienne. Ce robot de sécurité, appelé l'e-vigilante, alerte le service de sécurité, commence à émettre de puissants flashs et déclenche une sirène assourdissante. Car le temps où les robots étaient cantonnés aux chaînes de production des usines est révolu. Cette main-d'œuvre silencieuse, taillable et corvéable à merci, va-t-elle contribuer à détruire encore des emplois ? A la traîne. Pourtant, en France, si les géants de l'industrie automobile, comme Renault ou PSA Peugeot Citroën, ont compris depuis longtemps le lien entre compétitivité et robotique, peu de PME suivent le mouvement. Cette technologie traîne toujours sa réputation de destructrice d'emplois. “ Je rencontre des dirigeants qui déboursent 1 million d'euros dans une machine-outil, mais hésite à investir dans un robot à 100 000 euros ”, déplore Jacques Dupenloup, responsable des ventes de Stäubli Robotics pour la France. Labos de pointe.
Histoire de la robotique - Chronologie Quand est apparu le premier robot ? Quelles ont été les grandes étapes de l’histoire de la robotique ? Voici quelques éléments de réponse dans cette chronologie rassemblant quelques-uns de ces événements. Les périodes décrites dans cette chronologie ne sont pas aussi nettement définies, et certaines peuvent s’étendre sur de bien plus grandes périodes. Vous trouverez en bas de page la liste des sources utilisées pour établir cette chronologie ainsi que des liens, ressources supplémentaires et un résumé graphique. Si vous souhaitez réutiliser cette présentation ou l'intégrer sur votre site, vous trouverez tout en bas le code nécessaire. Si vous souhaitez la modifier, la personnaliser pour votre usage ou obtenir une version utilisable hors ligne, n'hésiter pas à contacter l'auteur. Les premiers mécanismes Apparue vers 3500 av. L’horlogerie Les clepsydres (horloges à eau) furent probablement inventées vers 1600 av. Source des images : Clepsydre Greco-Romaine 1090 ap. Les automates La cybernétique
Robot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne les robots matériels. Pour les robots purement logiciels, voir Bot informatique. Le robot Nao, un humanoïde, développé pour interagir avec les gens. Le robot Actroid-DER, un Androïde, développé pour assurer des fonctions d'accueil du public, a été présenté à l’Expo Aichi 2005. Un robot est un dispositif mécatronique (alliant mécanique, électronique et informatique) accomplissant automatiquement soit des tâches qui sont généralement dangereuses, pénibles, répétitives ou impossibles pour les humains, soit des tâches plus simples mais en les réalisant mieux que ce que ferait un être humain. En dépit de leur coût élevé à l'époque (faute de microprocesseurs puissants produits en masse), les robots se sont imposés dès le début des années 1970 pour certaines tâches comme la peinture des carrosseries automobiles, en atmosphère de vapeurs toxiques. La science des robots se nomme la robotique. Étymologie[modifier | modifier le code]
Les personnes handicapées vont pouvoir remplacer leur main perdue grâce à cette prothèse au prix très abordable Une jeune entreprise italienne a développé une prothèse de main à bas coût en utilisant l’impression 3D. Son but étant qu’un plus grand nombre de personnes amputées puissent profiter d’un produit fini plus facilement. DGS vous présente cette invention ingénieuse et altruiste. Le domaine des prothèses se développe de plus en plus ! Seulement, ces petites merveilles sont malheureusement très onéreuses et sont encore réservées à quelques personnes pour des essais cliniques. Bien que ce travail d’innovation soit indispensable pour rendre le quotidien des personnes handicapées plus confortable, leur accessibilité l’est tout autant. Cette jeune entreprise a développé une prothèse de main bionique contrôlée par la contraction des muscles via des électrodes. De toute évidence, cette main bionique ne dispose pas de toutes les fonctionnalités que proposent les modèles qui valent beaucoup plus cher.
Un robot nommé à un poste clef d'une entreprise Après être passé dans plusieurs entreprises où il a fait ses preuves, un robot prénommé Vital s'occupe désormais d'identifier les investissements les plus judicieux pour une entreprise hong-kongaise. Il y a quelques mois, Le Figaro rapportait que les robots prenaient de plus en plus de place dans les entreprises, quitte à devenir - quasiment! - des collègues. Une société basée Hong-Kong va encore plus loin. Deep Knowledge Venture, spécialisée dans la gestion de dons à haut risque, a décidé d'innover dans sa gestion des ressources humaines en nommant à son conseil d'administration un robot dénommé Vital (Validating Investment Tool for Advancing Life Sciences). Son rôle? Et si Vital a pu obtenir un poste clef dans une société comme DKV, c'est précisément qu'il commence à avoir un CV en béton. » Retrouvez les dernières offres d'emploi avec Cadremploi
Conclusion : robotique, les enjeux de demain AgnèsGuillot Chercheur en Psychophysiologie Des premiers automates aux robots humanoïdes autonomes, la robotique s'est inspirée de la nature, apportant, avec ses technologies, des considérations éthiques. Quand la robotique s'inspire de la nature... © DR L'Homme et la robotique : le nouveau Prométhée ? Au XVIIIe siècle, Voltaire, ébloui par les automates de Jacques de Vaucanson, compara le savant à Prométhée tant il « semblait, de la nature imitant les ressorts, prendre le feu des cieux pour animer les corps ». Cependant, plutôt que de voler le feu céleste, ils préfèrent s'inspirer des astuces que la nature a découvertes au cours de l'évolution, afin que leurs créatures deviennent, non pas aussi intelligentes que l'être humain, mais aussi adaptatives que le plus simple des systèmes vivants. Les enjeux de la robotique de demain AnimatLab, le laboratoire de recherche dédié aux évolutions robotiques. © AnimatLab
Robotique industrielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un robot industriel Kawasaki FS-03N, robot de soudage La robotique industrielle est officiellement définie par l'ISO comme un contrôle automatique, reprogrammable, polyvalent manipulateur programmable dans trois ou plusieurs axes. Les applications typiques incluent des robots de soudage, de peinture et d'assemblage. Les robots industriels sont très utilisés en automobile. Définition[modifier | modifier le code] Un robot industriel Motoman SDA10, robot d'assemblage Un robot industriel est un système polyariticulé à l’image d’un bras humain souvent composé de 6 degrés de liberté, 3 axes destinés au positionnement et 3 axes à l’orientation permettant de déplacer et d'orienter un outil (organe effecteur) dans un espace de travail donné. On peut distinguer : Pour des raisons de sécurité, ces robots sont protégés par des cages ou des carters pour interdire à l'homme de les approcher de trop près. Domaines d'utilisation[modifier | modifier le code] 1.
Autonomie énergétique et robots polyvalents AgnèsGuillot Chercheur en Psychophysiologie Si les robots peuvent être autonomes dans leur apprentissage, il reste le problème de l'autonomie énergétique. Autre problématique dans l'évolution des robots : leur polyvalence. Asimo, le robot qui tend vers le plus de polyvalence. © Honda Le problème de l'autonomie énergétique Copier la nature en ce qu'elle a créé de mieux pour la locomotion, la perception et l'adaptation est certainement utile pour que des robots se comportent de façon autonome. Slugbot, le robot qui fabrique son énergie en digérant des limaces. © C. Vers des robots polyvalents Les roboticiens ont également mis au point des animats polyvalents. C'est le projet majeur de l'AnimatLab, nommé Psikharpax, un « rat artificiel », c'est-à-dire un robot dont les fonctionnalités sont inspirées le plus possible du rat, animal hautement adaptatif et dont beaucoup de structures anatomiques et nerveuses ont l'avantage d'être connues des biologistes.
Le robot français a de l’avenir - Services à l'industrie ENQUÊTE EN COUVERTURE Le gouvernement lance le plan France robots initiatives pour développer une filière robotique de service hexagonale. Tout reste à faire. Qui peut créer quelques dizaines de milliers d’emplois en France d’ici à 2020 ? Qui peut augmenter la compétitivité des entreprises ? Pour passer du conditionnel au futur, Arnaud Montebourg a annoncé un grand plan robotique, France robots initiatives, le 19 mars 2013, en ouverture de la troisième édition du salon Innorobo, à Lyon. Les points clés du plan robotique français Objectif Faire de la France un leader mondial en 2020. Et presque tout est à faire. Créer une filière d’excellence Le défi robotique français consiste donc autant à multiplier ces entreprises qu’à les faire grandir. Une compétition internationale déjà structurée Corée Du Sud Korean Robotics Basic Plan La Corée Du Sud veut devenir le leader mondial de la robotique en 2018. États-Unis Plan robot Obama Europe Soutien à la recherche Japon Investissements privés significatifs
La robotique hybride : les biobots AgnèsGuillot Chercheur en Psychophysiologie Ce dernier travail annonce la conception de systèmes hybrides entre le vivant et les machines, une autre voie de recherche biomimétique, née très récemment, et qui concerne les « biobots », dont les corps sont robotiques, mais dont les équipements nerveux et sensorimoteurs peuvent être issus du vivant. Ecobot-II, équipé d’un système digestif « vivant » constitué d’une série de huit piles à combustible microbiennes hébergeant des bactéries prélevées dans la boue d’une station d’épuration voisine. © Chris Melhuish, University of Bristol and University of the West of England Du vivant sur des robots C'est le cas des robots mis au point à l'Université de Tokyo, qui sont équipés d'antennes prélevées sur le bombyx du mûrier. Des biobots munis d'antennes de bombyx du mûrier. © Université de Tokyo D'autres animats peuvent se mouvoir, comme le robot nageur du MIT, grâce à des actionneurs vivants, de vrais muscles de grenouille.
Les robots deviennent presque des collègues Le programme Start PME, annoncé au salon Innorobo 2013, doit permettre d'accélérer l'achat de robots industriels par les PME. «Le robot n'est pas l'ennemi de l'emploi, il est fournisseur d'emploi. La France a 130.000 robots de retard sur l'Allemagne, et pourtant nous avons plus de chômeurs qu'eux», affirme Arnaud Montebourg. En intégrant l'usine du futur dans ses 34 plans industriels, le ministre du Redressement productif a décidé de combattre cette idée reçue. Le rapport Gallois avait déjà identifié la robotisation comme «un enjeu majeur de compétitivité», permettant de sauvegarder de la production industrielle, de prévenir les délocalisations, voire de permettre les relocalisations. Depuis la robotisation de l'industrie automobile dans les années 1980, d'autres industries n'ont que timidement suivi pour arriver à un total de 34.400 robots en 2008. Le programme Start PME, annoncé au salon Innorobo 2013 par Arnaud Montebourg, doit permettre de renverser la tendance.
Réseau neuronal et évolutionnisme : le "cerveau" des robots AgnèsGuillot Chercheur en Psychophysiologie En robotique, les capteurs et les actionneurs ne sont opérants que parce qu'ils sont reliés à un dispositif de contrôle, autrement dit, à une sorte de système nerveux. Les robots ont-ils un cerveau ? Les robots ont-ils un cerveau ? © DR Les réseaux neuronaux artificiels Rétrospectivement, on observe une ligne directrice, paradoxale, qui a guidé les travaux dans ce domaine jusqu'aux plus récents : l'être humain s'est peu à peu retiré de la conception des architectures de contrôle. Dans les premiers dispositifs, tous les paramètres de ce réseau étaient fixés et dérivaient – le plus souvent – des connaissances acquises en biologie. Darwin chez les robots On teste alors l'efficacité d'une population d'une centaine de systèmes nerveux, élaborés au hasard, dans la tâche qu'un robot doit accomplir. L'androïde SDR-4X (à gauche) et le chien Aibo (à droite). © Sony Vers l'apprentissage autonome pour les robots