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Choisir ses outils de curation web

Choisir ses outils de curation web
Diigo, Netvibes, Pearltrees, etc. Ces plates-formes de favoris existent depuis plusieurs années, mais font leur grand retour avec la curation web (lire notre article « La curation… Kezako ? » du 12 avril 2011). Elles ont été rejointes par des petits nouveaux comme Scoop.it, Storify ou Paper.li. Si leur finalité reste sensiblement la même – sélectionner, qualifier et partager de l’information sur le web – leur usage diffère parfois. Les agrégateurs de flux RSS pour la veille Les (+) populaires : Netvibes, Google Reader, MonYahoo! Il est possible de suivre la globalité ou une rubrique précise d’un site mais pas d’isoler des articles. Dans quels cas les utiliser ? Les marque-pages pour le stockage Les (+) populaires : Diigo, Digg, Delicious Ces outils de bookmarking (favoris) permettent de marquer et de stocker dans une base de données, les pages et les articles rencontrés au fil de sa navigation sur le web (en gros, de sa veille . Dans quels cas les utiliser ? Dans quels cas les utiliser ? Related:  Diffuser ses résultats

La diffusion plus importante que la collecte La veille est souvent présentée en un cycle en 4 étapes : définition des objectifs, collecte, analyse et diffusion. La collecte fait l’objet de nombreux articles (surtout au niveau outil), mais il arrive parfois de ne pas assez mettre l’accent sur la diffusion (enfin, au-delà de l’outil encore une fois). Allons plus loin en partant de ce postulat : et si la collecte d’informations, et encore plus d’opinions, devait être pensée en fonction de la diffusion et non des capacités de collecte et de traitement ?!... Tout d’abord, concentrons nous sur la veille en e-réputation (et/ou d’opinions) qui, comme le souligne Christophe, diffère souvent en terme de fonctionnement et d’objectifs de la veille dite stratégique (concurrentielle, brevets, juridique, etc.). De plus, et il est toujours intéressant de le rappeler, l’information devient stratégique par son utilisation (elle ne l’est pas par nature) et une veille doit servir d’appui à une prise de décision. Pas de collecte sans diffusion Au final…

Au fait c’est quoi la curation? | dWého, le blog Depuis fin 2010 on entend le terme « curation » comme un écho sur le web au point que cette année cette nouvelle expression est devenue l’une des grandes tendances. Des nombreux outils sont nés en France et connaissent un réel succès tels que Pearltress ou Scoop-it. Peu connue encore du grand public, nous avons voulu comprendre en quoi consiste cette fameuse curation, quel est son intérêt et pourquoi cela en fait une évolution dans les pratiques d’Internet. Explications avec Marc Rougier, président de Scoop-it . dWého En quoi consiste cette pratique ? Marc Rougier la curation est un moyen d’expression sur le web: elle consiste en la sélection, l’édition et le partage de contenu existant; l’origine du mot, dans le contexte du web, est une analogie avec « museum curateur »: celui qui choisit et met en scène les oeuvres d’art, créées par d’autres. D. D. MR. D. MR. D. La mission de Scoop.it est de simplifier l’expression par curation. Merci Marc pour toutes ces explications!

La diffusion : une étape indissociable du processus de veille Le processus de veille au sein d’une entreprise est primordial afin de prévenir et d’anticiper les risques et opportunités du marché. Il passe par quatre grandes étapes que sont la définition des besoins, la collecte, l’analyse puis la diffusion de l’information. Mais parfois, cette dernière phase est mal appréhendée, soit à cause de la confusion qui s’opère face à l’ensemble des outils de diffusion existants, soit tout simplement parce que certains acteurs n’ont pas encore intégré son importance. Or, quel intérêt de collecter l’information si elle n’est lue par personne ? Le processus de veille prend la forme d’un cycle : une fois les informations diffusées, les utilisateurs émettront un avis sur la veille, influençant l’amélioration de ce processus dans son ensemble. Quel intérêt de collecter l’information si elle n’est lue par personne ? - Établir une politique de diffusion explicite Afin de diffuser efficacement sa veille, il est important d’optimiser certains facteurs. Estelle Mercier

La "curation", une fonction pas si nouvelle que ça "Curation" et "Curateur", des barbarismes en français En français, le terme de "curateur" ne s'applique qu'à "la personne qui est désignée pour assister un mineur émancipé dans certains actes, d'administrer les biens ou de veiller aux intérêts d'une autre personne" (Dictionnaire Culturel, Le Robert ). La curation quant à elle, n'existe pas. En français d'Internet, la "curation" "est la technique utilisée pour sélectionner, filtrer, organiser, commenter et partager des liens de façon manuelle (dans un monde idéal) sur des contenus verticaux. En anglais, le "curator" désigne le conservateur de musée ou de bibliothèque, et aussi le commissaire d'une exposition. Pourtant, les termes adéquats ne manquent pas : veilleur, tiers facilitateur, médiateur de l'information... désignent beaucoup mieux la fonction de collecte, d'analyse et de diffusion de l'information que l'affreux angliscisme "curator". Des outils nouveaux pour une pratique fort ancienne Ca, c'est l'idéal. Sources :

5 étapes pour une diffusion efficace de sa veille Si la diffusion parait plus importante que la collecte dans une stratégie de veille, c’est que l’information prend de la valeur par son utilisation (et pas seulement son stockage). Comme les objectifs, la collecte ou l’analyse, la diffusion demande d’être pensée, et les résultats d’être présentés comme des « produits de veille ». Voyons quelques étapes nécessaires à la mise en place d’une stratégie de diffusion. Il y a quelques temps, j’ai donné une formation URFIST-CNRS (avec Maureen Dumans) sur la mise en place d’une stratégie de veille. Comment faire pour être lu ? Voici donc quelques réflexions/méthodes que j’ai partagé lors de cette formation, et que je formalise ici sous la forme de 5 grandes étapes. Première étape : penser communication et pas seulement documentation Il faut donc, de mon point de vue, aborder cette étape comme une stratégie de communication, et prendre en compte certains éléments : ==> Le public visé et ses pratique/attentes Deuxième étape : définir son public

[Curation] : Pearltrees, Scoop.it, Storify, Paper.li,... à la recherche de l'information ultime. Cet article a été publié il y a 6 ans 7 mois 20 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. On le sait maintenant, en plus du terme de community manager, celui de curation ou content curator (définition selon Vincent Berthelot : « Le curator est celui qui transforme l’information qu’il a recueilli pour en faire une agrégation concise et porteuse de sens soit pour information soit pour décision. ») fait une entrée fracassante dans le domaine du marketing social. Heureusement, afin de toujours retrouver le nord, il existe des boussoles très efficaces. Pearltrees, des perles très sociales : Dans les outils de curation précédemment cités, Pearltrees se distingue de ces derniers par son interface et son ergonomie particulière. Comme vous l’aurez compris, le principe est donc de transformer le contenu web qui vous intéresse en perles. Scoop.it : l’outil ultime du content curator ? Storify, l’art d’écrire des histoires sociales.

Diffuser ses résultats de veille « veillestrat La diffusion des résultats d’une veille est, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, l’un des exercices les plus complexes du processus de veille. Il existe effectivement de nombreuses manières de diffuser l’information et le choix parmi ces manières dépendra des compétences du veilleur (un consultant et un analyste se chargeront d’analyser l’information pour en tirer des recommandations stratégiques, un documentaliste la collectera et éventuellement la triera), mais également des exigences de son/ses client(s) interne(s)/externe(s). Si ces derniers n’ont aucune connaissance sur les manières de diffuser l’information récoltée, il est important de pouvoir leur présenter un éventail des solutions potentielles: Via ce schéma, j’ai essayé de synthétiser les différentes méthodes de diffusion des résultats d’une veille. Dans ce schéma, deux méthodes principales sont présentées: Beaucoup d’outils permettent aujourd’hui d’agréger ses résultats de veille et de les diffuser. La présentation

« Scoop.it ! » : la curation au service de l’éducation aux médias ? « Scoop.it ! », qu’est-ce que c’est ? Scoop.it est un outil de curation lancé fin 2010 qui s’inscrit dans l’ère du Web 2.0. La curation consiste à trier, sélectionner et classer des informations sur une même thématique et à mettre cette sélection de ressources à la disposition de tous via un outil de curation tel que Scoop.it ou encore Pearltress. Ce qui semble être LA nouveauté de l’année 2011 ressemble tout de même beaucoup à la veille informationnelle, déjà très pratiquée par nous autres professeurs documentalistes et professionnels de l’information ! Utilisation pédagogique de Scoop.it : Scoop.it présente des fonctionnalités intéressantes notamment pour travailler avec des élèves sur la sélection de l’information. L’avantage de cet outil est la lisibilité et la clarté : tout tient en une page. Par contre, ce qui me dérange c’est que la source première de l’information n’apparaît pas directement sur le topic. Voici quelques « Scoop.it ! - Éducation aux médias et semaine de la presse :

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