
Comment reconvertir son usine en ferme écologique ? Publié sur Bastamag.net Que faire des friches industrielles laissées en désuétude ? Aux États-Unis, plusieurs usines abandonnées sont reconverties en ferme d’agriculture urbaine. Objectif : produire des aliments sains à proximité des villes et de manière quasi auto-suffisante, tout en créant des emplois. Reportage à Milwaukee dans une ferme en aquaculture. Consommer du poisson provenant du lac Michigan comporte un « risque élevé ». À proximité de l’immense lac Michigan, une ferme urbaine s’est lancée en 2009 dans l’élevage de poissons et de légumes en aquaculture. Viser l’autosuffisance L’ancienne usine est devenue un véritable écosystème en quasi autosuffisance. À l’extérieur du bâtiment s’étend un compost de plusieurs mètres de haut sur près de 800 m2. « Les copeaux de bois ont été mélangés à du marc de café, des déchets d’origine végétale, des graines provenant des distilleries alentour, explique James Godsil. Reconvertir les usines abandonnées Sophie Chapelle
Lombricompostage : compostage par les vers - ComprendreChoisir Élever des vers pour composter ses déchets. Principe du lombricompostage Le lombricompostage est une technique de compostage basée sur l'élevage de vers rouges décomposeurs de matière. Les vers se nourrissent de matière organique et produisent deux sortes de compost : liquide et pâteux. Description du lombricomposteur Le lombricomposteur est idéal pour les petites surfaces, sur les balcons, dans une véranda ou un garage. Il existe différentes structures pour le lombricomposteur (verticale, horizontale, à plateaux tournants), cependant le principe reste le même. Le lombricomposteur se compose, en général, de quatre bacs, en plastique ou en bois non traité : le premier bac contient le compost solide, le second bac contient le compost en décomposition, le dernier bac contient les déchets ajoutés,le bac du bas récupère le jus. Tous droits réservés FT Media Quelle contenance pour mon lombricomposteur ? Voici quelques critères qui vous permettront de choisir la contenance de ce composteur :
Agriculture urbaine Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. L'agriculture urbaine et périurbaine (AUP) se réfère aux pratiques agricoles dans les villes et autour des villes qui utilisent des ressources - terre, eau, énergie, main-d'œuvre - pour satisfaire les besoins de la population urbaine. L'agriculture urbaine se réfère à des petites surfaces (par exemple, terrains vagues, jardins, vergers, balcons, toits, récipients divers) utilisées en ville pour cultiver quelques plantes et élever de petits animaux et des vaches laitières en vue de la consommation du ménage ou des ventes de proximité. Par agriculture périurbaine on entend des unités agricoles proches de la ville qui gèrent des exploitations intensives commerciales ou semi-commerciales en pratiquant l'horticulture (légumes et autres cultures), l'élevage de volailles et d'autres animaux destinés à la production de lait et d'œufs. Histoire de l'agriculture urbaine Quelques données La pratique de l'agriculture urbaine à travers le monde Loisirs.
Des fermes verticales pour nourrir les villes Ferme verticale, un concept, des réalités Le concept de ferme verticale En 2050, la population mondiale se sera accrue de plus de trois milliards d’êtres humains et plus de 80% de la population mondiale résidera dans des centres urbains. Selon Dickson Despommier, enseignant à l’université de Columbia à New-York et théoricien du concept de ferme verticale, si les techniques d’agriculture et les modes de consommation restaient inchangés, c’est un nouveau territoire, plus grand que le Brésil, qu’il faudrait déforester afin de pouvoir nourrir la population. Produire plus sur un espace restreint, voilà justement tout l’enjeu des fermes verticales. A l’image des gratte-ciels, inventés au 19e siècle pour répondre au besoin de logements urbains liés à l’explosion de la population, le professeur Dickson Despommier et ses élèves imaginent dès 1999 des fermes urbaines nichées dans des tours transparentes, les Farmscrapers. Les fermes containers Les rooftop farms ou serres urbaines sur toit
la rotation des cultures ou assolement triennal | Jardin-Magique.fr Publié le mardi 21 août 2012 Les agriculteurs d’autrefois ont découvert de quelle façon la rotation des cultures, combinée à d’autres pratiques telles que l’utilisation de cultures de couverture et d’engrais vert, favorisait la matière organique, la fertilité et l’état physique des sols. L’utilisation d’engrais chimiques n’a jamais montré de toxicité; si elle est interdite en culture biologique, c’est principalement pour empêcher la déstructuration des sols et les pollutions par des fertilisants lessivés dans les ressources en eau, à cause d’apports que les cultures n’ont pu utiliser pour différentes raisons. Les engrais autorisés en culture biologique sont plus stables car ils doivent être transformés par la microfaune du sol avant d’être assimilables par les plantes. Une gestion raisonnée des successions culturales permet de participer à la nutrition des cultures par l’exploitation naturelle des diverses couches du sol et de ce que chaque type de plante y apporte. Imprimer cette Page
L'espace agricole peut-il être un sociotope ? Les espaces agricoles - c'est à dire les champs cultivés, les prairies, les jachères... - sont une composante majeure des "espaces ouverts" sur lesquels porte la méthode des sociotopes. Toutefois, nous avons à plusieurs reprises fait le constat que dans la pratique, leur usage social à des fins de loisirs est à peu près nul et ne mérite pas que l'on passe des heures en observation au bord d'un champ de blé pour le cas où il en sortirait des pique-niqueurs ou des randonneurs ou Dieu sait quoi encore, même si le fait d'avoir trouvé un jour quelques revues "légères" dans un champ de maïs m'incite à une certaine prudence (de même que ce string rouge trouvé dans une plantation d'épicéas en centre-Bretagne m'amène à considérer sous un jour nouveau les rapports entre sylviculture et sociotopes). Cette formulation soulève quelques interrogations. Voir aussi : Espace agricole et sociotopes.
Dragonfly, une ferme dans un gratte-ciel à New York ? Art de vivre Guénola Pellen2009-07-31 19:35:00 L'architecte avant-gardiste Vincent Callebaut rêve de réintroduire la campagne au cœur de la métropole new-yorkaise. On peut être utopiste et garder les pieds sur terre. Indépendante sur le plan énergétique grâce à ses panneaux solaires et ses éoliennes productrices d'électricité, Dragonfly ne solliciterait que des matériaux 100 % naturels. « Les énergies renouvelables sont intégrées dès la conception du bâtiment, orienté vers les vents dominants pour en capter l'énergie », explique Vincent Callebaut. Être architecte de son propre jardin Le projet s'inscrit dans une démarche citoyenne et communautaire, inspirée des jardins ouvriers. « Les habitants de Dragonfly seraient les architectes de leur propre potager », explique Vincent Callebaut. Info pratiques Site : www.vincent.callebaut.org Vincent Callebaut viendra défendre son projet à New York la première quinzaine d'août. Lire tous les articles de la rubrique Art de vivre
Les défis de notre agriculture globalisée - Globe L'imminence d'une nouvelle donne agricole mondiale du fait de l'évolution démographique fait, depuis les années 2000, l'objet de nombreuses publications en France, principalement de la part d'agronomes (comme Bruno Parmentier, Michel Griffon ou François de Ravignan) mais également de géographes (comme Sylvie Brunel ou Gilles Fumey). Nous vous proposons dans ce billet de découvrir l'approche du géographe Jean-Paul Charvet, notre invité dans l'émission Planète Terre ce 15 décembre à travers son dernier ouvrage Atlas de l'agriculture : comment pourra-t-on nourrir le monde en 2050 ? paru chez Autrement. Ce billet est réalisé en partenariat avec le dernier numéro du magazine Carto "Nourrir le monde en 2050". L'espace agricole mondial : un clivage Nords-Suds toujours pertinent ? 1er indicateur : le nombre d'agriculteurs L'évolution du nombre d'agriculteurs par pays dans le monde. 2ème et 3ème indicateurs : les superficies cultivées et les rendements Quelles solutions pour nourrir la planète ?
Micro-agriculture biointensive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] De nombreuses caractéristiques de l'agriculture biointensive étaient présentes dans l'agriculture traditionnelle des Chinois, Grecs, Mayas et du début de la période moderne en Europe et en Afrique de l'Ouest depuis au moins la fin XVIIIe siècle. L' agriculture biointensive est développée dans la seconde moitié du XXe siècle par l'horticulteur anglais Alan Chadwick; elle s'inspire en partie de l'agriculture biodynamique et de la méthode de maraîchage dite intensive française [1] De la méthode intensive française elle reprend le travail sur buttes préparées par double-bêchage et la minimisation de l'espacement des plantes. La méthode a été popularisée ensuite par John Jeavons[2]. Grands principes[modifier | modifier le code] John Jeavons propose le résumé suivant des six principes de l'agriculture biointensive[6]. Avantages[modifier | modifier le code] Inconvénients[modifier | modifier le code]
Les toits potagers Vous rêvez de votre toit potager, de votre jardin suspendu, seulement, vous n'en avez pas la possibilité. Soit parce que votre toit est désespérément en pente et chargé de tuiles, soit parce que vous n'avez pas la possibilité de l'utilisez,... ne désespérez pas, vous pouvez quand même cultiver vos oignons dans votre appartement, sur votre balcon ou terrasse: Il vous faut : • Une bouteille de plastique de 5 L ( ça marche aussi avec des bouteilles d'1,5 litres) • une paire de ciseaux • Des bulbes d'oignons • sol • l'eau Percez des trous dans la bouteille , avec les ciseaux hein? Y placer les germes d'oignons du bas vers le haut, en vous assurant qu'ils sont correctement positionnés, soit le côté racine, vers l’intérieur. Mettez des couches de terreau au fur et a mesure que vous placez les bulbes, jusqu'à ce que la bouteille soit pleine . Partagez Afficher la suite
Autosuffisance alimentaire Le Monde.fr : Supplément spécial Près de 60 % de l’Humanité se concentre aujourd’hui dans les zones urbaines. D’ici 2050, cette proportion devrait atteindre 80 %, et la planète gagnera au bas mot 3 milliards d’habitants. Même en anticipant certaines évolutions technologiques, l’agriculture traditionnelle ne pourra pas répondre à la demande alimentaire : 80 % des surfaces arables du globe sont déjà en exploitation, et 15 % de ces sols ont même été épuisés (agriculture intensive, pollution, désertification…). Heureusement, architectes, designers et ingénieurs agronomes allient leurs compétences pour inventer la ferme de demain : au cœur des villes, et… à la verticale ! Force est de constater que l’agriculture intensive « sature ». Mais puisque les surfaces cultivables ne sont pas extensibles (hormis par la déforestation, qui a elle-même des conséquences dramatiques), comment faire pour produire la nourriture nécessaire à une population mondiale toujours croissante ? Une utopie au service de l’avenir