
Bisphénol A, phtalates, parabens : tolérance zéro ! - France-Monde Par la rédaction pour La Voix du Nord, Publié le 14/03/2013 - Mis à jour le 14/03/2013 à 11:24 Bisphénol A, phtalates, parabens... Ces substances sont mises en cause dans l'augmentation du nombre de cancers, troubles du comportement, cas d'infertilité. L'Agence européenne de sécurité des aliments rend ce mois-ci un rapport sur ces perturbateurs endocriniens. Après avoir interdit le bisphénol A, la France lance une stratégie nationale pour les encadrer. LIRE AUSSI :> « Comment interdire tous les perturbateurs endocriniens ? Notre maison apparaît soudainement moins chaleureuse : de la bouilloire électrique en plastique, à la gamme aubergine des ustensiles de cuisine, du dentifrice à notre rouge à lèvres, du camion de pompiers offert à Noël à notre jean préféré, de la peinture du salon au jardin... Bisphénol A, parabens, phtalates... se nichent partout. Au fil des études menées d'abord sur les animaux, les liens de cause à effet se confirment chez l'homme. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
What I Learned From 4 Years Working at McDonald's | Kate Norquay From 18-22, I spent four years working at McDonald's. I worked a mix of part- and full-time over these years, always failing to find a "better" job. I never advanced up the rungs, never was a manager, never achieved anything of significance in my time there. Basically, I was the absolute stereotype of a deadbeat McDonald's worker. Over the years, I saw this stereotype play out in a number of ways. And it played out in my own mind. I didn't improve. But after a few years, my attitude started to change. I started to be proud of my job. "McDonald's is gross and greasy. I asked myself, what is the difference between McDonald's and the entry-level jobs other students have? Is it because I work for a big corporation? Or because the company is unethical? Maybe because I work in fast food? Because it's not intellectual? And then I realized. McDonald's is supposed to be a job for people who can't do anything else. This was the bias that both me and the people around me were applying to my job.
#CQVC ● 4 pages consacrées aux Substances Chimiques, et aux vérités cachées... | Environnement alimentation et santé What I Learned About Bias From 4 Years Working at McDonald's Originally published on Medium and republished here with the author’s permission. From 18-22, I spent four years working at McDonald’s. I worked a mix of part- and full-time over these years, always failing to find a “better” job. I never advanced up the rungs, never was a manager, never achieved anything of significance in my time there. Basically, I was the absolute stereotype of a deadbeat McDonald’s worker. Over the years, I saw this stereotype play out in a number of ways. And it played out in my own mind. I didn’t improve. But after a few years, my attitude started to change. I started to be proud of my job. I asked myself, what is the difference between McDonald’s and the entry-level jobs other students have? Is it because I work for a big corporation? Or because the company is unethical? Maybe because I work in fast food? Because it’s not intellectual? And then I realized. McDonald’s is supposed to be a job for people who can’t do anything else. McDonald’s is gross and greasy.
Paradis fiscaux : les banques françaises enfin contraintes à la transparence - Réforme bancaire La réforme bancaire est toujours en discussion au Parlement. Et – surprise ! – elle pourrait contenir au moins une véritable avancée : l’obligation pour les banques de publier toutes leurs données concernant leurs activités dans les paradis fiscaux. Heureusement que certains députés et sénateurs sont plus offensifs que le gouvernement. C’est désormais chose faite : à l’initiative des groupes EELV et socialiste au Sénat, un amendement, voté le 21 mars, oblige les banques à publier leurs bénéfices, impôts et subventions dans toutes leurs filiales à l’étranger. Un effet très dissuasif La victoire est double : cette obligation concerne toutes les filiales, et pas seulement les 18 territoires considérés par Bercy comme des paradis fiscaux. « Cela aura un effet dissuasif. Après les banques, les multinationales ? L’amendement des sénateurs a finalement reçu un avis favorable du gouvernement, malgré l’intense lobbying de la Fédération bancaire française. Ivan du Roy
Joyeux Noël (sous condition de ressources) - Une heure de peine... C'est Noël, et la chasse aux pauvres continue. . "Car la prime n’était pas forcément utilisée pour l’enfant" nous dit une responsable. Ce pourrait être anecdotique - après tout, il ne s'agit jamais que d'une prime de 50€, pas de la prime de Noël étatique - si ce genre de proposition ne revenait régulièrement sur le tapis politique : verser les aides "en nature" ou, tout au moins, d'une façon qui évite aux pauvres de les détourner de leur destination officielle. Car derrière, il y a cette idée finalement très répandue : les pauvres sont pauvres parce qu'ils gèrent mal leur argent. Fréquentant depuis un temps certain les salles des profs, il n'est pas rare que j'y attende l'une ou l'autre allusion à ce gamin doté d'un téléphone portable dernier cri ou de baskets à la mode alors que ses parents sont notoirement au chômage, ou pauvre, ou précaire, ou dans la dèche, quelque soit l'expression que l'on utilise pour les désigner. Mais n'allons pas trop vite en besogne.
Les alternatives aux pesticides se développent partout… sauf en France - Modèle agricole - Basta ! | Environnement alimentation et santé Edouard Louis ou le déterminisme extrême Temps de lecture: 10 min Dans Histoire de la violence, le jeune écrivain raconte avoir été violé par un homme qu'il appelle Reda. L'Obs nous apprend ce mercredi 9 mars que ce Reda, actuellement en prison, attaque le romancier pour atteinte à la présomption d'innocence. La plainte déposée contre lui par Edouard Louis après son agression (et relatée dans le livre) n'avait pas abouti. Pour éclairer l'affaire relatée par l'Obs, nous republions notre article sur Histoire de la violence. J'ai l'habitude de lire un peu de littérature mais je crois n'avoir jamais vu de phrases aussi méprisantes que celles écrites par Édouard Louis sur ses pauvres congénères, comme s'ils étaient enfermés dans une réalité dont ils ne pouvaient pas s'échapper, prisonniers d'un destin qui les enfermait à tout jamais dans leur misère. Le jeune auteur est célèbre depuis son dernier –et premier– roman En finir avec Eddy Bellegueule, qui dessinait avec violence le milieu social dont il est issu. Polyphonie Polyphonie
CES « PARASITES » QUI VIVENT AUX CROCHETS DE L’ETAT C’est un argument de rhétorique utilisé extrêmement régulièrement par les libéraux : si la France va mal (et en particulier ses finances publiques), c’est que l’assistanat y est trop développé. Autrement dit, il y a trop de « parasites » qui pompent les finances publiques et le niveau de rémunération de cet assistanat n’encourage pas au travail. Cet argumentaire sert de justification non à la réforme mais au démantèlement en cours depuis une dizaine d’années (et très largement prolongé par la « gauche de droite » actuellement au pouvoiri) de tout notre système de protection sociale : il faut retirer la perfusion sociale à tous ces fainéants et autres chômeurs, ça leur filera un coup de pied au cul pour aller travaillerii. D’une pierre, on fera deux coups : assainissement des finances publiques et forte baisse du taux de chômage. Admettons un instant. Entre 30 et 40 Mds€iii : l’estimation du montant annuel de la fraude fiscale. L’oligarchie a peur.
« En France, l’orthographe sert à se distinguer socialement » L’historien Claude Lelièvre, spécialiste du système éducatif, revient sur la polémique qui oppose, depuis deux semaines, le ministère de l’éducation nationale à l’Académie française sur des « rectifications » orthographiques remontant à 1990. Lire aussi : L’orthographe, une bataille très politique La polémique sur cette « réforme » de l’orthographe qui n’en est pas une – puisque les rectifications proposées il y a un quart de siècle demeureront, à la rentrée prochaine encore, facultative – vire à la guerre de position. A-t-on connu de pareilles crispations en 1990 ? On ne peut le nier. A l’époque, déjà, François Bayrou avait fait entendre son opposition aux rectifications orthographiques formulées par le Conseil supérieur de la langue française et défendues par le secrétaire perpétuel de l’Académie, Maurice Druon. Réforme ou « réformette » : comment percevez-vous les changements introduits ? Et à l’époque, personne ne s’en est indigné ! Lire aussi : La dictée, une passion française
Enquête exclusive : la présence des entreprises du CAC 40 dans les paradis fiscaux Des Bermudes à la Suisse en passant par Panama, toutes les grandes entreprises françaises possèdent des filiales dans les paradis fiscaux. C'est ce que révèle notre enquête sur la présence des entreprises du CAC 40 dans les centres financiers "offshore". Retrouvez notre enquête complète, avec l'analyse détaillée de la présence des banques françaises et anglo-saxonnes dans les paradis fiscaux, dans le prochain numéro d'Alternatives Economiques (en kiosque début avril). A lire aussi : le dossier documentaire sur les paradis fiscaux. Alors que les paradis fiscaux sont de plus en plus montrés du doigt et constituent un sujet clé des discussions du G20 sur la régulation du capitalisme, l'enquête menée par Alternatives Economiquesmontre que toutes les entreprises françaises du CAC 40 sont fortement présentes dans les pays offrant des services financiers de type « paradis fiscaux »[1]. Le secteur financier se révèle être le plus engagé dans les paradis fiscaux. Les principaux paradis fiscaux
Why We Need to Drop Our Obsession with 'Standard' English Once and for All Accents are an interesting thing. [Southern accent] They can make people think you’re real darn dumb. [British accent] Or they can make people think you’re posh and fancy. And, unfortunately, for a lot of people, they can be the source of massive amounts of discrimination. Accents, combined with other linguistic features, make up dialects of English. So first, I want to talk about accents that come from a person learning a second language. You see, humans are capable of hearing and producing an amazingly wide range of noises. So when you grow up only speaking one language, you stop listening for those noises that you never hear. I’m sure you know this if you’ve ever tried learning another language. But where this gets discriminatory is when we associate dialects with intelligence. Take, for example, someone who came to the US from Mexico and learned English a little later in life. But this is a person who has learned a second freaking language. I’m sorry, that’s just not true.
Les idées fausses, ça suffit ! ATD Quart Monde vous offre un an d’abonnement à Feuille de Route, le mensuel d’actualités contre la misère. Pour bénéficier de cet abonnement d’un an, cliquez ici Commandez le livre "En finir avec les idées reçues sur les pauvres et la pauvreté" Nous vous invitons à déconstruire des préjugés et des stéréotypes répandus sur la pauvreté et les pauvres, afin que ceux-ci cessent d’être les boucs émissaires des maux de nos sociétés et qu’ils deviennent au contraire des partenaires à part entière dans la construction d’un monde plus juste. Voici quelques-unes de ces idées reçues. Diffusez-les autour de vous, réagissez, participez au débat. Travail réalisé par ATD Quart Monde et la MRIE, Mission Régionale d’Information sur l’Exclusion en Rhône-Alpes. 1) Sur la pauvreté en général « Les pauvres coûtent cher à la société » Oui, et plus que l’on ne pense (et ils rapportent aussi !). 2) Sur les minima sociaux « La France distribue des minima sociaux élevés. » Faux. Faux. Faux. Faux. Bien sûr. Faux. Faux.
Les pauvres savent-ils dépenser leur argent ? Verser en une seule fois à trois foyers composés de chômeurs de longue durée la totalité des prestations sociales auxquelles ils ont droit en un an et regarder comment ils utilisent l’argent, c'est le concept d’une nouvelle émission de Channel 5. Exploration télévisuelle d’une idée dans l’air du temps ou pornographie de la pauvreté ? L’idée est paraît-il dans l’air du temps : supprimer le versement mensuel des allocations pour les chômeurs de longue durée et les remplacer par un unique versement annuel d’un montant équivalent. L’Etat ferait-il des économies ? La chaîne privée Channel 5, qui diffuse l’émission, a fait de l’observation des populations les plus défavorisées, soutenues à bout de bras par la collectivité, une des ses spécialités (une dizaine de documentaires sur les « allocs » en un an). Trois foyers ont été sélectionnés par la production pour ce test de quatre mois. Les familles découvrent ensuite, effarées, le coût de la vie et les factures à payer.