
Et si la pub ciblée était contre-productive Cette pub "ciblée" s’appelle le retargeting et est très prisé par les sites marchands (selon les données du spécialiste Criteo le taux de clics d’une telle pub pourrait monter à 2,5% contre 0,1% en moyenne pour une bannière classique). Après tout c’est assez malin, pourrait-on penser. Au lieu d’avoir une bannière pour une assurance ou une boisson désaltérante, pourquoi ne pas nous proposer une pub pour un produit qui nous intéresse vraiment. Sauf que ces pubs sont-elles, dans le fond, si intelligentes que ça? La limite du retargeting est finalement un problème d’intelligence des algorithmes et de manque d’information sur le client. Imaginez la même chose transposée dans le commerce physique: vous vous rendez à la Fnac pour un objectif et le vendeur tient à tout prix à vous montrer les appareils photos. "Si vous harceler les clients, ils vous laisseront tomber, estime M. Comment faire pour donner l’impression au client qu’on lui apporte un service? Le magasin mais aussi le mobile.
Pourquoi Carrefour & Co s'échinent à inventer de nouveaux produits Les marques de distributeurs (MDD) cherchent à se relancer ! Depuis 2010, ces produits sous logo Carrefour, U ou Leclerc perdent du terrain face aux grands noms : dans les super et hypermarchés, ils sont tombés, en cinq ans, de 30 à 27,7% des ventes. "Leur image auprès du consommateur s'est dégradée, explique Jacques Dupré, chez IRI. Et comme les distributeurs se livrent une guerre des prix terrible sur les marques nationales, l'avantage compétitif des MDD se réduit." Une tuile, car les enseignes appliquent souvent des taux de marge plus élevés sur leurs gammes propres. Alors elles investissent d'autres créneaux (bio, local, végétarien...) et osent l'innovation. Retrouvez notre dossier complet "La grande distribution : leurs coups de génie et leurs coups tordus" Etre le seul à proposer un produit reste le meilleur moyen d'éviter une concurrence frontale sur les prix ! >> En vidéo : Il a fallu près de 30 ans pour que les valises à roulettes deviennent performantes. Tous droits réservés
Interview : le community management selon Curly Curly vient de lancer la Curly Bro’ University, une campagne de communication réussie qui utilise Vine et les réseaux sociaux. 25 vidéos réalisées par Golden Moustache prouvent qu’il est tout à fait possible de devenir ami avec tout : un virus mortel, une poubelle ou le pot à crayon de son collègue. Curly propose aux internautes de tweeter leur objet fétiche : les équipes de Golden Moustache en sélectionneront plusieurs et réaliseront ensuite un Vine dédié. Pour bien comprendre les coulisses de cette opération et le community management selon Curly, nous sommes allés à la rencontre de l’agence STJOHN’S. Avant d’être conseillée par STJOHN’S, où en était la marque Curly sur les réseaux sociaux ? Jean-Marc Dupouy – Curly était présent sur Facebook depuis plusieurs années, ce qui lui a permis d’avoir une très belle communauté, avec un succès particulier auprès de publics jeunes. Fabien Razac – En 2014, le digital occupe une place importante dans la stratégie communication de Curly.
Le digital : levier d’une nouvelle ère culinaire L’accélération de nos rythmes de vie a modifié nos habitudes alimentaires. Le temps passé à cuisiner a diminué et l’obésité n’a cessé de croître depuis 30 ans pour atteindre des seuils inquiétants. La sous-traitance des industries alimentaires, de plus en plus développée, ainsi que les scandales sanitaires, parmi lesquels celui de la vache folle et du poulet à la dioxine dans les années 90, ont participé à l’émergence d’une certaine défiance envers les industries alimentaires. Autant d’éléments qui ont généré un climat de préoccupation et d’inquiétude autour de l’alimentation. Ce rapport anxieux à la nourriture, générateur de frustrations et de privations, a engendré une prise de conscience des individus, qui ont commencé à vouloir se renseigner davantage sur l’origine et la qualité des produits qu’ils consommaient. Le digital est au coeur de ces nouvelles logiques et peut s’avérer être un outil précieux pour les marques, notamment pour rassurer les consommateurs inquiets.
Je Like - Les marques et les réseaux sociaux : recherche mode d'emploi désespérément... Publié le 16 février 2014 Etre sur la Toile est le parangon de l’efficacité pour les marques. Du moins en théorie... Pourtant, après une décennie de réseaux sociaux, aucun modèle n'a réussi à s'imposer. Et si ces canaux n'étaient pas forcément le bon moyen de communication? Ce n’est pas le tout d’avoir sa page Facebook, son compte Twitter, ses visuels sur Instagram, de publier des vidéos online sur YouTube ou Dailymotion, de développer des tutoriels sur Google... Une présence sur les réseaux sociaux trop mercantile, décevante et pas vraiment signe de modernité Face au digital, les internautes ne sont pas dupes. Revoir sa présence dans la logique collaborative des plates-formes et transformer le « Like » Les deux études montrent bien que " Liker " nʼest pas acheter, et que les marques doivent revoir leur interface avec les socionautes. Pour les clients un seul mot d’ordre : le donnant/donnant Le besoin d’autonomie, la planche de salut des réseaux sociaux face au téléphone Florence Berthier
Gestion de bad buzz : le cas Décathlon Le 14 décembre dernier, un Décathlon des Vosges a publié sur Youtube un libdub reprenant le morceau « Call me maybe ». Les vendeurs du magasin dansaient et chantaient des paroles destinées à promouvoir les produits de Décathlon comme cadeaux de Noël… Décathlon Saint-Dié-des-Vosges Noël 2012 par Spi0n Décomplexée, voire légèrement grotesque, la vidéo a rapidement fait parler d’elle sur Twitter. Les moqueries ne manquaient pas : Mais les soutiens, bien que plus rares, sont aussi venus : Le CM à fond la forme Rien que du très classique donc : les gens réagissent à une vidéo qui sort de l’ordinaire. Pour éteindre le feu, donnez-lui de l’oxygène La réponse au buzz ne s’arrête pas là : plutôt que d’étouffer la vidéo, le lipdub est intégrée… en home de la page Youtube de Décathlon France ! Une très bonne initiative de la part de Décathlon. Pour conclure, quelques leçons à retenir : 1. 2. Cette rapidité est probablement due à une organisation hiérarchique aplanie. 3. 4.
les 8 incontournables d'une page professionnelle bien fichue Vous avez créé par vous-même la : êtes-vous sûr(e) de vous être donné toutes les chances d'attirer et de retenir vos cibles potentielles ? Un doute soudain ? Eh eh, pas de panique : je vous propose aujourd'hui un p'tit : ... parce que les possibilités de changer le nom de votre page Facebook restent limitées , même si c'est désormais envisageable depuis quelques semaines (ce qui n'était pas le cas auparavant). Tenez notamment compte des éléments suivants : présence des sur lesquels vous souhaitez être bien positionné sur les moteurs de recherche (j'ai remarqué que Google, qui aime bien Facebook, indexe particulièrement bien les titres) compréhension immédiate, pour les internautes qui vous découvrent, de l' (ex : nom de votre entreprise, votre zone d'intervention géographique, nom de la thématique abordée si vous vous focalisez plus particulièrement sur un sujet, etc.) A votre avis, pour inciter les internautes à se connecter : www.facebook.com/dixkatre puis cliquez sur Pourquoi ? .
Marketing alimentaire : les dernières tendances du marketing alimentaire qui séduit le consommateur A la Bananeraie, c’est l’effervescence. Comme à chaque fois que Michel & Augustin, les trublions du goût, ouvrent leurs portes à leurs fans, une soirée par mois. D’ailleurs, la Bananeraie, en voilà un drô... A la Bananeraie, c’est l’effervescence. Comme à chaque fois que Michel & Augustin, les trublions du goût, ouvrent leurs portes à leurs fans, une soirée par mois. Agro-media.fr décrypte pour vous cette nouvelle tendance marketing. Michel & Augustin : une success-story à moindre coût. Quand Michel & Augustin se lancent, ils ont beaucoup d’idées mais pas beaucoup de moyens. Michel & Augustin ne font rien comme les autres : rien que le nom de leur marque, éponyme, interpelle. Pour les idées d’innovations et les tests sensoriels, ça se passe presque pareil : au cours des soirées organisées à la Bananeraie, les fans de Michel & Augustin se transforment en boîtes à idées et testeurs occasionnels. Un autre exemple de marketing alimentaire décalé : les smoothies Innocent. admin
Les 10 erreurs des community managers débutants Vous avez créé, animez et gérez une page Facebook, un compte twitter ou toute autre présence sociale d’une entreprise ou organisation ? Alors vous faites du Community Management. Si chacun peut le faire.. il est des erreurs de débutants qui sont propres à ceux qui ne sont pas accoutumés aux pratiques de la profession… parce que cela en est une. Voici une liste d’erreurs courantes afin que vous évitiez de les commettre : 1-. Egocentrisme Les premiers pas sur le web social se font, à tort, avec l’idée unique de pouvoir en tirer un profit personnel. Il est courant de voir des entreprises qui ne partagent diffusent que des informations les concernant. Dans les modèles de la hiérarchie des effets ou AIDA (excellent article de F. 2-. Quand vous gérez des comptes corporates, vous vous devez de prendre du recul dans vos pratiques. Chacun aime avoir raison à l’issue d’une discussion, dans le cas de la gestion d’une page Facebook avoir raison, cela peut au final revenir à avoir tort. 3-. 4-. 5-. 6-.