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Apprentissages informels : quel poids réel dans le développement des compétences professionnelles ? - Le blog de la Formation professionnelle et continue Dans certaines entreprises, le modèle 70-20-10 est érigé en dogme. Mais qu’en est il réellement ? Et comment bien l’utiliser ? Pourquoi cette « vogue » des apprentissages informels ? Parce que les cycles technologiques et économiques se sont accélérés. Une étude de Bersin, en 2009, indiquait que « 78% des chefs d’entreprise estiment que le taux de renouvellement et la rapidité de circulation de l’information pose un défi de formation majeure à leur organisation ». Robert Kelley, de Carnegie Mellon, a demandé à des « travailleurs du savoir » (knowledge workers) « Quel pourcentage des connaissances dont vous avez besoin pour faire votre travail est emmagasiné dans votre cerveau ? En 1986, la réponse est de 75%En 1997, 18%En 2006, 9% Et aujourd’hui, où en sommes-nous ? Les connaissances que nous utilisons pour notre travail sont embarquées dans les systèmes d’information, et dans le réseau des personnes avec lesquelles nous travaillons. Mais au fait, d’où vient ce modèle ? P.

Et si les étudiants pouvaient aussi bénéficier du (TPaCK) <em>Technical, pedagogical, content knowledge</em>? | Articles Dans la chronique L'évolution des pratiques pédagogiques passe-t-elle par les TIC?, parue le 23 septembre 2013, je parlais d'un cadre de référence pour la pratique réflexive des enseignants, le TPaCK. La parution de la version 2014 du Profil TIC des étudiants du collégial produit par le Réseau REPTIC, l'engouement pour l'accessibilité universelle en apprentissage (Universal Design for Learning) et les activités du comité PERFORMA sur le Questionnement didactique m'ont incité à proposer une représentation de ce que pourrait être un TPaCK applicable à l'étudiant. Le schéma du cadre de référence TPaCK appliqué à l'étudiant Les composantes du cadre de référence TPaCK appliqué à l'étudiant La dynamique Le TPaCK appliqué à l'étudiant est-il un véritable cadre de référence? Voyons un exemple. Vous cherchez ou vous créez un scénario original qui convient à la conjoncture.

www.pratiques-de-la-formation.fr/etutorat/data/downloads/7pillierscarre.pdf Les fondements de la littératie médiatique Les fondements de la littératie médiatique Cette section explore les principaux éléments et principes de la littératie médiatique. Nous découvrirons le lien étroit qui existe entre littératie médiatique et littératie numérique de même que des pistes de solution pour intégrer la littératie médiatique dans la classe tout au long du programme d’études. Qu’est-ce que l’éducation aux médias ? Les médias jouent un rôle marquant dans la vie des jeunes. La musique, la télévision, les jeux vidéo, les magazines et autres médias ont une prodigieuse influence sur notre perception du monde, une influence qui de surcroît s’installe dès notre plus jeune âge. L’éducation aux médias occupe une place importante au Canada, à telle enseigne que cette discipline s’inscrit dorénavant dans tous les programmes d’études à l’échelle provinciale. Dans cette section, nous voulons clarifier cette question et vous présenter la littératie médiatique sous tous ses angles. Par exemple: 1. Demandez aux élèves: 2. 3. 4. 5.

www.cedip.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/fichetech7_cle772d72.pdf Zotero | Dany Thibault Professeur de politique et de sciences humaines au Collège Lionel-Groulx et au Collège Montmorency, je m’intéresse particulièrement aux idéologies politiques et à leurs manifestations concrètes au sein de la société québécoise et ailleurs. Vous trouverez sur cette page un échantillon du matériel didactique que j’utilise à l’intérieur des cours que j’enseigne : plans de cours, présentations Prezi et activités d’apprentissage. Ce site s’adresse donc en premier lieu à mes étudiants, mais il pourra aussi intéresser des collègues désireux de découvrir de nouvelles idées pédagogiques.

Méthodes et modèles pédagogiques Frédéric Haeuw :"L’irruption massive des technologies et des réseaux dans la formation des jeunes et des adultes fait ressurgir de vieux débats sur les méthodes pédagogiques. Les Massive Open Online Courses, par exemple, sont généralement distingués en « xMOOC » plutôt basés sur une pédagogie transmissive de savoirs clairement identifiés dans des référentiels fermés, et en « cMOOC » dont les objectifs d’apprentissage sont plus ouverts et qui se basent sur le principe que ce sont les participants qui créent le contenu. On parle alors de méthodes pédagogiques, classées généralement en méthodes déductives (démonstrative, expositive …) ou inductives (active ou expérientielle), et l’on considère souvent que la méthode dépend de l’objet à construire ou à transmettre : les savoirs académiques se prêteraient davantage à une méthode déductive et les compétences à une méthode inductive. Les constructivistes répondent à cette question de manière radicalement opposée.

Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.

E-learning, les 5 alertes de Meirieu Avec l'avènement du numérique, les pédagogues ont dû relever plus d'un défi. Comment intégrer les nouvelles technologies aux apprentissages ? S'agit-il d'une simple amélioration de l'existant, d'une plus-value qui rehausse la qualité de l'enseignement et de la formation ou carrément d'une refonte de nos prestations face à une génération hyper connectée ? Mais faut-il s'en convaincre encore, il y a toujours débat dans le milieu universitaire autour de la question pédagogique, notamment lors de la conception et mise en oeuvre de projets e-learning. Meirieu et le numérique : méfiance Dans la conférence qu’il donne à l’Université Lyon 3 lors des 8ème Journées du E-Learning, sur le thème « la réussite des usages du numérique en pédagogie », et que Educavox publie en quatre capsules vidéo, Philippe Meirieu lance 5 alertes qui constituent des garde-fous contre le miroitement parfois aveuglant du numérique. E-learning et pédagogie peuvent (vraiment) faire bon ménage Références :

Constructivisme Le constructivisme est une théorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale. Cette théorie repose sur l’hypothèse selon laquelle, en réfléchissant sur nos expériences, nous nous construisons et construisons notre propre vision du monde dans lequel nous vivons. Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d’appréhender les réalités qui l’entourent. Ainsi, une personne confrontée à une situation ou à un problème donné va être amenée à mobiliser un certain nombre de structures cognitives, nommées schèmes opératoires. L’enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu’elle s’approprie la connaissance par l’exploration et l’apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels.

Socio-constructivisme Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi, l’environnement social, affectif, émotionnel joue un rôle primordial dans le développement cognitif de l’enfant et de l’adulte. Dans cette perspective, il est important de mettre en avant le fait que les acteurs de la construction et du développement intellectuel de l’individu sont bien évidemment les parents et les professeurs mais également les autres élèves de la classe. Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. A consulter ici

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