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Science & Environment - Doctor Who: 50 years of time travel in the TARDIS

Science & Environment - Doctor Who: 50 years of time travel in the TARDIS
TV's most famous Time Lord has been to different worlds and ages, but what do these journeys look like? Take a trip through our interactive map and see archive clips too. Number 76 Totter’s Lane. To celebrate the 50th anniversary of this iconic sci-fi programme, we at BBC Future have created our own version of time travel by tracking the Doctors’ trips in one interactive infographic. We recruited a crack team of Whovians to compile the list, including crowdsourcing some data.

Le Doctor Who Fan Orchestra : The Impossible Orchestra Nous allons fêter en novembre les 50 ans de la série britannique Doctor Who. Comment une fiction télévisuelle peut durer aussi longtemps ? Qualité d’écriture, originalité, castings, tous ces éléments sont importants et ont marqués la série de 1963 à nos jours. Mais quand on évoque la série depuis sa « régénération » en 2005 beaucoup de Whovians parlent avec émotion de la musique. Si le thème de Doctor Who est toujours présent (bien que réorchestré au fil des saisons, l’original jouait sur un côté science fictionnesque en utilisant des sonorités totalement non naturelles tout droit sorties de machines à l’époque révolutionnaires !), Russell T. Dès la première saison, Murray Gold fait preuve de génie pour appuyer les moments forts de la série, parfois à contre-pied comme la régénération du neuvième Docteur (Christopher Eccleston). Le compositeur continue d’aligner les compositions et son univers devient vite indissociable de la série. Ainsi naquit le « Doctor Who Fan Orchestra ».

Moffat avant l’ère Moffat : Blink (S03E10) Arrivé second lors du classement des 200 meilleurs épisodes de la série, organisé par Doctor Who Magazine en 2009, Blink (S03E10) est aussi celui qui vaudra un troisième Hugo Award à Steven Moffat. C’est le seul épisode Doctor-lite[1] que Moffat écrira sous l’ère Davies : le Docteur (David Tennant) et Martha Jones (Freema Agyeman) n’y apparaissent que très peu. C’est la photographe Sally Sparrow (Carey Mulligan) qui devra lutter contre les Anges Pleureurs. Si l’épisode inaugure une longue série de paradoxes temporels, il propose aussi une mise en abyme de la série des plus réjouissantes. “This is where it gets complicated” Peut-être moins connu que le paradoxe du grand-père[2], le paradoxe dit « de l’écrivain » est l’autre versant de ce qu’on appelle un paradoxe ontologique : un paradoxe qui met en doute l’existence même de l’objet dont on parle. La boucle ne peut avoir d’origine car 1969 et 2007 fonctionnent en tandem. Time can be rewritten Voir c’est pouvoir Blink Rasebelune

Every Doctor Who Opening (HD) (1963-2013)

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