
Transhumanisme : technologie d'avenir, débat d'aujourd'hui Transhumanisme, acte IV. Cette semaine, la parole est aux experts : David Latapie et Didier Coeurnelle, de l'Association Française Transhumaniste ; Rémi Sussan, journaliste à Internet Actu ; et Jean-Michel Besnier, philosophe, auteur de "Demain, les posthumains". Tous sont passés derrière notre micro pour nous donner leur avis sur notre avenir, aux couleurs de l'augmentation. Le transhumanisme, une chance de dépasser "la tyrannie de la naissance", d'aller "plus loin", d'être "plus libre", indique David Latapie. Un jour, grâce aux NBIC, comme nous l'avons vu, nous pourrons peut-être augmenter considérablement notre durée de vie, vivre jusqu'à 100, 200 ans, sans vieillir. "En vivant plus longtemps, on se sentira plus heureux", remarque Didier Coeurnelle. Doit-on avoir peur, ou au contraire porter tous nos espoirs dans les améliorations ? A lire aussi (et pour s'y retrouver) : 1/ Transhumanisme : en route vers l'Homme augmenté 2/ Transhumanisme : aujourd’hui, l’Homme réparé
Google et les transhumanistes Ray Kurzweil, le "pape" du transhumanisme, a été embauché par Google comme ingénieur en chef pour faire du moteur de recherche la première intelligence artificielle de l'histoire. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Laurent Alexandre (Chirurgien urologue, Président de DNAVision) Le transhumanisme est encore quasi inconnu en France. Le terme "transhumanisme" remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990. Dans ce contexte, les transhumanistes soutiennent une vision radicale des droits de l'humain. L'homme du futur serait ainsi comme un site Web, à tout jamais une "version béta", c'est-à-dire un organisme-prototype voué à se perfectionner en continu. Aujourd'hui, Google est devenu l'un des principaux architectes de la révolution NBIC et soutient activement le transhumanisme, notamment en parrainant la Singularity University qui forme les spécialistes des NBIC.
Transhumanisme : en route vers l'Homme augmenté Bienvenue dans votre futur. Un futur proche, très proche. Que vous avez le pouvoir de façonner... ou de laisser entre d’autres mains. Voici le premier billet d’une série consacrée à un courant de pensée technophile qui a déjà beaucoup fait parler de lui, j’ai nommé le transhumanisme. Vous connaissez sûrement les mythes de la pierre philosophale, de la fontaine de Jouvence, du Saint Graal, de Prométhée, d’Icare. Intelligence artificielle, robotique, nanotechnologies : la science progresse, inexorablement. A quand des implants, directement dans le cerveau, qui nous permettront de mieux voir, de surfer sur internet par l’esprit, sans smartphone ou sans Google Glass ? “Humain +” Kezako, le transhumanisme ? En s’appuyant sur les progrès de la science, nous modifierons notre corps et notre esprit, décuplerons nos sens et notre intelligence, et deviendrons des “Humains +”. Certes, ça peut vous sembler fantaisiste, ou utopique. Fusionner avec la machine L’ère de la Singularité Parler des risques
Transhumanisme H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Il en diffère cependant par la reconnaissance et l'anticipation des changements radicaux que pourraient entraîner les techniques émergentes[1]. Le terme « transhumanisme » est symbolisé par « H+ » (anciennement « >H »[3]) et est souvent employé comme synonyme d'« amélioration humaine ». Histoire[modifier | modifier le code] (en) Allen E.
Transhumanisme : un futur entre nos mains Dernière étape de notre voyage dans l’univers transhumaniste. Pour finir en beauté, je vous propose de découvrir deux scénarios : celui où, grâce aux technologies émergentes et aux améliorations, tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes ; et celui où, au contraire, tout virera au cauchemar. Entre les deux se trouve, peut-être, la solution... Immortels et heureux Quel futur imaginer ? D’abord, l’immortalité serait garantie, ou plutôt “l’allongement considérable de la durée de vie”, jusqu’à 200 ans, voire plus. Cerise sur le gâteau : en nous injectant peut être une “hormone du bonheur”, nous deviendrons des “transhumains bouddhas”, sages et heureux, jamais dépressifs, atteignant le “bonheur permanent”. Et c’est sans parler de notre intelligence qui sera décuplée, de même que nos sens, ou notre force. La fin de la “loterie génétique” Grâce au séquençage ADN, nous pourrons aussi reprogrammer nos gènes pour corriger nos défauts et accroître nos performances. L’oligarchie transhumaniste
Les conséquences de la techno-médecine 01Business le 08/07/13 à 15h20 « L’homme qui vivra mille ans est peut-être déjà né » cette phrase de Laurent Alexandre, chirurgien-urologue et neurobiologiste, diplômé de Science Po, d'HEC et de l'ENA, résume bien l’influence des biotechnologies sur le futur de l’humanité. Cet expert en ADN, fondateur de Doctissimo et de DNAvision a présenté lors d’une conférence à l’USI 2013 sa vision des conséquences humaines, économique et politiques du développement des biotechnologies. Depuis sa première édition en 2008, l’USI a pour vocation de réunir "les geeks et les boss" autour de sujets traitant d’actualité informatique, de nouvelles technologies, d’innovation, mais aussi de philosophie ou de design.
Transhumanisme : aujourd’hui, l’Homme réparé Credit : sous licence CC, par Kosmur. Deuxième étape de notre voyage dans l’univers du transhumanisme. Après vous avoir présenté ce mouvement qui entrevoit un futur où l’être humain pourra améliorer ses performances, voici venu le moment de vous prouver que le transhumanisme n’est pas qu’une philosophie, mais est aussi (déjà) une réalité. Car les transhumanistes s’appuient davantage sur les avancées techniques, que sur la science-fiction. Au premier plan, les progrès de la science liés à la médecine. Pour faire simple, aujourd’hui déjà, grâce aux NBIC, l’Homme peut être “réparé”, comme n’importe quelle machine. L’homme bionique Vous avez sûrement gardé en tête les images du film Robocop, ou encore de la série L’homme qui valait 3 milliards, ces histoires d’humains “abîmés” qui sont réparés grâce à un dispositif mécanique. Les exemples ne manquent pas. Point de mystère : c’est de la science. Très prochainement, l’italien Pierpaolo Petruzziello, lui, va bénéficier d’une main... robotique.
DIY human cyborg biohacks his own body with circadia implant nov 01, 2013 DIY human cyborg biohacks his own body with circadia implant DIY human cyborg biohacks his own body with circadia implantimage courtesy of motherboard imagine a future of cyborgs, where people are capable of augmenting and monitoring their bio-telemetry via an external interface or smartphone on-the-go. biohacker tim cannon has done just that by implanting a device he has designed known as circadia into his forearm. circadia is a computer capable of recording and transmitting biometric data to android-powered devices. conceived with the help of the team from grindehouse wetware, the cyborg transformation has given cannon full access to his body’s biometric data in real-time. ‘I think that our environment should listen more accurately and more intuitively to what’s happening in our body,’ explains cannon. experimenting with biochip implantsvideo courtesy Motherboard TV the circadia device before being implanted in tim cannon’s armimage courtesy motherboard