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Carte des pays membres de la zone euro

Carte des pays membres de la zone euro
Depuis le 1er janvier 2015, dix-neuf des vingt-huit Etats membres de l'Union européenne ont adopté l'euro. Le dernier pays a avoir rejoint la zone euro est la Lituanie qui a adopté la monnaie unique le 1er janvier 2015. Les billets Découvrez les billets de la première série, émis à partir de 2002, et ceux de la série Europe, émis à partir de 2013. Voir aussi : les pièces en euros Les pays membres de la zone euro : Pays membres de l'Union européenne et non membres de la zone euro : BulgarieCroatieDanemarkHongriePologneRépublique tchèqueRoumanieRoyaume-UniSuède Related:  Monnaie, Euro UE politique monétaire

Trois économistes vedettes analysent le "quantitative easing" de la BCE- 23 janvier 2015 C'est une décision historique. Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) a annoncé jeudi 22 janvier, par la voix de son président, Mario Draghi, le lancement d'un programme élargi de rachats d'actifs. La BCE va ainsi racheter 60 milliards d'euros par mois de dette publique et privée de mars 2015 à fin septembre 2016 "et en tout état de cause jusqu'à ce que nous voyions un ajustement pérenne dans la trajectoire de l'inflation en ligne avec notre objectif d'atteindre un taux d'inflation inférieur mais proche de 2%". L'usage d'un tel programme comme instrument de politique monétaire a fait "l'unanimité" parmi les 25 membres du conseil, a précisé Mario Draghi et le choix de l'enclencher maintenant a recueilli "une large majorité, tellement large que nous n'avons pas eu besoin de vote". Au total, ce sont plus de 1.140 milliards d'euros qui vont être injectés dans l'économie en 18 mois via ces rachats de dettes. Quels effets? L'analyse des experts: (avec AFP)

L'Irlande sort du plan d'aide sans euphorie, l'austérité continue L'Irlande est devenue dimanche 15 décembre le premier pays de la zone euro à s'affranchir d'un plan d'aide international mais la vie de la population, éprouvée par une cure d'austérité drastique, ne changera "pas du jour au lendemain", a prévenu le Premier ministre. Dans une allocution télévisée, le chef du gouvernement Enda Kenny a officiellement annoncé la sortie du plan de sauvetage de 85 milliards d'euros que son pays avait été contraint d'accepter de la part de l'Union européenne et du FMI en 2010, quand l'explosion de la bulle immobilière menaçait son système bancaire d'une faillite totale. Trois ans plus tard, "c'est une étape importante mais ce n'est pas une fin en soi", a prévenu le Premier ministre. "Nos vies ne vont pas changer du jour au lendemain". Enda Kenny a salué les "sacrifices" consentis par la population irlandaise, soulignant que "pour beaucoup, les récentes améliorations de la situation économique ne se sont pas encore fait sentir dans la vie quotidienne".

Quelles sont les dates d'exigibilité en matière de TVA ? - professionnels L'entreprise peut opter pour le régime de la TVA sur les débits. La TVA est alors exigible à la date du débit (inscription du débit sur le compte client) qui correspond généralement à la date de la facturation. La TVA provenant de la vente de biens et celle provenant de la prestation de services deviennent exigibles à la même date. L'entreprise qui opte pour le régime de la TVA sur les débits doit le demander par écrit au service des impôts dont elle relève pour la TVA. L'option s'applique à toutes les opérations pour lesquelles une livraison de bien et une prestation de service sont prévues. Elle prend effet à compter du 1er jour du mois suivant celui au cours duquel elle a été exercée. L'entreprise peut indiquer sur ces factures que cette option a été choisie, en y ajoutant la mention Paiement de la TVA d'après les débits. Pour renoncer à l'option, l'entreprise doit demander par lettre simple au service des impôts dont elle dépend l'arrêt de cette option.

Qu'est-ce que le Pacte de stabilité et de croissance ?  - Qu'est-ce que l'euro a changé pour les Européens ? Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Le Pacte de stabilité et de croissancePacte de stabilité et de croissanceInstrument dont les pays de la zone euro se sont dotés afin de coordonner leurs politiques budgétaires nationales et d’éviter l’apparition de déficits budgétaires excessifs. Le PSC a été adopté au Conseil européen d’Amsterdam en juin 1997. Le PSC comporte deux types de dispositions : La surveillance multilatérale, disposition préventive : les États de la zone euro présentent leurs objectifs budgétaires à moyen terme dans un programme de stabilité actualisé chaque année.

EFSA Dossier: Additifs allimentaires En vertu de la législation européenne, les additifs doivent être autorisés avant de pouvoir être utilisés dans les aliments. Cette autorisation donnée par les gestionnaires des risques fait suite à une évaluation approfondie de la sécurité réalisée par l’EFSA. Une fois autorisées, ces substances sont répertoriées dans une liste UE d’additifs alimentaires permis qui précise aussi leurs conditions d’utilisation. Elles doivent également être conformes à des critères de pureté approuvés établis dans le règlement UE 231/2012. En décembre 2008, la législation en vigueur a été consolidée au sein de quatre règlements simplifiés couvrant toutes les substances dites « agents améliorants alimentaires » (c.à.d. les additifs alimentaires, les enzymes alimentaires et les arômes). EU legislation on food additives – Commission européenne Le règlement UE 257/2010 établit un programme pour la réévaluation des additifs alimentaires autorisés, dont les détails figurent en annexe II.

Le "quantitative easing" de la BCE, comment ça marche ?- 22 janvier 2015 La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé jeudi 22 janvier son très attendu programme de rachats massifs de dette publique et privée, "quantitative easing" (QE) à l'européenne. En voici les grandes lignes et modalités. 1) En quoi consiste le QE ? Comme la Fed ou la Banque du Japon avant elle, la BCE va racheter de la dette, à la fois publique, c'est-à-dire des obligations souveraines émises par les Etats de la zone euro et les institutions européennes, et privée. Le rachat de dette privée a en fait déjà commencé à l'automne dernier avec des opérations sur certains produits financiers, à savoir les obligations sécurisées et les ABS, des titres adossés à des crédits. L'objectif est d'enclencher un cercle vertueux: sous l'effet de la forte demande, la valeur des obligations augmente et automatiquement les taux d'intérêt baissent ce qui pousse les banques à placer leur argent ailleurs, notamment à prêter aux entreprises et consommateurs. 2) Combien la BCE va-t-elle dépenser? (avec Afp)

Pour une union politique de l'euro Un manifeste pour sortir l’Europe de l’ornière en renforçant et en démocratisant la zone euro. En priorité, unifier en son sein l’impôt sur les sociétés, mutualiser partiellement les dettes et doter la zone d’un parlement. Pour lire et signer le texte intégral du manifeste : L’Union européenne traverse une crise existentielle, comme vont bientôt nous le rappeler brutalement les élections européennes. Cela concerne au premier chef les pays de la zone euro, enferrés dans une crise qui est très loin d’être terminée. C’est pourquoi nous accueillons avec le plus grand intérêt les propositions formulées à la fin de l’année 2013 par nos amis allemands du groupe de Glienicke[1], en vue d’un renforcement de l’union politique et budgétaire des pays de la zone euro. Il est temps de le reconnaître : les institutions européennes actuelles sont dysfonctionnelles ; elles doivent être repensées. En savoir plus Notes auteur Commentaires Commenter cet article

Pouvoir et impuissance XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer La pente vers l’impuissance de l’exécutif gouvernemental et de son bras armé, l’Etat, n’est pas fatale “Nous conservons le pouvoir mais nous avons perdu la puissance.” Et derrière les impératifs de la com’, se découvre le champ clos des rivalités. Le chiffre en dit plus qu’un long discours : au plus fort d’une récession annonciatrice de plans sociaux, les pouvoirs publics n’ont pu mettre qu’une maigre poignée d’euros supplémentaires (de l’ordre de 100 millions) en faveur du chômage partiel sur la table du dernier sommet social. Et cette incapacité n’est pas qu’une affaire de manque de moyens ! “La crise du politique est en grande partie une crise d’inefficacité et d’absence de résultats. La “déprise” du pouvoir Voilà bien le premier paradoxe du pouvoir de ce début du XXIe siècle : son affaiblissement actuel résulte tout autant d’un processus subi que d’une démarche… volontaire.

Liens International organisations Bank for International Settlements www.bis.org International Monetary Fund www.imf.org Organisation for Economic Co-Operation and Development www.oecd.org

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