Comment et pourquoi s’engage-t-on dans un MOOC ?
Aujourd’hui, on revient dans la lignée du précédent billet sur l’analyse du questionnaire envoyé aux participants du MOOC “Education aux Médias et à l’information”. 5000 inscrits, 765 répondants, essentiellement un public d’enseignants. Je vous renvoie au billet précédent pour le talon sociologique, car aujourd’hui, nous allons parler “intentions et motivations”. Quelles sont les motivations derrière l’inscription à un MOOC. Les participants viennent-ils réellement avec l’intention d’obtenir le certificat. Première question, le nombre d’heures que les inscrits comptent investir dans le MOOC. Quant à savoir si on suit le MOOC plutôt sur son temps de travail ou plutôt sur son temps libre, la réponse est sans appel : la plupart le suivront essentiellement voir totalement sur le temps libre. J’avais rajouté ensuite une question pour mieux comprendre la façon dont les inscrits se représentaient le MOOC. Ok, attaquons maintenant sur les questions de motivation.
Digital Studies
Aujourd’hui, chaque discipline académique est affectée par les technologies numériques, mais nous ne possédons pas suffisamment de modèles théoriques pour étudier la façon dont elles influencent le savoir au niveau épistémologique (dans le sens de Gaston Bachelard). Nous pensons que cette question devrait être analysée à travers toutes les disciplines académiques, chacune d’entre elles devant maintenir sa différence tout en reconnaissant des affectations communes et des conséquences de cela au niveau épistémique (dans le sens de Michel Foucault). Cette idée est à la base de ce que nous nommons les “études numériques”. Le Réseau Études Numériques a été lancé par l’Institut de Recherche et d’Innovation durant l’édition 2012 des Entretiens du Nouveau Monde Industriel. Vous trouverez l’ensemble des vidéos de l’édition 2012 des Entretiens du Nouveau Monde Industriel concernant les études numériques via ce {lien}.
Le Web 2.0 et les profs
Dix-sept auteurs pour se demander comment le Web 2.0 transforme au travail enseignant : on peut déjà dire, en ce qui les concerne, qu’il leur permet d’engager le dialogue et de partager leur plume, en s’affranchissant de l’unité de temps et de lieu d’une réunion à l’ancienne, pour échanger et même accorder leurs points de vue. Les possibilités offertes par le Web 2.0 ne sont pas nouvelles, et les pistes d’exploitation qui émergent datent parfois même d’avant Internet [1] Cependant, la grande facilité d’utilisation des dernières applications favorise la massification et l’intensification de ces usages. Il n’est en particulier plus nécessaire d’être réunis à un endroit et à un moment donnés pour pouvoir travailler. S’informer et se formerLes associations d’enseignants en ligne telles que Les Clionautes, WebLettres, Sésamath ou Docs pour Docs ont été le premier signe, dans notre profession, de l’émergence du Web 2.0. Échanger pour se former Construire ensemble Du plaisir de la mise en réseau
Des MOOC aux SOOC... - Transformons.fr - Symetrix
MOOC / COOC / SOOC : quelles différences ? Quels sont les avantages du SOOC (Social Open Online Course) et quels en sont ces facteurs clés de succès ? Source: www.transformons.fr Sur le même thème "Les entreprises ont besoin de MOOC sur-mesure" Le monde des MOOC est en évolution rapide, et on observe actuellement l'essor des COOC (Corporate Open Online Course), des MOOC dédiés au monde l'entreprise, et des SPOC (Small Private… 25 janvier 2015 Dans "Scoop.it" Feuille de route pour … créer un MOOC Les MOOC (Massive Open Online Courses), les cours en lignes ouverts et massifs constituent une nouvelle forme d'enseignements. 18 décembre 2014 Retour sur le seminaire ARC6 Cette journée du 18 mars 2013, organisée d’une main de maître par Jean-Charles MARTY, chercheur au LIRIS, a permis d’échanger avec plus d’une vingtaine de représentants de laboratoires ou d’entreprises…
Usages pédagogiques du web 2.0
Date de publication Affichages : 3974 Web 2.0, Quezako? « L'expression Web 2.0 a été proposée pour désigner ce qui est perçu comme un renouveau du World Wide Web[1]. L'évolution ainsi qualifiée concerne aussi bien les technologies employées que les usages. En particulier, on qualifie de Web 2.0 les interfaces permettant aux internautes d'interagir à la fois avec le contenu des pages mais aussi entre eux, faisant du Web 2.0 le web communautaire et interactif. » (définition wikipédia) Ainsi les outils type facebook, myspace, netvibes, flickR, etc. sont liés au web 2.0 en tant qu'ils favorisent ces notions de collaboration, d'interaction, etc. ceux organisés autour des profils d'utilisateurs (Facebook, Myspace, etc.) : les activités s'articulent autour d'une page web propre à chacun des utilisateurs, page contenant des informations sur les activités de la personne, les intérêts, préférences, etc.ceux organisés autour de contenus (Netvibes par exemple) Pourquoi donc utiliser ces outils ?
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Dossier - utiliser le brainstorming
Les publications sélectionnées reviennent sur ce qu'il faut faire pour transformer ces séances de remue-méninges en succès. Pour aller plus loin nous vous invitons à consulter notre dossier méthode. Articles Brainwriting 635 : Vous avez 30 minutes ? Présentation d'une technique créative fort intéressante à posséder dans sa boite à outils. QualitystreetLe brainstorming comme outil décisionnel : décryptage et pièges à éviter Petite mise au point sur ce que n'est pas cette méthode : un moyen de légitimer une décision déjà prise ! Laurent BoghossianQuelques bonnes pratiques et erreurs à éviter pour réussir un brainstorming Pour réussir sa séance de remue-méninge, il faut respecter quelques règles de base. Entrepriseglobale.biz15 techniques de brainstorming pour une rentrée créative Comment aborder ses séances de créativité ? Blog Cegos Etudes de cas Comment réussir un brainstorming Management et moi Fiches pratiques Remue-méninges CEDIPLe brainstorming Institut Atlantique d’Aménagement des Territoires
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