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Ces start-up qui veulent révolutionner l’agro-alimentaire

Ces start-up qui veulent révolutionner l’agro-alimentaire
Début septembre, à San Francisco (Californie), lors du TechCrunch Disrupt, une conférence consacrée aux start-up de la Silicon Valley, la société Hampton Creek Foods a fait sensation. Sur scène, Michael Arrington, le maître de cérémonie, qui s’était montré très critique au début de la conférence, s’est livré à un test à l’aveugle. D’un côté, des cookies fabriqués avec de véritables oeufs. De l’autre, ces mêmes gâteaux fabriqués à partir d’un substitut végétal à base de pois et de sorgho développé par la start-up. Un peu embarrassé, M. Arrington a dû alors reconnaître qu’il était bien incapable de faire la différence. Fondée en 2012 à San Francisco, Hampton Creek Foods est le symbole de ces nouvelles sociétés d’entrepreneurs qui se lancent à l’assaut du secteur de l’agroalimentaire, dominé par de géantes multinationales. « Le monde de l’alimentation ne fonctionne plus. « Ils croient en l’innovation et ils n’ont pas d’idées préconçues, avance M. M. Photo: Hampton Creek Foods

Claudia Senik: "La France souffre de nostalgie" Votre étude intitulée "Le mystère du malheur français : la dimension culturelle du bonheur" a connu un grand succès à l'étranger avant de revenir en France - où elle ne cesse de faire parler. Quelle était votre intention de départ? Il existe un "manque" de satisfaction réel en France, que j'ai cherché à expliquer par l'analyse de facteurs purement économiques, en prenant en compte un éventail de phénomènes aussi large que possible, qu'il s'agisse de croissance, de revenu, d'emploi... Concrètement... On peut mettre en relation le niveau de vie des habitants d'un pays et le bonheur moyen déclaré (mesuré par un indice spécifique). Ce qui confirme la permanence de causes culturelles profondes... Effectivement, bien que l'on puisse affirmer que, "quand l'économie va bien, les Français vont mieux", une lame de fond pessimiste demeure en toute circonstance, quel que soit le contexte économique. La première population, c'est les immigrés... Exactement. C'est-à-dire? Je vois surgir deux problèmes.

UN Report Says Small-Scale Organic Farming Only Way to Feed the World UN Report Says Small-Scale Organic Farming Only Way to Feed the World Via www.iatp.org Transformative changes are needed in our food, agriculture and trade systems in order to increase diversity on farms, reduce our use of fertilizer and other inputs, support small-scale farmers and create strong local food systems. That’s the conclusion of a remarkable new publication from the U.N. Commission on Trade and Development (UNCTAD). The report, Trade and Environment Review 2013: Wake Up Before it is Too Late, included contributions from more than 60 experts around the world (including a commentary from IATP). The report links global security and escalating conflicts with the urgent need to transform agriculture toward what it calls “ecological intensification.” The UNCTAD report identified key indicators for the transformation needed in agriculture: IATP’s contribution focused on the effects of trade liberalization on agriculture systems.

FRANCE • Le crépuscule des élites Maurice Thorez, le stalinien français, passa la Seconde Guerre mondiale à Moscou, où il se faisait appeler Ivanov. A la Libération, il rentra en France et devint membre du gouvernement. Après la démission de Charles de Gaulle, en 1946, Thorez reprit à son compte un des projets fétiches du général : la création d’un établissement chargé de former les hauts fonctionnaires de la nouvelle république, l’Ecole nationale d’administration (ENA). Thorez devait se dire que cette caste constituerait l’“avant-garde du prolétariat” dont Lénine avait tant parlé. Les élites françaises se définissent par leur intelligence. Depuis, tout est allé de travers. C’est la plus petite élite à gouverner un grand pays. Aux Etats-Unis, jamais un PDG et un romancier ne se rencontreront. Les élites constituent la seule classe française à faire preuve de solidarité interne, poursuit Monique Pinçon-Charlot. Cette dernière ne va pas disparaître d’elle-même.

Quand les multinationales volent les terres agricoles Un documentaire canadien, qui prendra l'affiche la semaine prochaine au Québec, dénonce la façon dont plusieurs multinationales agroalimentaires privent des communautés de leurs terres. "Sans terre, c’est la faim" (No Land No Food No Life dans sa version anglaise originale) d’Amy Miller est un long métrage documentaire consacré à l'accaparement des terres agricoles pour les fins industrielles de grandes entreprises, telles que Pepsi et Associated British Foods (ABF). À l'aide de témoignages de fermiers ayant été dépossédés de leurs terres, notamment du Mali, de l'Ouganda et du Cambodge, le film montre les répercussions sur ces populations et sur la crise alimentaire mondiale. Le documentaire explique ainsi comment des terres, qui servaient à nourrir des communautés, se retrouvent aux mains de multinationales, laissant derrière des habitants privés de denrées alimentaires, mais aussi de leur logement et de leur travail. Visionnez la bande-annonce du film.

«La France est fâchée avec le pays réel» En principe, la troisième réforme de la décentralisation, en cours au Parlement, devrait renforcer les métropoles et les régions. Là se situent en effet les échelons majeurs du développement dans une économie mondialisée. Mais dans un vieux pays jacobin comme la France, où règne une image fantasmée de la ruralité, rien n’est simple. Géographe, professeur à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, Jacques Lévy explique dans son dernier livre, Réinventer la France, comment les archaïsmes de la vision française du territoire sont contre-productifs et aboutissent à des politiques «d’injustice spatiale». Il plaide en outre pour que ces questions entrent enfin dans le débat public. Pour «réinventer la France», vous la représentez avec des cartes peu habituelles… Longtemps, on a montré l’espace français et l’espace en général sous forme de surfaces continues. Avec une autre carte, on voit donc une autre France ? Qu’est-ce qui caractérise ce périurbain ? Le département a-t-il encore du sens ?

Q&A: Family Farms Hold the Future of Food Extra TerraViva FAO38, Featured Busani Bafana interviews JOSÉ ANTONIO OSABA GARCÍA, coordinator of the International Year of Family Farming A spirited campaign by the World Rural Forum (WRF) – a grouping of civil society organisations – led to the declaration of 2014 as the International Year of Family Farming by the U.N. General Assembly at its 66th session in 2011. José Antonio Osaba García, World Rural Forum (WRF) and Coordinator of the International Year of the Family Farm. Credit: Busani Bafana/IPS The IYFF seeks to highlight the importance of family farms in reducing poverty and attaining food security. José Antonio Osaba García, coordinator of the IYFF, tells TerraViva that the declaration of the IYFF was a major victory in the fight for the rights of farmers to own land. Q: Why the Year of Family Farming? A: Who feeds the world? Q: Was it easy to get the declaration? A: Yes. Q: As a civil society organisation (CSO), do you consider this your major victory? A: Oh yes.

EspaceTemps.net : Penser les humains ensemble. Reducing poverty through smallholder farming 'What we need and want is for people to grow their own food' says Rabha Elis Bandas, director and founder of the Women's Development Group in Sudan A rice farmer tends the fields in Vietnam. Oxfam cites the country as an 'exceptional model' of what smallholder farming can achieve A rice farmer at work in Vietnam, where small scale farming has cut the country's malnutrition rate in half Vietnamese women sell rice at a market stall. A loan from the SFA helped Haitian Romeus Mercilie (pictured second from right) to purchase new livestock and save money after hurricanes ruined her crops Children of the Smallholder Farmers Alliance members plant trees to help combat the extreme deforestation in Haiti A smallholder coffee farmer in Uganda weighs beans before they are exported and sold Smallholder farming around the world Vietnam cut malnutrition by half with small scale farmingU.N. declared 2014 the International Year of Family Farming. Read: How supersized portions cost the planet Hope for Haiti

Tourisme immersif et voyage futur | Demain La Ville Tourisme immersif : comme si on y vivait A part une poignée de chanceux, il faut avouer que le temps de vacances annuel de tout un chacun s’avère assez limité. Et c’est d’autant plus court qu’on souhaite en profiter à fond… Ainsi, le touriste en goguette semble de plus en plus attaché aux “effets de réel” qu’il éprouvera au gré de ses pérégrinations exotiques. L’immersion touristique traduit en fait le désir de vivre à l’étranger “comme des locaux”, à savoir dans la réalité sociale du lieu. C’est ce qui explique le succès d’émissions telles que “J’irai dormir chez vous”, mais aussi et surtout l’émergence de nombreux services qui transforment le rapport au voyage. Les services dédiés à cette sacro-sainte immersion ne cessent de fleurir ici et là depuis une petite dizaine d’années. Côté visites et gastronomie, quoi de mieux que les conseils des locaux pour profiter d’un lieu ? Le tourisme VS les touristes Pour aller plus loin :

Les petits agriculteurs considèrent que la politique de souveraineté alimentaire est une occasion ratée Des agriculteurs dénoncent la politique de souveraineté alimentaire lancée hier par le gouvernement Marois.Ils affirment que le gouvernement aurait dû en profiter pour mettre fin au monopole de L'UPA. Les précisions de Paul Huot Francois Filion est producteur agricole à L'Isle-Verte et milite pour les fermes à dimension humaine . Il considère que le gouvernement se prive lui-même d'intervenir efficacement en maintenant le monopole de l'Union des producteurs agricoles .Même son de cloche à l'Union Paysanne qui considère que cette politique de la souveraineté alimentaire est une coquille vide .« C'est assez vide s'il vous plait merci ! Richard Favron producteur de légumes biologiques est du même avis . « On a essayé de noyer le poisson parce que les producteurs attendaient une politique agricole et on en voit que de très fines bribes dans le document qui nous a été présenté . On ignore cependant si cette déception mènera à des actions concrètes . D'après un reportage de Paul Huot

Un tiers de la nourriture produite gaspillée | Consommation «Le gaspillage massif de nourriture a une grande importance sur la sécurité alimentaire et la sécurité en général», a déclaré José Graziano da Silva, directeur général de l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), basée à Rome, en présentant un rapport à ce sujet. «Nous ne pouvons tout simplement pas permettre qu'un tiers de toute la nourriture que nous produisons soit gaspillée ou perdue à cause de pratiques inadéquates, lorsque 870 millions d'êtres humains sont affamés chaque jour», s'est-il indigné. Ce gaspillage «effarant» porte aussi «un grave préjudice à l'environnement», note la FAO. À titre d'exemple, «chaque année, la nourriture produite sans être consommée engloutit un volume d'eau équivalant au débit annuel de la Volga en Russie et est responsable du rejet dans l'atmosphère de 3,3 milliards de tonnes de gaz à effet de serre».

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