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A fond pour vivre sans un rond : cinq exemples à suivre

A fond pour vivre sans un rond : cinq exemples à suivre
Image: zooboing Alors que le concept de revenu universel ou « de base » fait progressivement des émules, certain(e)s décident d’aller encore plus loin et de vivre volontairement sans argent. Pourquoi ? Comment ? Réponses avec cinq parcours de vie en France comme à l’étranger. Heidemarie Schwermer, vit sans argent depuis 17 ans C’est en 1996 que cette ancienne institutrice allemande âgée aujourd’hui de 71 ans décide de se passer d’argent. Pour elle, l’argent éloigne de l’essentiel: se débarrasser du superflu permet un mode de vie plus sain et heureux. Vivre sans argent, c’est possible par Gentside Daniel Suelo, vit sans argent depuis près de 14 ans Couverture du livre de Mark Sundeen qui retrace la vie de Daniel Suelo L’américain Daniel Shellabarger vit sans argent depuis septembre 2000. Il vit de cueillette, de glanage, de dons et ne propose rien en retour. Reportage pour la BBC The American Who Quit Money To Live In A Cave from David Eckenrode on Vimeo. Anne-Sophie Novel / @SoAnn sur twitter Related:  Sites, articles

Devenir autonome (la page) Accueil | Sortir du travail Cinq tendances qui marqueront les entreprises de demain Les entreprises les plus compétitives sont souvent celles qui sont à l’affût des nouvelles tendances. Pour tout savoir des phénomènes qui influenceront les pratiques d’affaires de demain, Métro a rencontré quelques experts. Les technologies sociales Des chercheurs de la Loughborough University, au Royaume-Uni, ont démontré que le niveau de stress des employés augmentait lorsque ceux-ci lisaient ou rédigeaient des courriels. «Même les gouvernements sont en train de s’y mettre! La collaboration «Auparavant, les entreprises étaient gérées de façon verticale, c’est-à-dire qu’elles étaient très hiérarchisées. La gestion du Big data Signaux GPS émis par les téléphones intelligents, informations publiées sur l’internet, échanges sur les réseaux sociaux, opérations bancaires : chaque jour, plus de 2,5 trillions d’octets de données sont générés à l’échelle de la planète. La rémunération variable Les fameux «bonis de fin d’année» ne sont plus l’apanage des cadres et des dirigeants.

Le travail, une « valeur » à réhabiliter ou à oublier ? Lors des deux dernières élections présidentielles, tous les principaux candidats — FN, PS, UMP, avec un bémol pour le Front de Gauche — se définissaient comme les représentants des travailleurs et les défenseurs d’une valeur travail supposément à réhabiliter. Plus personne n’interroge réellement le concept de travail, l’objet de la discussion étant de savoir comment en répartir les fruits. Cette idéologie du travail, véritable pilier de la modernité, est inédite dans l’Histoire des sociétés humaines. Il nous paraît désormais naturel de voir se succéder des candidats proposant leurs solutions pour réhabiliter la valeur travail, cette expression étant même devenue un véritable refrain de l’éditorialisme libéral. Le travail avant l’ère moderne : entre punition et signe d’infériorité Dans la Grèce antique, les tâches manuelles et les activités nécessaires à la subsistance matérielle basique de la communauté sont considérées comme avilissantes et réservées aux êtres inférieurs. Germinal

Ce qu’Albert Jacquard nous apprend Les avancements de la science aujourd’hui nous prouvent que la définition des races de l’espèce humaine est pratiquement impossible : chacun d’entre nous est unique. C’est une sottise de croire que si nous sommes différents, nous sommes meilleur que l’autre. La coopération est nécessaire, pas la compétition. Dans la nature humaine, le désir de l’emporter sur l’autre est à l’origine du dopage, des excès, de l’argent. Essayer d’être meilleur que soi-même, c’est cela le challenge. Comment fait-on pour changer le monde ? Albert Jacquard a consacré l’essentiel de son activité à la diffusion d’un discours humaniste destiné à favoriser l’évolution de la conscience collective. [Interview] Alternatives Paloises - Pourquoi refusez-vous la compétition dans le monde actuel ? Regardez l’histoire de l’humanité : nos arrière-grands-parents, il y a 20 000 ans, étaient des gens qui partaient à la chasse pour les plus forts et les autres, les gringalets, restaient dans les grottes pour les peindre.

The wastefulness of automation Chris Dillow observes that "one function of the welfare state is to ensure that capital gets a big supply of labour, by making eligibity for unemployment benefit conditional upon seeking work." And despite noting that when jobs are scarce, paying some to "lie fallow" so others can work might be a good thing, he concludes that "this is certainly not in the interests of capitalists, who want a large labour supply - a desire which is buttressed by the morality of reciprocal altruism and the work ethic." (emphasis mine). Basic Income, therefore, is not going to happen because capitalist interests, claiming the moral high ground, will ensure that it never gains political traction. But what if capitalists DON'T want a large labour supply? What if automation means that what capitalists really want is a very small, highly skilled workforce to control the robots that do all the work? I don't think I am dreaming this. This creates an interesting problem. But it wouldn't actually be like that.

1 – Rapide définition des humanités numériques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exemple de recherche en humanités numériques : répertoire d'archives[1] sous forme d'analyse de réseau. Elles se caractérisent par des méthodes et des pratiques liées à l'utilisation des outils numériques, en ligne et hors ligne, ainsi que par la volonté de prendre en compte les nouveaux contenus numériques, au même titre que des objets d'étude plus traditionnels. Les humanités numériques s'enracinent souvent d'une façon explicite dans un mouvement en faveur de la diffusion, du partage et de la valorisation du savoir. Définition[modifier | modifier le code] Manifeste des Digital Humanities - FR Les humanités numériques peuvent être définies comme l'application du « savoir-faire des technologies de l'information [et de l'informatique] aux questions de sciences humaines et sociales »[3]. « 1. Il arrive que les humanités numériques soient assimilées à l'« humanisme numérique » que propose Milad Doueihi dans Pour un humanisme numérique (2011).

The Politics of Getting a Life Work in a capitalist society is a conflicted and contradictory phenomenon, never more so than in hard times. We simultaneously work not enough and too much; a labor famine for some means feast for others. The United States has allegedly been in economic “recovery” for over two years, and yet 15 million people cannot find work, or cannot find as much work as they say they would like. At the same time, up to two thirds of workers report in surveys that they would like to work fewer hours than they do now, even if doing so would require a loss of income. The pain of unemployment is well-documented, but the pain of the employed only occasionally sees the light, whether it’s Amazon warehouse employees working at a breakneck pace insweltering heat, or Foxconn workers risking injury and death to build hip electronics for Apple. When work is scarce, political horizons tend to narrow, as critiques of the quality of work give way to the desperate search for work of any kind. Workers Against Work

Pinterest : quels pinners faut-il suivre? Depuis hier, tout un chacun peut s’enregistrer sur Pinterest, un réseau social très en vogue qui n’était jusqu’à présent disponible que sur invitation. Seulement voilà, difficile d’en saisir l’intérêt lorsqu’on nous présente le site, et surtout de savoir qui faut-il absolument suivre. Petit tour d’horizon de quelques profils marquants… Buzzfeed, votre source de memes Extrêmement populaire aux Etats-Unis, Buzzfeed est petit à petit devenu l’une des meilleures sources de memes en tous genres. Petit à petit, le compte Pinterest du site gonfle avec de nouveaux pins souvent très drôles, classés également par catégories, allant des traditionnels lolcats aux animaux mignons, en passant par les détournements d’images et les graphiques totalement surréalistes. Suivre Buzzfeed sur Pinterest. Les clichés attendrissants de Thomas Hynes Une seule et unique catégorie pour ce profil, qui rassemble des dizaines de photos d’animaux de différentes espèces entretenant des relations très proches. Idée déco

Does Work Really Work? L. Susan Brown Taken from Kick It Over 35 PO Box 5811, Station A, Toronto, Ontario, Canada M5W 1P2 One of the first questions people often ask when they are introduced to one another in our society is "what do you do?" Those who do work (and they are becoming less numerous as our economies slowly disintegrate) are something - they are teachers, nurses, doctors, factory workers, machinists, dental assistants, coaches, librarians, secretaries, bus drivers and so on. In our society, then, work is defined as the act by which an employee contracts out her or his labour power as property in the person to an employer for fair monetary compensation. What is a slave? Carole Pateman points out the implications of the employment contract in her book The Sexual Contract: Capacities or labour power cannot be used without the worker using his will, his understanding and experience, to put them into effect. It doesn't have to be this way. What would a better way of work look like? L. Footnotes

Notre cerveau est génial ! "On sait que c’est l’entité la plus complexe de l’univers connu. Mais les découvertes se multiplient et font exploser tous les schémas. Notre cerveau est bien plus élastique que prévu, ses neurones peuvent même repousser. Et il fonctionne en wifi, relié aux cerveaux des autres." On sait que c’est l’entité la plus complexe de l’univers connu. Mais les découvertes se multiplient et font exploser tous les schémas. 1, un cerveau plastique qui peut voir avec la peau L’idée de plasticité corticale et neuronale ne figure dans aucun programme de médecine avant les années 1990 : les premiers qui en parlent sont ridiculisés, tels Paul Bach-y-Rita et son frère George, deux médecins hors norme qui, à la fin des années 1960, réussissent à sauver leur père, un professeur de tango paralysé par un accident vasculaire cérébral (AVC) et que les neurologues disaient condamné. 2, des trillons de milliards de réseaux neuronaux De nouveaux neurones ? 3, à plein régime et en permanence

La mort de l’économie et du travail En fait, j’aurais dû voir venir le truc. Dans les années 1980, les prolos ont été violemment déclassés. Nos parents nous ont recommandé de bien faire des études pour ne pas finir comme eux. « Il faut bien travailler à l’école pour avoir un bon métier plus tard. » Ensuite, à partir des années 1990, ce sont les petits fonctionnaires et les salariés pas très éduqués qui ont été basculés dans des structures privées, où ils étaient corvéables à merci, désormais au service des actionnaires et relevant des managers, très vaguement protégés par le droit du travail. Le début du 21e siècle a vu ma génération, même les plus éduqués, basculer à leur tour dans la précarité. Education bubble J’avais parlé il y a quelques temps de la bulle spéculative liée à l’enseignement dans les pays anglo-saxons. Pourtant, je vois que mes amis qui s’en sortent le mieux sont ceux qui enseignent leur métier disparu aux jeunes. Mais nous ne sommes pas les derniers. Lights out factories

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