
Pacours cinéma : Luis Bunuel “Au lieu d’expliquer les images, on ferait mieux de les accepter comme elles sont.” Buñuel (Il est interdit de se pencher au-dedans) Luis Buñuel: L’Âge d’or, 1930 Collection Musée national d’art moderne, Centre Pompidou LE CINEMA ET LES SURREALISTES - Le dandysme de l’anti-culture - “Une salle où l’on donnait ce que l’on donnait” UN CHIEN ANDALOU (1929) - “Des images irrationnelles” - Buñuel et le groupe surréaliste - Un succès inacceptable L’ÂGE D’OR (1930) - Un film de mécènes - Le scandale LE SURREALISME - L’écriture automatique - Le cadavre exquis - Le collage Le surréalisme en peinture est assez aisément accessible par une visite dans les accrochages du Musée et par les très nombreuses reproductions d’œuvres de Salvador Dalí, de Max Ernst, de Joan Miró ou de Tanguy. Très tôt le cinéma a fasciné André Breton et ses amis. Du mouvement Dada, les surréalistes ont gardé le refus de l’art sérieux. “Des images irrationnelles” Luis Buñuel est venu en France en 1925 pour faire du cinéma. Notes
Maquette de Versailles Site officiel du musée du Louvre Les montres connectées, outils de fraude au bac La Maison des Examens a envoyé il y a deux jours, aux établissements faisant passer les épreuves du baccalauréat, un fax les prévenant que certain élèves pouvaient être munis de « montres connectées, appareils susceptibles d'être utilisés de manière frauduleuse ». Damnaide ! Le fax, envoyé plus précisément par le directeur du SIEC (Service Interacadémique des Examens et Concours) qui gère tous les examens et concours sur les académies de Paris, Créteil et Versailles, est arrivé mardi matin vers 8h27 dans les établissements scolaires faisant office de centre d'examen du baccalauréat. Il informait les chefs de centre que lesdites tocantes étaient « interdites pendant les épreuves au même titre que les téléphones portables et autres smartphones ». > Cliquez sur l'image pour un gros plan < Voilà qui a le mérite d'être clair. Et là c'est le drame. Regardons de plus près à quoi ressemblent ces fameuses pendulettes reliées à l'internet mondial électronique : Abonnez-vous !
Pouvoir et religion à la chapelle royale de Versailles sous Louis XIV Je tiens à remercier Claire Constans et Béatrix Saule qui m’ont convié à participer au colloque sur les « Objets et insignes du pouvoir » (château de Versailles, 1‑3 décembre 2005) à l’origine de la présente étude. Je chante les combats, et ce prélat terribleQui, par ses longs travaux et sa force invincible,Fit placer à la fin un lutrin dans le chœur.C’est en vain que le chantre, abusant d’un faux titre,Deux fois l’en fit ôter par les mains du chapitre :Ce prélat, sur le banc de son rival altierDeux fois le reportant, l’en couvrit tout entier. Boileau, Le Lutrin, chant premier, vers 1‑8 1 Une version complète du poème de Boileau se trouve sur le site Gallica de la Bibliothèque nationale (...) 2Surtout, dans le cadre de cérémonies soigneusement codifiées par la liturgie, et où chaque intervenant joue un rôle précis, jusqu’au moindre geste, ils deviennent des symboles forts de la préséance. 4 Seconde partie, p. 14‑17. © RMN / Gérard Blot 6 Maral, 2002, p. 256. © Alexandre Maral
Paris vu par le cinéma américain en 10 clichés Si les choses tournent mal, il faut que la Tour Eiffel se casse la gueule Prenez un film catastrophe ("Independance Day", "Mars Attacks !", "Armageddon", "G.I. Jo"). A un moment ou l'autre du film, lorsque les choses commencent à vraiment sentir mauvais, il faut qu'un plan montre la Tour Eiffel (modèle en chirurgie esthétique) en train de se faire attaquer par un missile, une vague terrible ou une quelconque pluie d'astéroïdes. A la fin, le bilan est le même, le symbôle par excellence de Paris se retrouve à terre, détruite. De n'importe quel appartement, on voit la Tour Eiffel Autre fantasme concernant la construction de Gustave Eiffel, son omniprésence. L'accordéon, bande-son officielle de Paris Un américain a tourné un film à Paris ? Quand on va à l'hôtel, c'est forcément un palace Cliché pas exclusif à Paris, mais tout de même incontournable. Les Parisiens s'appellent tous Georges ou Geneviève A Paris, les prénoms n'ont pas évolué depuis le début du 20e siècle. Paris, ville de l'Amour
Nouvel iMac arrivé, déballé et premiers tests Le nouvel iMac d'entrée de gamme nous a été livré aujourd'hui. En attendant des tests plus complets et avec des applications courantes, nous avons réalisé ceux qui mesurent les performances brutes de la machine. De manière à avoir de premiers éléments de comparaison avec la précédente entrée de gamme des iMac et les derniers MacBook Air. Ce sont deux familles aux antipodes l'une de l'autre, mais cet iMac a la particularité d'utiliser le même processeur et la même puce graphique que la gamme MacBook Air sortie il y a quelques semaines (lire Test du MacBook Air 13" début 2014). On a donc un 21,5" avec un Core i5 à deux coeurs à 1,4 GHz (2,7 GHz en Turbo Boost), 8 Go de RAM figés car soudés sur la carte-mère et un disque dur à 5400 t/min de 500 Go. Tout comme les MacBook Air, cet iMac utilise un i5-4260U "Haswell" lancé par Intel au second trimestre. iMac et MacBook Air se retrouvent sans surprise sur un pied d'égalité, assez loin derrière l'iMac de la fin 2013.
Street art, l'activisme de la génération Y Le vendredi est le rendez-culturel sur le blog des Digitives avec cette semaine, l'arrivée d'une nouvelle thématique consacrée au Street Art, un mouvement artistique né avec la Génération Y. Mais avant de s'intéresser plus particulièrement à l'un de ses protagonistes, le collectif vous propose un petit préambule pour mieux comprendre cette forme artistique très atypique. Banksy, Invader, Miss Tic, des noms qui sont passés de l'anonymat de la rue à la reconnaissance internationale en une dizaine d'années. Leur point commun ? Ils sont artistes et ont pour terrain de jeu la rue. Mouvement artistique contemporain, le street art apparait dans les années 70 aux Etats-Unis sous la forme de graffitis. Aussi, nombreux sont ceux qui réduisent, à tort, l'art urbain au graffiti. Purement esthétique ou contestataire, le street art métamorphose l'espace urbain, se le réapproprie et questionne la société dans sa globalité. Mélanie G.
Je ne sais pas quoi lire : nouveau service des médiathèques de Lorient J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes J’ai récemment découvert un nouveau service proposé par le réseau des Médiathèques de Lorient. Cette proposition innovante consiste à fournir des conseils de lecture personnalisés à partir de critères entrés par l’internaute. Je trouve la réalisation graphique particulièrement réussie. Voici deux exemples de réponses personnalisées qui m’ont été envoyés par Magali Haettiger par courriel pour ce billet de blog : Comment est née l’idée de ce service? Cette expérience s’inscrit dans le projet de création d’un nouveau portail Web pour le réseau des médiathèques de Lorient ainsi que dans le projet d’établissement. Comment définir une envie? Comment s’organisent les bibliothécaires pour répondre? Non. Pourquoi avoir choisi de proposer une réponse en 72h?
Sarkozy offre la gratuité des musées aux jeunes... les plus favorisés Accueil > Politiques > L’expérimentation de la gratuité des musées Bernard Hasquenoph | Louvre pour tous | 18/01/2009 | 11:14 | 2 commentaires Une bonne mesure, démagogique faute d’être pédagogique. Sans moyens, paradoxalement, elle risque de renforcer les inégalités entre les jeunes Liste des musées et monuments nationaux gratuits pour les jeunes 18-25 ans, professeurs et enseignants > cliquez ici Nicolas Sarkozy à Nîmes © DR 18.01.09 | DJEUN, ON EST CONTENT POUR TOI, c’est clair. Ce n’est pas un esprit anti-sarkozyste primaire qui nous fait médire mais la conclusion d’une étude très sérieuse du CREDOC parue en octobre 2008 [3] dont le Président est lui-même à l’origine. Les résultats de l’enquête du CREDOC sont sans ambiguïtés. Dans le budget 2009 du ministère de la Culture, la part consacrée à la démocratisation culturelle continue inexorablement de baisser - la première année de la présidence Sarkozy, elle chutait même de 22% [7] !
Faut-il collectionner des livres numériques dans les bibliothèques ? J’ai récemment publié un article dans lequel je soulignais un certain nombre de points soulevés par le Rapport Lescure à propos du livre numérique en bibliothèque. Alexandre Lemaire, de la Communauté Française de Belgique en commentaire puis dans un article publié sur Actualitté s’interroge au sujet du contrôle d’accès à l’abonnement qu’il assimile à à modèle d’achat par abonnement. Sa prise de position me permet non pas d’entrer dans une vaine polémique, mais de poser avec lui une question importante : faut-il collectionner des livres numériques dans les bibliothèques ? Avant de répondre à la question, encore faut-il préciser quelques notions. Le texte publié par CAREL est une avancée timide vers une position plus respectueuse de la qualité de l’expérience utilisateur du livre numérique dans les bibliothèques, mais cela est loin d’être suffisant. D’une part, il faut faire une différence fondamentale entre les modèles d’achat et les modèles d’accès. A. (A. Sur le même thème
Marcel Pagnol - Le temps des amours - Film 2007 questions techniques. | Just a librarian girl Étendre l’offre de service de la médiathèque ; changer l’image des bibliothèques vieilles, poussiéreuses avec des rayonnages interminables de bouquins ; être plus proches des pratiques numériques actuelles ; lutter contre la fracture numérique ; joueur notre rôle de lieu de découverte / diffusion de la culture (via de nouveaux outils) ... Pour qui ? A mon sens pour tous les publics. Mais suivant le choix du contenu proposé cela peut-être à destination des étudiants, des personnes en recherche d'emploi etc. Avec quel contenu ? Deux possibilités : - Proposer seulement les applications installées par défaut - Proposer une sélection d’applications organisées en écrans thématiques (ex : apprendre, lire, s’informer, se détendre, utilitaires). + Proposer à l’usager d’installer les applications de son choix. Question bonus : Comment acheter des applications payantes ? - iTunes : cartes prépayées iTunes. Quel matériel acheter ? Seconde chose, statuer sur le système d'exploitation : iOS ou android ?
Couleurs d'Ardenne : Atelier de vitrail et d'enluminure Couleurs d'ArdenneAtelier de vitrail et d'enluminure PREMIÈRE tentative et réussite totale pour Valérie STEVENIN-BOIZET, désignée lauréate 2011 du prix départemental des métiers d'art dans la catégorie adultes. scène de chasse, « Le courre du chevreuil » tiré d'un livre de Gaston Phébus. Source: Journal "L'Ardennais" du 17 Janvier 2012 Voir l'article dans la rubrique "Presse" Bienvenue sur le site de Couleurs d'Ardenne, atelier de vitrail et d'enluminure, dirigé par Valérie STEVENIN. Enlumineur diplômé de l'Institut Supérieur Européen de l'Enluminure et du Manuscrit d'Angers. L'atelier est situé à Hautes-Rivières dans les Ardennes françaises, à 20 kilomètres de Charleville-Mézières et 6 kilomètres de la frontière belge. Le vitrail exerce un pouvoir de séduction lorsque la lumière du soleil transperce et projette ses couleurs sur un mur... "L'enluminure est la cathédrale de l'écriture... et la reliure en est l'écrin." Bonne visite...