
Océan Cet article lié à la géographie doit être recyclé (août 2019). Un océan est souvent défini, en géographie, comme une vaste étendue d'eau salée comprise entre deux continents. En fait, il s'agit plutôt d'un volume dont l'eau est en permanence brassée par des courants marins. Approximativement 70,8 % de la surface de la Terre est recouverte par l'océan mondial. L'océan mondial, qui abrite la majorité des espèces vivantes sur Terre (50 à 80 % selon les estimations)[4],[5], génère plus de 60 % des services écosystémiques qui nous permettent de vivre, à commencer par la production de la majeure partie de l'oxygène que nous respirons[6]. L'océan mondial régule à plus de 80 % le climat de la Terre. Cet article traite principalement de l'océan terrestre actuel mais aussi des océans disparus et des océans extraterrestres. Longtemps, pour les Européens, toute étendue d'eau salée s'appelait « mer ». Dans la culture générale, on parle de quatre ou cinq océans.
La haute mer : un espace aux frontières de la recherche géographique 1L’océan a longtemps été perçu comme une frontière et est encore considéré comme tel dans les recherches en géographie. Il est pourtant un lien pour les sociétés et aussi pour la géographie un pont intra et interdisciplinaire. Une des principales difficultés pour analyser l’océan tient à la nature propre de cet espace (liquide) et à son immensité qui lui confèrent une forte altérité. C’est un espace physique complexe qu’il est nécessaire de saisir car prédominant même si on ne peut se vouloir déterministe. Malgré le caractère changeant et mouvant de l’espace maritime une certaine permanence des phénomènes montre la dualité de ce milieu que l’on retrouvera fréquemment. Illustration 1 - La mise en place d’un espace multidimensionnel Conception/ Réalisation : C. 2Cependant, les principales analyses portent sur les zones côtières et au sein de la Zone Economique Exclusive (ZEE) mais, au-delà, les cartographies le représentent souvent comme vide. La particularité de la haute mer
Un plan pour sauver la Terre, livre de Christel Seval Je préface le livre de Christel Seval : " Contact et Impact " 17 janvier 2006 Vous pouvez commander l'ouvrage " Contact et Impact " avant sa parution ( prévue le 15 février 2006 ) en envoyant un chèque ou un virement postal de 25 euros ( 21 euros pour le livre plus 4 euros pour les frais de port ) aux éditions JMG, 8 rue de la Mare 80290 AGNIERES ( orthographe exacte ) Pour les libraires : ( ISBN 2-915164-24-X ). Tél éditeur : 03 22 90 11 03 Fax : 03 22 90 17 28. Mis précédemment en ligne le 1° janvier 2005 Exposé de Christel Seval Un plan pour sauver la Terre ? Christel Seval Christel Seval est informaticien et travaille à la DGA, à la Délégation Générale de l'Armement. Intervention de Christel Seval, 2005 ( 22 mégas, 56 minutes ) Je ne sais qui a inventé ce mot d'ethnocide. Seval s'"interroge ensuite sur les différentes facettes du phénomène ovni, par exemple sous son aspects ostentatoire. Nous existons Nous savons Nous désapprouvons Ces réflexions n'épuisent pas le sujet.
Géographie des mers et des océans : les grands axes thématiques Ces dernières années, les enseignants en poste et les futurs enseignants sont confrontés à nouveau à la thématique maritime. En effet, premièrement, la rénovation des programmes scolaires permet de traiter en classe un certain nombre d’enjeux majeurs (« nourrir les hommes », « les enjeux énergétiques », les « littoraux comme espaces convoités » ou « acteurs, flux et réseaux de la mondialisation », « les mondes arctiques : une nouvelle frontière sur la planète », « espaces maritimes aujourd’hui : approche géostratégique »…). Deuxièmement, le renouvellement des questions aux concours du CAPES et des agrégations de Géographie et d’Histoire – à travers par exemple la « Géographie des conflits » ou la question « Canada-Etats-Unis-Mexique » ont aussi permis de placer l’étude des espaces maritimes dans les questions aux programmes. Enfin, ce champ nouveau - à l’articulation entre milieux, géoéconomie, géopolitique et géostratégie – rencontre un réel intérêt. 1. 2. 3. 4. Les sites officiels 5.
Site ummo-sciences - Toutes les lettres ummites connues -accueil L’ONU ouvre la voie à un futur traité sur la haute mer La négociation portera sur « la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité » de l’océan. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Martine Valo In extremis, dimanche 24 décembre, la haute mer a fait l’objet de l’une des dernières résolutions votées en 2017 par l’Assemblée générale des Nations unies. Si l’immense espace marin – environ la moitié de la planète – situé au-delà des zones de juridictions nationales n’est pas tout à fait le Far West sans foi ni loi que certains décrivent, il reste très désarmé face à ce qui l’attend en exploitations diverses, scientifiques ou industrielles. Mais qu’en sera-t-il lorsque progrès de la technologie et de la démographie aidant, l’exploitation de l’océan va passer à un rythme encore supérieur ? Enjeux immenses Les enjeux sont immenses.
Géologie La géologie est une science comprenant de nombreuses spécialités et fait appel aux connaissances de domaines scientifiques variés, tels que la biologie, la physique (mécanique des fluides, pétrochimie...), la chimie, la science des matériaux, la cosmologie, la climatologie, l'hydrologie… Les méthodes d'études et les connaissances géologiques s'appliquent dans de nombreux domaines sociétaux, économiques et industriels, comme l'exploitation de matières premières, le génie civil, la gestion des ressources en eau, la gestion de l'environnement ou la prévention des risques naturels. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme géologie vient du grec ancien : γῆ (gễ, « terre ») et λογία (logía, « étude »)[1]. Disciplines de la géologie et disciplines associées[modifier | modifier le code] Science de terrain et de laboratoire, la géologie se décline en de nombreuses disciplines, les unes plus descriptives, les autres plus phénoménologiques. Minéralogie[modifier | modifier le code]
Bibliographie - ressources en ligne : les grands axes thématiques Le champ d'étude des océans se situe à l’articulation entre milieux, géoéconomie, géopolitique et géostratégie. Il oblige à penser le globe comme système tout en s’appuyant sur les nécessaires emboîtements d’échelles et tout en identifiant clairement un certain nombre d’axes thématiques. Note : Les ressources proposées sont indicatives et ne prétendent pas à l'exhaustivité. Vous pouvez nous faire part de vos suggestions. 1. Approches épistémologiques et conceptuelles. Les géographes contemporains, à la suite de leurs grands anciens, ont largement renouvelé aux plans épistémologique et conceptuel ce vaste champ d’étude. François Carré, « Les géographes et la connaissance scientifique de la mer », in Actes du FIG 2009. 2. De nombreuses ressources – articles en ligne, articles de revues papier, ouvrages – sont aussi disponibles. Tristan Lecoq (ss direction de), Enseigner la mer. 3. Les espaces maritimes couvrent 71% de la planète, soit 361 millions de km2. 4. Les sites officiels 5. 6. 7. 8.
MayaArch3D A web-based 3D GIS for archaeological research The MayaArch3D Project has built a virtual research environment for the documentation and analysis of complex archaeological sites —specifically, it is a web-based, 3D-GIS that can integrate 3D models of cities, landscapes, and objects with associated, geo-referenced archaeological data. An international, interdisciplinary project This international, interdisciplinary project brings together archaeologists, art historians, and cultural resource managers with experts in geosciences, remote sensing, photogrammetry, 3D modeling, and virtual reality from various institutions in Germany, the US, Italy, and Honduras. Case Study: UNESCO World Heritage site and ancient Maya city of Copan, Honduras The digital collections used to demonstrate the system contain basic information for other ancient Maya cities in Central America, but focus on the archaeology of Honduras and specifically Copan.
Géofiche : L’Asie domine le commerce maritime mondial [ressource] Le commerce maritime mondial : « En janvier 2011, la flotte marchande mondiale avait presque atteint 1,4 milliard de tonnes de port en lourd (tpl), ce qui représente une augmentation de 120 millions de tpl par rapport à 2010. » En 2010, la capacité des ports mondiaux atteint 530 millions d’équivalents 20 pieds (EVP). La Chine continentale atteint 24 % de la part du trafic des ports à conteneurs. La conteneurisation du transport maritime, commencée dans les années 1970, se poursuit : « la part de la flotte des porte-conteneurs dans la flotte mondiale est passée de 1,6 % en 1980 à plus de 13 % en 2011. » Mais les vraquiers et les pétroliers restent les navires les plus répandus, représentant respectivement 38 % et 43 % de la flotte mondiale. Source : CNUCED, Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement, Etude sur les transports maritimes, 2011. Le conteneur, symbole de la mondialisation : Le leader mondial du transport de conteneurs est l’entreprise danoise Maerks.
netprof – Le partage du savoir en vidéo La Somalie, piraterie et affairisme Depuis 2008, l’Union européenne est présente au large des côtes somaliennes à travers l’opération « Atalante » (EUNAVFOR), aux côtés des Etats-Unis et de l’OTAN et de pays présents à titre individuel (Chine, Russie, Inde, Iran, Japon…). Soit une trentaine de navires de guerre couvrant une surface supérieure à celle de la mer Méditerranée. Malgré ce déploiement, les attaques des pirates n’ont jamais été aussi nombreuses qu’en 2010, et les premières semaines de l’année 2011, bien que marquées par quelques interceptions et libérations réussies, ne semblent pas montrer d’inflexion (il y aurait aujourd’hui 1 181 membres d’équipage retenus en otages le long des côtes somaliennes). Les attaques s’effectuent de plus en plus loin du littoral (là où la surveillance maritime s’estompe), jusqu’à 1 500 kilomètres des côtes africaines, soit entre les Seychelles et Maldives vers l’est, et jusqu’au canal du Mozambique au sud. Une « approche globale » pour dépasser la piraterie Il y a en effet urgence.