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Francetvéducation - Dans l'enfer de Verdun

Francetvéducation - Dans l'enfer de Verdun

21 février 1916 - L'enfer de Verdun Aucune bataille n'a autant marqué la mémoire des Français que celle de Verdun. Tout d'un coup, un déluge de feu Tout commence le 21 février 1916, à 7h30, avec un déluge de feu sur les forts de Verdun et sur les tranchées où sont tapies trois divisions françaises. Puis, l'infanterie allemande monte à l'assaut. Le chef d'état-major allemand Erich von Falkenhayn veut de cette façon en finir avec une guerre de positions qui dure depuis la bataille de la Marne, dix-huit mois plus tôt. Tenir ! Les poilus résistent héroïquement au premier choc, en dépit de la perte du fort de Douaumont. Les attaques vont se renouveler pendant plusieurs mois, sans cesse contenues. « On les aura ! La contre-offensive Le 22 juin apparaissent les terrifiantes bombes au phosgène, un gaz mortel en quelques secondes. La bataille de Verdun prend fin le 15 décembre 1916. Du côté français, le total des pertes (morts, blessés et disparus) est évalué à 379 000 et du côté allemand, à 335 000.

Première guerre mondiale Verdun et la Première Guerre mondiale vues par le cinéma VIDÉOS - Dimanche 29 mai, les Français commémoreront officiellement le centenaire de la bataille de Verdun. À cette occasion, Le Figaro vous propose de découvrir une sélection de films qui ont mis en scène cet évènement historique. La France célèbrera ce dimanche 29 mai le centenaire de la bataille de Verdun. À cette occasion, Le Figaro vous propose de découvrir une sélection de films qui ont mis en scène cet évènement historique. Si la première guerre mondiale a inspiré les cinéastes et les documentaristes depuis un siècle, sa bataille la plus sanglante, Verdun (21 février -19 décembre 1916), à la différence de celle de Stalingrad (17 juillet 1942-2 février 1943), n'a pas encore vu un film qui lui aurait été entièrement dédié. Les réalisateurs, jusqu'à maintenant, ont préféré replacer cet affrontement crucial dans le contexte plus général de la guerre 14-18. De grands noms du 7e art, metteurs en scène et acteurs, apparaissent dans notre sélection.

Les EPARGES fevrier avril 1915 Les Eparges Février – avril 1915 Général Mordacq 1915 c'est, sur le front français, la stabilisation, la guerre d'usure, la guerre de tranchées. LA CRÊTE EST ENFIN PRISE D'ASSAUT Avril 1915 Témoignages autour de l'attaque des Éparges Partout on s'installe, on s'enterre ; c'est la première période des tranchées, période qui n'est pas brillante, parce qu'on manque encore de tout le matériel nécessaire pour des organisations défensives aussi étendues (près de 600 kilomètres). Au cours de ces premiers mois de 1915, nos fantassins, transformés en terrassiers, exécutent de véritables travaux de Romains, manient plus souvent la pelle et la pioche que le fusil. Enfin, peu à peu, l'immense front se garnit d'une première ligne. On creuse surtout les boyaux qui y conduisent ; partout une boue intense (les caillebotis ne sont pas encore inventés) ; souvent aussi, beaucoup d'eau. Peu ou point d'engins de tranchée; ils n'apparaîtront qu'un peu plus tard. Mais là ne se bornèrent pas leurs épreuves. - Halte !

Photos of The Great War It was supposed to be the war to end all war. For over four years World War I raged on, leaving in its wake a toll of death and destruction such as the world had never seen. These are the images of that time, an eternal testament to all those whose lives were lost or forever altered by The Great War. La bataille de Verdun comme si elle vous était «live-tweetée» «7h15 : début du bombardement allemand : 1 200 canons (150 à 420 mm) et des gazs toxiques.» «Chasseur du 56e BCP. Bombardement terrifiant ! Les obus s'abattent comme la grêle ! Du jamais vu !» Il y a tout juste cent ans commençait la bataille de Verdun (Lorraine), dans laquelle l'armée française s'englua pendant dix mois, jusqu'à décembre 1916. Cent ans après, donc, plusieurs professeurs et enseignants-chercheurs ont choisi d'utiliser Twitter pour commémorer et faire revivre, virtuellement, l'histoire. Autre compte pour suivre la bataille, celui du Mémorial de Verdun. Après dix mois de résistance aux assauts, l'armée française gagne, en défense, ce long combat.

bataille de Verdun février-décembre 1916 Bataille qui opposa les armées françaises défendant le camp retranché de Verdun aux armées allemandes assaillantes (tués et blessés : 362 000 Français, 336 000 Allemands). Après avoir joué sous le commandement (IIIe armée) de Sarrail le rôle de pivot de la manœuvre du général Joffre lors de la bataille de la Marne en 1914, la région fortifiée de Verdun, affaiblie par les conséquences d'un décret d'août 1915 sur les places fortes, est choisie par l'état-major allemand pour vaincre l'armée française par épuisement de ses forces. Commandés par le Kronprinz, les Allemands, après une intense préparation d'artillerie, attaquent le 21 février la rive droite de la Meuse, bousculent les défenses françaises (bois des Caures) et prennent le fort de Douaumont (25 février). Pétain, chargé par Joffre de la défense de Verdun, organise la résistance et l'arrivée des renforts par la Voie sacrée (la route Bar-le-Duc – Verdun).

Une nouvelle histoire des mutineries de 1917 Recensé : André Loez, 14-18. Les refus de la guerre. Une histoire des mutins, Paris, Gallimard, coll. « Folio Histoire », 2010. L’historiographie de la Grande Guerre est arrivée à l’heure des refus [1] : la publication de l’ouvrage d’André Loez consacré aux mutineries françaises de 1917 confirme ce basculement. Depuis le livre pionnier de l’historien Guy Pedroncini en 1967, cet événement-symbole a souvent été considéré comme marginal, éphémère et inconséquent : s’il n’était pas le fruit d’un complot pacifiste, il s’agissait, selon Guy Pedroncini, non pas d’un « refus de se battre », mais d’un « refus d’une certaine manière de le faire » [2]. Avec une rigueur et une clarté remarquables, André Loez se tient à distance de ces interprétations consacrées. La crise de désobéissance de l’armée française en 1917 Les mutineries d’avril-juin 1917 ne sont pas un événement mineur et marginal pendant le conflit. Les mutineries : un mouvement social en temps de guerre Le rôle de Pétain

Verdun, il y a cent ans : « C’était une boucherie inouïe » C’est un petit paquet de feuilles jaunies par le temps, qui sommeille aujourd’hui dans le tiroir d’une vieille commode. Une vingtaine de pages noircies d’une écriture fine, qui racontent l’une des semaines les plus sanglantes de l’histoire de France. Un récit clinique, celui des tout premiers jours de la bataille de Verdun, tels que les a vécu un jeune homme de 23 ans que rien ne prédestinait à ce rôle de chroniqueur. Il s’appelait René Prieur. Quand commence l’offensive, ce matin-là, René Prieur, lui, est au bois des Fosses, près de Louvemont. René Prieur, à droite, devant le poste de secours du bois des Fosses, près de Louvemont (Meuse), mi-février 1916. Le médecin-auxiliaire René Prieur (tenant une canne) entouré d'infirmiers membres du 29e R.I. territoriale, dans le secteur de Verdun, janvier-février 1916. Pour René Prieur, la nuit du 21 au 22 février sera courte. Lettre de René Prieur à son père Raoul écrite au bois des Fosses, 22 février 1916. – Environ 25. Louvemont (Meuse), 1915

La Bataille de Verdun / Verdun et la Grande Guerre / Terre d'Histoire - Mairie de Verdun Côté français, la surprise a été « presque » totale et le choc effroyable. Mais la débandade attendue par l’ennemi n’a pas eu lieu. Les survivants des deux divisions françaises ne battent pas en retraite, ni ne se rendent. A dix contre cent, fusils Lebel contre Mauser et lance-flammes, la défense française s’organise. Les deux tiers de l’armée française combattent à Verdun. La ruée sur Verdun Les premiers jours de la bataille sont terribles. Les jours suivants, les combats se poursuivent avec la même intensité. « Courage, on les aura ! Finalement, à la fin du mois de février, la progression allemande a été meurtrière mais reste limitée. Depuis Baudonvillers et Bar-le-Duc, une noria de camions est mise en œuvre sur la route reliant Bar le Duc à Verdun, baptisée plus tard par Maurice Barrès la « Voie Sacrée ». Désormais les contre-attaques françaises succèdent aux attaques allemandes. Les Allemands persistent Au mois de mai, les Français essaient de se rapprocher de Douaumont.

Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : autochromes de la guerre 1914-1918 Autochromes de la guerre 1914-1918 1. La technique employée 2. Inventé en 1903 par les frères Lumière, l'autochrome est la première photographie couleurs (" en couleurs naturelles ") fabriquée de façon industrielle. Destiné à être projeté, l'autochrome est considéré comme étant l'ancêtre de la diapositive en couleurs moderne. Les photographies présentées ici ont été réalisées par quatre photographes, opérateurs militaires pendant le conflit de la première guerre mondiale : Cuville, Castelnau, Aubert et Albert Samama-Chikli. Castelnau et Cuville ont réalisé leurs clichés en 1917 après le recul des troupes allemandes dans le nord-est de la France et en Belgique. À l’évidence prévues pour être utilisées à des fins de propagande, elles représentent des destructions (bâtiments civils ou religieux, usines, arbres fruitiers, etc.), mais aussi des portraits de civils et de militaires connus ou anonymes. L’intérêt de ces photographies n’est pas seulement lié à leur valeur historique et documentaire.

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