
Cimetières de France et d'ailleurs Ce site vise à promouvoir le patrimoine funéraire dans toutes ses formes : célébrités, tombeaux esthétiques, aspects architecturaux, mémoriels, anecdotiques… En maintenant plus de quinze ans d’existence, il est devenu, tant pour les particuliers que pour les professionnels, le site de référence du patrimoine funéraire. L’auteur unique des articles de ce site (mais secondé par une armada de fidèles et de correspondants passionnés qui donnent à ces pages leur raison d’être) : Philippe Landru, professeur agrégé d’histoire, spécialiste des cimetières, empêcheur d’oublier en rond, organisateur de visites pour tous les publics. Vous souhaitez faire une visite du Père-Lachaise, du cimetière Montmartre, de Passy ou du cimetière Montparnasse ? Visiter un cimetière moins balisé (Cimetière de Bagneux, de Pantin…) ? : n’hésitez pas à me contacter. Une question ? Bonne visite. Philippe LANDRUphilandru@aol.com
Patrimoine de France Observatoire du Patrimoine Religieux - OPR Répertoire des architectes diocésains du XIXe siècle, OLIVIER Th n. Paris, 15 décembre 1822, d. 1899. Élève de l'école des Beaux-Arts. Architecte en chef du département du Tarn-et-Garonne de 1850 à 1874. Le 23 décembre 1853, il est nommé architecte diocésain résident de Montauban en remplacement de G. Bourrières. M. En 1856, l'évêque d'Agen se plaint à son tour des services de Bourrières et obtient qu'il soit remplacé par Olivier. Olivier se défend en déclarant que l'évêque veut conduire personnellement des travaux à la cathédrale et au réfectoire du grand séminaire, qu'il s'y oppose, ce qui provoque l'hostilité du prélat ; il rappelle que les relations qu'il avait avec le prédécesseur de ce dernier étaient excellentes ; il demande à restreindre son activité à Montauban. Il fut également attaché à la commission des monuments historiques. Un fonds Olivier est conservé aux Archives départementales du Tarn-et-Garonne sous la cote 1 Mi 22. F19 7232, F21 1819.
du Nord Pas de Calais, de Flandres et de Picardie et beffrois de Belgique : Beffrois et Patrimoine Paris-bise-art Au tout début du XIII° siècle, le roi de France Philippe Auguste autorisa un commerçant, Jean Allais, à percevoir un denier par panier de poisson vendu aux Halles. Le commerçant fit fortune et décida de construire une chapelle dédiée à sainte Agnès pour les marchands des environs. Celle-ci sera détruite au XVI° siècle pour faire place à l'immense église saint Eustache que nous connaissons. Dans les sous-sols, une crypte porte encore le nom de sainte Agnès; on y trouve des traces de la chapelle primitive. Cette discrète petite porte donne accès à la crypte; elle n'est ouverte que lors d'expositions temporaires ou de concerts. Certains guides affirment que cet écusson rappelle le poisson-symbole des premiers chrétiens... 1 rue Montmartre Paris I°.
Églises à fresques | Office de tourisme de Vendôme Un témoignage étonnant de l’art de la peinture murale à travers les siècles. Plus de 20 églises composent, sur 80 km, en Vallée du Loir, et Perche, un panorama exceptionnel de la peinture murale du XIème au XXème siècle : Areines, Bonneveau, Boursay, Choue, Couture-sur-Loir, Huisseau-en-Beauce, Lavardin, Saint-Amand-Longpré, Lunay, Mazangé, Meslay, Montoire-sur-le-Loir, Naveil, Sargé-sur-Braye, Souday, St-Amand-Longpré, St-Firmin des-Prés, St-Jacques-des-Guérets, Thoré-La-Rochette, Tréhet, Vendôme, Villavard et Villiers-sur-Loir. La concentration, dans le Vendômois, de sites pourvus de peintures murales médiévales (et plus particulièrement romanes), a été remarquée par de nombreux spécialistes depuis le XIXe s. La découverte de Montoire, accompagnée de nombreux relevés exécutés en 1841 par J. Jorand et G. Parmi les spécialistes qui se sont passionnés par ces peintures murales, on trouve Suzanne Trocmé (1887-1971). On vous conseille quelques ouvrages de référence :