
Ne dites plus Génération X, Y, Z mais zozos, momos, bobos, cocos, yoyos...Jean-Luc Excousseau présente la gén Le sociologue et sémiologue Jean-Luc Excousseau* est co-fondateur de l’Association du Marketing Générationnel, et auteur de «La Mosaïque des Générations». Spécialisé dans l’étude et le décryptage des générations, il pose un regard acéré et différent sur ce phénomène que chacun aimerait mieux comprendre. Les générations ne suivent pas forcément les calendriers et ne s’alignent pas exactement sur les débuts ou fins de décennies. Je préfère m’appuyer sur la démographie. On constate de 1920 jusqu’à 1976 une synchronisation des démographies de l’Europe et de l’Amérique du Nord avec globalement les mêmes baby boom et baby bust. On peut ainsi noter des creux, des piques et tracer des frontières communes entre les générations. Pour éviter qu’on ne résume les générations à des lettres -X, Y ou Z-, il a créé une nouvelle typologie. - les cocos (collectifs concrets). - les bobos (bourgeois bohêmes), nés entre 1941 et 1964. - les momos (mobiles moraux). - les yoyos.
Stress : La peur n'est pas un mode de management Jacques est rongé par la peur. Sa hiérarchie vient de revoir ses objectifs commerciaux à la hausse. " Il en va de la survie de l?entreprise ", lui a-t-on fait comprendre. Et s?il n?était pas à la hauteur ? La peur est l? La génération Y existe-t-elle vraiment ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman Ils sont l'objet d'études, de colloques, des livres entiers leur sont consacrés. La blogosphère déborde de commentaires sur eux, ils font la "une" des magazines, sont invités à la télévision. Y parce qu'elle succède à la génération X des enfants de baby-boomers, Y en référence aux fils des écouteurs sur le torse, Y à prononcer à l'anglaise ("ouaille"), parce qu'elle serait la génération qui s'interroge tout le temps. Génération Y, concept marketing ou réalité sociologique ? Certes, ils sont ultra-connectés, manient les outils technologiques et surfent sur les réseaux sociaux avec une aisance déconcertante. Une autre caractéristique les rassemble, moins positive cette fois, la précarité au travail : 25 % des jeunes de moins de 25 ans sont au chômage. Conséquence : on les présente comme sans illusions, peu impliqués au travail, difficilement fidélisables, individualistes, réfractaires à l'autorité.
La peur du déclassement, une sociologie des récessions | Entreprise et Progrès d’Eric Maurin Le CDI anxiogène ou la peur du déclassement La crise n’a fait qu’accentuer le phénomène : une angoisse sourde partagée par un nombre croissant de Français convaincus désormais que nul n’est à l’abri de perdre son emploi, et donc son statut. Le déclassement n’a pas augmenté, mais c’est la peur d’en être, qui s’est considérablement généralisée. Dés lors, les salariés craignent de perdre leur emploi, les étudiants de ne pas en trouver, les parents de voir leurs enfants échouer à décrocher le diplôme qui tel l’indispensable sésame, ouvre à son détenteur les portes du marché du travail. Que constate notre auteur ? Alors que faire ? Une analyse percutante, concise, qui a fait beaucoup de bruit.
REPÈRE RH - Génération Y et emploi des seniors : où sont les vraies questions ? Organisé par de jeunes étudiants, un débat resitue ces thématiques dans leur contexte et dans leurs perspectives.À quoi songent les jeunes gens qui s’apprêtent à embrasser à la fois les RH et le monde du travail ? Le 4 avril, à Malakoff, les étudiants du Master IRH de l’Université Paris Descartes organisaient une soirée-débat sur les thèmes qui leur semblaient le plus dans l’air du temps.« Nous nous sommes réunis, nous avons discuté », explique Fabien Calvin, l’un de ces étudiants, « et nous sommes vite tombés d’accord ». Du chapeau sont sortis, dans l’ordre, la génération Y et l’emploi des seniors.Consultants, DRH, coach, sociologue et psychosociologue se sont donc retrouvés pour débattre de ces deux thématiques, autour desquels la littérature RH tourne en rond, en reposant toujours les mêmes questions.Le résultat ? Les cahiers du DRH, N° 186 © Tous droits réservés
Retrouvez plus de 2 000 articles dédiés au à l'actualité RH et au marché de l'emploi au Maghreb >> Bénéfices du management par la peur ne sont pas durables Dans l’entreprise, la peur est souvent utilisée comme stratégie de pression pour atteindre un certain nombre d’objectifs comme la performance, la qualité, les délais. C’est souvent l’incertitude qui génère le sentiment de peur. La gestion par la peur est une option de court terme, isole le manager et se révèle, in fine, conflictuelle. Ahmed Al Motamassik Sociologue d’entreprise «L’impératif essentiel chez le cadre est d’avoir une bonne maîtrise de soi. Faillir à ce niveau engendre une peur fondamentale qui touche le besoin de reconnaissance et de considération.» Selon Ahmed Al Motamassik, sociologue d’entreprise, la peur est un fait légitime et psychologique qui trouve son origine dans plusieurs situations : menaces réelles ou ressenties, fondées sur le système hiérarchique ou l’inégalité dans l’exercice du pouvoir. La Vie Eco : Que faut-il entendre par «peur» ? . Tout cela signifie-t-il que la peur est omniprésente dans les entreprises ? Tout à fait ! Comment gérer la peur des autres ?
Génération Y : L’éducation comme enjeu Je reviens sur l’article que j’avais publié la semaine passée concernant la génération Y, issu de mes notes sur l’intervention de Benjamin Chaminade à Lorient lors de la journée Web et entreprises. En effet, suite à cette lecture, j’ai trouvé 3 articles traitant de cette génération dans ma veille Twitter et qui apportent un éclairage a priori contradictoire mais au final complémentaire autour de la notion de l’éducation sur cette génération. Le premier émane d’un enseignant Ne me dites plus que je suis un digital native de la génération Y . En laissant croire que Tous les Jeunes ont des facilités avec le web, on occulte que nombre d’entre eux ont un réel besoin d’être éduqués/formés à son utilisation (surtout dans les générations à venir). Le second, au titre provocateur Les enfants de demain seront des brêles du numérique évoque également ce hyatus entre la vision de cette génération et la réalité. (Il y a) « la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. A vos souris !
Rediffusion - GRANDEUR - CENTRE - ÉQUILIBRE - HOMMAGE A PIERRE… - INQUIÉTUDE - IMAGE - HUMANITÉ - VALEURS POUR MANAGER « C’est la vie intérieure qui est le fondement ultime : la formation se fait de l’intérieur vers l’extérieur. » (« Source cachée » de Edith Stein) C’est dans la liberté que réside la possibilité d’un avènement de la personne. Or, l’homme est d’autant plus libre qu’il s’achemine vers son propre centre. Ce pouvoir, dont l’homme dispose, de faire chemin en direction de son intériorité la plus profonde témoigne au plus haut point de sa liberté et d’accéder ainsi à une existence authentique, pour reprendre un terme heideggerien. Ce point le plus profond est en même temps le lieu de la liberté : le lieu on peut rassembler tout son être et décider. C’est depuis ce centre de l’intériorité que monte la voix intime de la conscience. Pour Edith Stein, seule une écoute intense de la conscience permet à l’homme d’accueillir les véritables motivations qui sont à la racine d’un agir libre. S’interrogeant sur la liberté, Edith Stein examine la nature des motivations qui guident l’agir.