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Musée des beaux-arts dijon

Musée des beaux-arts dijon

Musée des beaux-arts de Dijon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Musée des beaux-arts de Dijon est l'un des plus importants, l'un des plus beaux et le plus anciens musées de France[3],[4]. Situé au cœur de la ville, il occupe l'ancien palais ducal, siège au XVe siècle de l’État bourguignon. Lorsque le duché est rattaché au royaume de France, le palais devient le logis du roi, puis se transforme au XVIIe siècle en palais des États de Bourgogne, sur un projet de Jules Hardouin-Mansart. Depuis 2006, le musée fait l'objet d'une rénovation totale et d'un agrandissement. Le Palais des ducs de Bourgogne[modifier | modifier le code] Histoire du musée[modifier | modifier le code] Le musée des beaux-arts a été fondé par décret des États de Bourgogne, le 30 novembre 1787[5], mais le projet remontait à 1783, à la décision de construire l'aile orientale du palais. Le musée du département de la Côte-d'Or[modifier | modifier le code] Le musée sous l'occupation allemande[modifier | modifier le code]

Musée de l'histoire de France MuséoParc Alésia | Côte d'Or | Bourgogne Louvre Palais des ducs de Bourgogne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire du palais des ducs et des états de Bourgogne[modifier | modifier le code] Les hôtels de Monseigneur à Dijon[modifier | modifier le code] Situation[modifier | modifier le code] L'actuel palais des ducs de Bourgogne ne fut jusqu'au IXe siècle qu'un simple château ducal dont on ne sait presque rien, adossé aux murs du castrum du IIIe siècle (fort ou place forte gallo-romaine) au cœur de Dijon La résidence princière[modifier | modifier le code] Certains éléments principaux de l'hôtel des ducs de Bourgogne sont à mettre en valeur[2]. La Tour de Bar (1365-1370) Philippe le Hardi, entreprit la rénovation du palais des ducs capétiens dès son arrivée à Dijon, et fit construire la Tour Neuve (1365) par Belin de Comblanchien. La Sainte Chapelle La Salle des Gardes, grande salle de palais de Philippe le Bon (1450-1455) La grande salle du palais, dite salle des gardes depuis le XVIIIe siècle, se trouve au premier étage du logis ducal.

Musées Paris Depuis 1996, le musée a connu une profonde évolution. Il se veut un "musée citoyen", consacré à l'anthropologie historique, culturelle et sociale de la France depuis l'an Mil jusqu'à nos jours, ayant pour ambition de faire réfléchir sur les continuités et les ruptures par rapport au passé. Il s'ouvre à l'Europe et inclut les cultures métissées. Au détour des présentations, chacun aura la surprise de découvrir, ici, une salle commune bretonne avec son âtre, où sont encore disposés les lits clos, le vaisselier garni de la vaisselle de Quimper et le fauteil de l'ancêtre, toujours à sa place sous le manteau de la grande cheminée. Mais, au-delà de ces découvertes extraordinaires, voyager au milieu des collections du Musée, c'est aussi saisir et comprendre des savoir-faire révolus. Afin de recevoir notre newsletter sur l'actualité du Musée national des Arts et Traditions populaires et l'actualité culturelle en France, vous pouvez laisser votre adresse email ci dessous : company

Musée Denon Les Collections archéologiques La préhistoire régionale, qui à la suite d’une importante donation, vient de donner lieu à l’ouverture d’une nouvelle salle, est représentée par des séries anciennes illustrant la présence de l’homme en Chalonnais depuis une centaine de milliers d’années, mais surtout par une douzaine de « feuilles de laurier » en silex, datées d’une vingtaine de milliers d’années, considérées par les spécialistes comme les plus belles réalisations actuellement connues. A partir des âges du Bronze et du Fer, les trouvailles effectuées dans le lit de la Saône, démontrent par leur abondance comme par leur qualité, l’importance des activités artisanales, commerciales et culturelles qui se sont développées dans la vallée. Pour l’époque gallo-romaine, on notera la très riche série de vases de bronze issue de la Saône mais aussi une collection non négligeable de stèles funéraires et de sculptures tel le célèbre groupe représentant un gladiateur barbare terrassé par un lion.

Centre d'étude Colette : ressources documentaire les musées Le rayonnement culturel de Dijon hérité de son riche passé, a favorisé l'éclosion artistique de nombreux talents dans cette cité au patrimoine architectural exceptionnel. L'Ecole de dessin, créée par François Devosge en 1766, sera à l'origine du musée des Beaux-arts dont les collections en font l'un des musées les plus riches de France, avec notamment les tombeaux des ducs, ses tableaux primitifs flamands, suisses et rhénans. A cinq minutes du musée des Beaux-arts, installé dans le transept de l'église Saint-Étienne, le musée Rude présente des moulages d'œuvres du célèbre sculpteur dijonnais. Tout proche, également, le musée Magnin, situé dans l'un des plus beaux hôtels particuliers de Dijon, a conservé son aspect de demeure habitée, abritant la collection de deux amateurs passionnés du début du siècle, Maurice et Jeanne Magnin.

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