
La vie rêvée d'un stagiaire chez Google Un séjour chez le géant de l'Internet est une expérience extrêment convoitée par les stagiaires du monde entier. Mais à quoi ressemble leur quotidien au Googleplex ? En janvier 2013, Rohan Shah, un étudiant âgé de 20 ans, reçoit un mail de Google. Cela faisait déjà plusieurs semaines que Rohan avait rempli le formulaire de candidature en ligne, après avoir assisté à un salon pour l'emploi à l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign. Officiellement, Google n'accepte que 1 500 stagiaires sur un total de 40 000 candidatures par an. Google n'accepte que 1500 stagiaires sur un total de 40000 candidatures par an Rohan a réussi les différentes étapes du processus d'embauche, qui s'est déroulé sur plus d'un mois. En quoi consistait le processus de sélection ? Décrocher l'entretien : un processus long et laborieux Le processus d'embauche de Google, que vous soyez candidat à un stage ou à un contrat à plein temps, commence par un formulaire à remplir en ligne. Rohan Shah a eu plus de chance.
Pourquoi travailler chez Facebook n'est pas un job de rêve Le géant des réseaux sociaux rafle la première place des entreprises les plus attirantes aux yeux des chercheurs d'emplois. Mais est-ce à juste titre ? Facebook est souvent considéré comme l'un des employeurs les plus convoités du secteur technologique. Après tout, ses stagiaires gagnent 25 000 dollars de plus que le citoyen américain moyen. Pas mal, non ? Et pourtant : selon un fil de discussion Quora, d'anciens et actuels employés du géant du social media pensent le contraire. Du manque de professionnalisme (il est courant de se retrouver à faire la lessive de son boss) à l'attitude suffisante de Mark Zuckerberg, nous avons rassemblé les détails les plus intéressants. "Six semaines par an, je dois être disponible 24h/24." Lorsqu'ils sont d'astreinte, les ingénieurs sont responsables du maintien et du bon fonctionnement des services quoi qu'il arrive. "La barrière entre travail et vie privée n'existe pas." "Il n'existe pas d'infrastructure véritablement fonctionnelle."
Les conditions de travail définition Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook Travailler à Facebook… Un rêve pour beaucoup de jeunes diplômés. A tel point que Google, inquiet de voir les cohortes de jeunes diplômés de Harvard ou de Stanford snober son campus multicolore pour les plateaux "open space" de Facebook a dû augmenter d'un coup les salaires de 10% en 2010 pour calmer ses troupes. Mais travailler pour Mark Zuckerberg, est-ce vraiment un rêve? 1. Keith Adams, Engineer at Facebook "Le pire pour moi, quand j'ai travaillé à Facebook, ça a été le "oncall duty", c'est-à-dire l'astreinte informatique, qui consiste à assurer une permanence 24h sur 24 pour résoudre des bugs. Anonyme "Ce n'est pas une surprise : les employés FB sont (implicitement) encouragés à "être eux-mêmes" au travail. Elaine C. "Le pire, quand je travaillais à Facebook, c'était l'impossibilité de me focaliser sur mon équipe. Je dirais aussi que la qualité du code (la qualité de la programmation informatique NDLR) varie beaucoup entre les équipes. Noah M. Noah M. "La nourriture est trop bonne.
8 raisons de détester travailler chez Facebook Facebook bénéficie plutôt d’une bonne réputation et à même été élue « entreprise ou il est le plus agréable de travailler« . Il est donc assez surprenant de découvrir 16 raisons pour lesquelles certains employés de Facebook sont mécontents qui se sont exprimés sur Quora. Je vous laisse juger. « Durant 6 semaines dans l’année, je suis d’astreinte 24 heures sur 24, 7 jours sur 7″. Keith Adams, ingénieur chez Facebook, explique qu’il doit dormir avec son téléphone et qu’il est de sa responsabilité que le service fonctionne, quoiqu’il en coute. « Il n’y a pas de mur chez Facebook ». L’ingénieur, qui témoigne anonymement, ne parle pas de mur physique mais de la barrière entre la vie professionnelle et la vie priée. « Il n’y a pas de vraie infrastructure ». L’entreprise a grandit très vite et manque d’organisation. « Ne vous plaignez pas de Facebook auprès de moi juste parce que j’y travaille ». « Le manque total de concentration de mon équipe » « Ce fut ma pire expérience à ce jour »
Ingénieur, Aurélien va travailler chez Facebook Entretien avec Aurélien Fredouelle, ingénieur manceau. Vous partez dans quelques jours travailler comme ingénieur au siège de Facebook, près de San Francisco. Le rêve pour un jeune informaticien, non ? Disons que c'est, avec Google, le plus gros site internet du monde. Comment avez-vous été recruté ? Au départ, un peu le hasard. Quel type de poste allez-vous occuper là-bas ? Je ne sais pas encore. Vous connaissez vos conditions de travail ? Sur les 3 000 salariés, il y a un millier d'ingénieurs. Les conditions sont très intéressantes : deux fois le salaire d'ici, l'assurance santé, ainsi que tous les repas pris en charge par l'entreprise. Qu'est-ce qui vous a séduit dans cette entreprise ? Sa jeunesse et celle de ses salariés, et son dynamisme. Le fait d'être Français a été un atout ? Je pense que Facebook souhaite des chercheurs d'horizons divers, avec des points de vue différents. Vous êtes un utilisateur de Facebook ? J'ai un compte, comme tout le monde. Vous êtes un geek ? Laurence PICOLO.
Google vs Facebook: où fait-il bon travailler? Le site du magazine américain BusinessWeek se fait l’écho des impressions d’un ancien développeur informatique pour Google passé en 2007 chez Facebook sur les conditions de travail dans les deux entreprises. David Braginsky, qui répond en détail sur le site Quora à la question «Pour quelle société vaut-il mieux travailler?», passe en revue tous les aspects de la vie au travail, des pressions de la direction à la qualité du café. De manière générale, il estime que l’ambiance à Mountain View (le siège de Google) ressemble aux dernières années des études supérieures: l’entreprise encourage les initiatives audacieuses (par exemple, elle encourage ses salariés à prendre 20% du temps pour leurs recherches persos, d'où sont nées Gmail et GoogleNews), chacun est attaché à rendre une copie soignée, et le travail est constamment soumis à un contrôle-qualité. L’inconvénient étant que le processus de production est souvent long, du fait de la taille gigantesque de la société:
Facebook (entreprise) Facebook [ˈfeɪsbʊk][3] Écouter (litt. « trombinoscope » en anglais) est une société américaine créée en 2004 par Mark Zuckerberg. Elle est un des géants du Web, regroupés sous l'acronyme GAFAM[4], aux côtés de Google, Apple, Amazon et Microsoft. Histoire La société a enlevé la particule « The » de son nom après l'achat du nom de domaine facebook.com en 2005 pour 200 000 dollars[5]. En avril 2006, Jeff Hammerbach, mathématicien auparavant employé par Bear Stearns, est embauché par Facebook, qui dispose alors de moins de 100 salariés, afin d'analyser les données des utilisateurs et développer des programmes permettant un meilleur ciblage publicitaire. Le 8 août 2010, Facebook achète 19 brevets à Friendster pour 40 millions de dollars[9]. Début janvier 2011, Facebook est valorisé 50 milliards de dollars américains[10]. En mars 2011, Facebook se lance dans la vidéo à la demande (VàD)[11]. En avril 2012, Facebook achète l'application Instagram pour un milliard de dollars américains[15]. Lobbying
+48% d'employés en un an chez Facebook - ZDNet En un an, Facebook a recruté 48% d’employés en plus. Ils sont désormais 10 082 (chiffre à date de la fin du mois de mars) à travailler pour Mark Zuckerberg. A titre de comparaison, et bien que Facebook soit 5 fois plus petit, on peut noter que l’accroissement des employés chez Google n’a été ‘que’ de 12% l’an passé. Facebook annonce un bénéfice net de 2,4 milliards de dollars et un chiffre d'affaires dingue - LCI ECONOMIE - Mark Zuckerberg va bien, merci pour lui. Son réseau social, qui compte de plus de en plus d'utilisateurs, a publié des résultats financiers en augmentation pour ce 3e trimestre. La rédaction de LCI La publicité mobile a continué d'entretenir la croissance de Facebook au troisième trimestre, où le réseau social américain a de nouveau fortement amélioré ses performances financières et étendu son audience, selon des résultats publiés mercredi. Facebook a vu son bénéfice net bondir de 166% à 2,4 milliards de dollars, tandis que son chiffre d'affaires grimpait de 56% à 7 milliards de dollars, dépassant ainsi les attentes des analystes. Facebook a parallèlement continué à augmenter son nombre d'utilisateurs, qui atteignait 1,79 milliard fin septembre, contre 1,71 milliard trois mois plus tôt.
Facebook : 3,5 milliards de chiffre d'affaires et 1,4 milliard d'utilisateurs Facebook a annoncé hier soir ses résultats financiers pour le premier trimestre de 2015. Le réseau social continue de s'étendre et compte toujours plus d'utilisateurs, ce qui lui permet d'afficher de solides performances, avec notamment une hausse de son chiffre d'affaires de plus de 40 % en un an. Un demi-milliard de bénéfices Mark Zuckerberg peut garder le sourire, Facebook se porte toujours extrêmement bien. Le réseau social a réalisé au dernier trimestre un chiffre d'affaires de 3,54 milliards de dollars, contre seulement 2,50 milliards un an plus tôt sur la même période, soit une hausse de 41 %. Cette différence d'une année sur l'autre est principalement due à une forte progression des dépenses en recherche et développement, qui sont passées de 455 millions de dollars début 2014 à 1,06 milliard de dollars cette année. Bientôt un milliard et demi d'utilisateurs De trimestre en trimestre, Facebook continue d'attirer de plus en plus d'utilisateurs dans ses filets. Kevin Hottot