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France : retour sur désinvestissement. Prévisions 2015-2017 pour l’économie française par Mathieu Plane, Bruno Ducoudré, Pierre Madec, Hervé Péléraux et Raul Sampognaro Ce texte résume les perspectives économiques 2015-2017 de l’OFCE pour l’économie française Après un mouvement de reprise hésitant au premier semestre 2015 (avec des taux de croissance respectivement de 0,7 % et 0 % au premier et au deuxième trimestre), l’économie française enregistrerait une faible croissance au second semestre, affichant au final une hausse du PIB de 1,1 % en moyenne sur l’ensemble de l’année. Avec un taux de croissance du PIB de +0,3 % au troisième trimestre et de +0,4 % au quatrième trimestre 2015, rythmes équivalents à ceux de la croissance potentielle, le taux de chômage se stabiliserait à 10 % jusqu’à la fin de l’année. Avec une croissance du PIB de 1,8 %, l’année 2016 serait celle de la reprise, marquée par la hausse du taux d’investissement des entreprises.

Baisse de l'euro face au dollar : les leçons de l'histoire Les dernières émissions d'Olivier Passet Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables Le chômage baisse, mais... Le ministère de l'emploi a publié le 26 octobre dernier les chiffres du chômage pour le mois de septembre. Ces chiffres ont été beaucoup commentés parce qu'ils font apparaître un recul de 23 800 personnes du nombre des inscrits en catégorie A à Pôle emploi (les personnes qui n'ont pas travaillé du tout dans le mois et correspondent donc à la définition officielle des chômeurs). Soit la plus importante baisse mensuelle enregistrée depuis 2007, avant la crise. Est-ce le début de la fameuse et si attendue "inversion de la courbe du chômage" ? Ce n'est pas exclu dans un contexte économique a priori très favorable avec un pétrole à moins de 50 dollars, un euro faible par rapport au dollar et une politique monétaire très expansive de la Banque centrale européenne. En attendant cette bonne nouvelle incite à se pencher de façon plus précise sur la dynamique du chômage au cours des derniers mois. Nombres d’inscrits à Pôle emploi en milliers

Nouveau signal positif : la baisse sectorielle des défaillances d'entreprises Les dernières émissions d'Alexandre Mirlicourtois Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Accéder à Precepta Stratégiques Accéder à Xerfi Business TV Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables La guerre des monnaies ? La guerre des monnaies ? Le dynamisme productif français est bien meilleur qu'on ne le dit Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions d'Olivier Passet Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Accéder à Precepta Stratégiques Accéder à Xerfi Business TV Abonnez-vous à la newsletter Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables

Zone euro : la croissance va rester faible « La reprise est là et elle va se poursuivre. » Le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, Pierre Moscovici, était ce jeudi 5 novembre résolument optimiste pour la présentation des prévisions macoéconomiques d'automne de la Commission européenne à Bruxelles. Croissance faible Pourtant, les motifs de réjouissance demeurent réduits. Comme le souligne dans son avant-propos Macro Buti, le directeur des affaires économiques et financières de la Commission, « la dynamique de la reprise reste faible. » La croissance de la zone euro restera ainsi en dessous de 2 % en 2015, 2016 et 2017, passant de 1,6 % prévu cette année à 1,8 % l'an prochain et à 1,9 % dans deux ans. Le chômage devrait donc logiquement demeurer fort, passant d'une moyenne de 11 % en 2015 à 10,3 % en 2017. L'Irlande en tête, la Grèce en queue Quels moteurs après la consommation ? Baisse des déficits La bonne nouvelle, pour Bruxelles, ce sera la réduction des déficits publics qui va se poursuivre.

La sortie de l’euro, c’est possible, et pas difficile… C’est aujourd’hui la dernière ligne de défense des partisans de l’euro : la fin de la tour de Babel monétaire édifiée à Maastricht provoquerait un cataclysme économique. Pourtant, d’innombrables économistes, dont des prix Nobel, affirment le contraire, comme Jonathan Tepper dans une étude passionnante. La peur, dernier rempart de défense de l’euro Il est proprement incroyable d’écouter les éditorialistes ou les politiques évoquer une sortie de la monnaie unique. Pourtant, une étude sérieuse démontre que cela est faux. D’ailleurs les partisans de l’euro ont trouvé en Marine Le Pen l’avocate idéale de la sortie de l’euro. Les unions monétaires finissent bien Pour l’auteur, l’histoire nous donne des réponses à toutes les questions relatives à la fin d’une union monétaire. Selon l’auteur, les pays du Sud sont déjà condamnés du fait de leur endettement et de leur perte de compétitivité. De la banalité de la sortie d’une union monétaire

En novembre 2014, le prix du pétrole continue de chuter En novembre 2014, le prix du pétrole baisse de nouveau nettement (–8,7 %), pour s’établir à 62,9 € en moyenne par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie rebondissent (+2,4 %), que ce soient les matières premières alimentaires (+4,1 %), industrielles (+1,1 %) ou minérales (+1,4 %). Le cours du pétrole baisse de nouveau, portant à 35 % son recul depuis juin En novembre, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) en dollars continue de chuter (-10,1 % après -10,3 %). Les prix des matières premières industrielles se reprennent En novembre, les prix en euros des matières premières industrielles rebondissent (+1,1 % après –0,9 % en octobre). Les prix des matières premières alimentaires se redressent Prix du pétrole (Brent) Source : Insee Ensemble des matières alimentaires Matières premières importées (ensemble, hors énergie) Ensemble des matières industrielles

Au troisième trimestre 2015, le PIB augmente de 0,3 % Au troisième trimestre 2015, le PIB en volume* augmente de 0,3 %, après une stabilité au deuxième trimestre (0,0 %). Les dépenses de consommation des ménages se redressent (+0,3 % après 0,0 %). La formation brute de capital fixe (FBCF) des entreprises non financières accélère légèrement (+0,7 % après +0,5 %) et celle des ménages baisse plus modérément qu'au deuxième trimestre (–0,5 % après –1,1 %). La production totale se redresse La production de biens et services se redresse au troisième trimestre (+0,4 %) après une quasi-stabilité le trimestre précédent (–0,1 %). La consommation des ménages s'accroît à nouveau Au troisième trimestre 2015, les dépenses de consommation des ménages se redressent (+0,3 % après 0,0 %). * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO). Le PIB et ses composantes Source : Insee L'investissement est quasi stable Révisions 1.

Le démontage de l’euro : possible, inévitable et souhaitable Pourquoi et comment démonter l'euro : Entretien...par dlrtv La monnaie unique ne peut pas marcher Pourquoi démonter la monnaie unique ? Non seulement parce qu’elle ne fonctionne pas, mais surtout, parce qu’elle ne pourra jamais fonctionner, quelles que soient les réformes qui pourront être entreprises. Tout ceci s’appuie sur les travaux de nombreux économistes, dont pas moins de 5 « prix Nobel d’économie », de tous les horizons idéologiques, Maurice Allais, Milton Friedmann, Amartya Sen, Paul Krugman et Joseph Stiglitz qui ont tous dénoncé les limites de l’euro. Beaucoup d’économistes soutiennent son démontage : JL Gréau, J Sapir, JP Gérard, G Lafay, A Cotta, JJ Rosa, H Juvin, F Aftalion, F Lordon, M el Hattab, N Roubini, E Todd, JC Werrenbrouck, P Murer , A-J Holbecq ou J Nikonoff et d’autres sont critiques : P Artus, M Aglietta, C Saint Etienne. La France, qui a 70 milliards de déficit commercial, ne peut pas partager sa monnaie avec l’Allemagne, qui a 150 milliards d’excédent.

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