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La Bolivie adopte une "Loi de la Terre Mère" - ecoloPop

La Bolivie adopte une "Loi de la Terre Mère" - ecoloPop
Le mois dernier, sous l’impulsion des communautés locales andines et du président Evo Morales, la Bolivie a introduit une « Loi de la Terre Mère » qui accorde des droits à la nature, à l’instar des droits de l’homme. Même si cette initiative n’a eu pour le moment qu’un impact limité au niveau international, elle crée cependant un précédent législatif très original en matière de protection de l’environnement. Le Salar de Uyuni - CC Jessie Reeder - Flickr/Fotopedia En quelques mots, la « Ley de Derechos de la Madre Tierra » bolivienne instaure les droits suivants à la Mère Nature : droit à la viedroit de perpétuer les processus naturels indépendamment de toute intervention humainedroit à l’eau et à l’air purdroit à être exempt de pollutiondroit à la diversité et à la non modification cellulaire ou génétiquedroit de la nature à ne pas être affectée par des projets d’infrastructure ou de développement qui pourraient perturber l’équilibre des écosystèmes ou des populations en place

Hôtel Bel-Ami recrute Stage Assistant F&B - Détails de l'offre d'emploi ou de stage en hôtellerie de luxe ou restauration gastronomique L'hôtel BEL-AMI, 5 étoiles de 108 chambres, recherche un ou une stagiaire pour le département Food & Beverage. Stage de 4 mois minimumÉcole hôtelière Niveau BTS ou Licence.Stage à pourvoir à partir du 1er octobre 2015 Temps complet 2 jours de repos hebdomadaire 39hVous seconderez le Responsable Restauration & l'Assistante Responsable Restauration dans le quotidien du management de tous les points de vente restauration. - Dynamique - Pro-actif - Bonne présentation - Esprit d'équipe Référence n°8319Contrat : Stage Durée : 4 Mois minimumSalaire : 508.20 IN inclusesExpérience : indifférentStatut du poste : Autres (stage, VIE...)Catégorie du poste : Restauration / Restaurant Date de mise en ligne : 23/09/2015Offre toujours d'actualité pour la semaine du 18/01/2016 L’hôtel Bel Ami, référence incontournable de Saint-Germain-des-Prés, est un lieu au design contemporain et coloré (signé Philippe Maidenberg) qui fait pétiller la vie germanopratine.

Quels leviers utiliser pour développer la fidélité de ses clients ? Dans cet article nous allons voir les leviers pour développer la fidélité de ses clients, en débutant par l’analyse des mécanismes essentiels de la fidélisation, puis la mise en place des fondamentaux indispensables pour créer un programme de fidélisation, pour finir par la mise en place d’une stratégie pour obtenir naturellement la fidélité de ses clients. Avant de commencer il faut tout d’abord distinguer fidélisation et fidélité, l’un étant une démarche volontaire de l’entreprise, tandis que l’autre étant une attitude “naturelle” des clients envers une marque. Cette différence sémantique peut sembler subtile, mais c’est tout ce qui fait la différence entre les clients d’Air France qui sont séduits par le programme de fidélisation avec des Miles, et d’autre part Apple qui a une communauté de Fans sans pour autant mettre en place un véritable programme de rétention clients. Pourquoi est-ce important de fidéliser ? La Pyramide de la Fidélisation Les Mécanismes de la fidélisation

Bolivie. Climat : le double discours d’Evo Morales Le président bolivien, actuellement en visite en Europe, défendra des mesures ambitieuses de lutte contre le réchauffement de l’atmosphère lors de la Conférence sur le climat à Paris. Pourtant, dans son pays, ses décisions contrastent avec ce discours officiel. “S’il y a bien un domaine dans lequel le gouvernement se contredit, c’est celui de l’environnement”, pointait déjà le quotidien Página7 dans un éditorial publié mi-octobre. C’était juste après la clôture de la Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique qui s’est tenue pour la deuxième fois en Bolivie, à Tiquipaya, au centre du pays. Le président Evo Morales y avait dévoilé le programme de lutte contre les dérèglements climatiques qu’il soumettra à la Conférence sur le climat à Paris (COP21) en décembre. Contradictions En mai 2015, Evo Morales a ouvert ces droits d’exploitation en dépit des protestations d’ONG écologistes et de défense des droits des peuples indigènes. Rhétorique Sabine Grandadam

Les fêtes populaires en Bolivie : carnaval d'Oruro, Gran Poder, Chope Piesta, Uva, Cochabamba... Fête des compadres et comadres Dans toute la Bolivie, entre fin janvier et début février Du latin compater, « qui partage la paternité », les compadres et les comadres font habituellement référence aux parrains et aux marraines du baptême catholique. La fête se célèbre l´avant-dernier jeudi avant le carnaval. Devenue de moins en moins formelle, surtout chez la jeune génération, cette coutume continue néanmoins de se perpétuer chaque année à travers tout le pays. L’année qui suit, les compadres et comadres cherchent d’autres partenaires : ainsi, il n´est pas rare, dans une petite communauté, que les villageois soient unis de cette façon les uns aux autres, créant un lien social fort. Carnaval d'Oruro Oruro, en février Le carnaval d’Oruro est l’un des plus grands événements culturels annuels de Bolivie. Grâce à sa créativité, sa continuité et sa ritualité, le carnaval fut inscrit en 2008 au patrimoine mondial de l’Unesco comme Œuvre maîtresse du patrimoine oral et intangible de l’humanité.

BOLIVIE : Géographie et tourisme en Bolivie La Bolivie est un pays du centre de l'Amérique du Sud, bordé au nord et à l'est par le Brésil, au sud-est par le Paraguay, au sud par l'Argentine et à l'ouest par le Chili et le Pérou. Sa superficie est de 1 098 581 km2.La capitale constitutionnelle est Sucre, tandis que la capitale administrative et le siège du gouvernement est La Paz. La Bolivie est constituée de deux grands ensembles géographiques : la cordillère des Andes, à l'ouest, et les plaines de l'Oriente, à l'est. Ainsi, la principale caractéristique physique de la Bolivie est la présence de la chaîne des Andes, qui s'étend du nord au sud à travers la partie occidentale du pays. La Bolivie est divisée en trois régions distinctes : l'Altiplano, ou région de hauts plateaux, les yungas, des vallées profondes, boisées et bien irriguées, les llanos, ou plaines du Chaco. Le pays étant situé sous les tropiques, la Bolivie possède un climat chaud et humide.

Les trois-étoiles adopteront-ils le « doggy bag » ? Lutte contre le gaspillage oblige, l'arrivée de ces boîtes permettant d'emporter les restes du repas bouscule les usages de table. Et déclenche de vives réactions. La cuisine de Paul Bocuse n'est pas réputée pour sa parcimonie. Quelques semaines auparavant, le 10 décembre, la Ville de Paris annonçait le lancement de l'opération «la Box anti-gaspi». 10 000 doggy bags auraient été envoyés à une sélection de 80 «restaurants partenaires». Selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Food and Agriculture Organization, FAO), dans les «restaurants traditionnels et gastronomiques», 230 grammes de denrées sont perdus ou gaspillés par personne et par repas. Dans le décor feutré des belles adresses, évoquer les «restes» relève encore du tabou. Pour écoresponsables qu'ils soient, ces emballages posent aussi des questions sanitaires.

Restauration: le "doggy bag" pas obligatoire... mais très recommandé Les ennemis du gaspillage se réjouissaient déjà, après une déferlante d'articles de presse annonçant ce week-end l'entrée en vigueur pour les restaurateurs de l'obligation de proposer un "doggy bag" à leurs clients... Mais ce lundi marque le retour à la réalité. L'information était en effet erronée: depuis le 1er janvier, le seul changement véhiculé par la mise en oeuvre de la loi de 2010, dite Grenelle II, concerne le seuil de bio-déchets soumis à l'obligation de tri. Alors qu'il était de 20 tonnes l'année dernière, il est désormais de 10 tonnes. Ce qui marque néanmoins une extension importante: "Si, auparavant, seules les cantines scolaires ou d'entreprises étaient concernées, l'obligation de tri s'étend aujourd'hui aux restaurants servant entre 150 et 200 couverts par jour", explique le responsable des question de développement durable pour l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih), Karim Khan. 75.000 euros d'amende : tri et recyclage ne sont pas des options

Les «doggy-bag» ne font pas l'unanimité chez les restaurateurs - 05/01/2016 - ladepeche.fr Partir de son restaurant, une bouteille sous le bras, le reste de votre assiette dans un doggy-bag… c'est un geste que les Toulousains n'ont pas l'habitude de faire mais qui pourrait se multiplier dans les semaines à venir. Depuis le 1er janvier, et la mise en application du dernier seuil, le plus contraignant, de la loi sur les biodéchets, votée en 2011, les clients peuvent, s'ils le souhaitent, repartir avec le reste de leur assiette, alcool compris. «C'est, selon moi, une excellente initiative. Les commerçants qui commencent à le proposer ont de très bon retour. À Toulouse, une vingtaine d'enseignes se sont associees à la société TakeAway qui offre des «gourmet-bag» spéciaux et adaptés au transport de repas.

Non, le doggy bag n’est pas devenu obligatoire Depuis le début d’année, plusieurs articles de presse mentionnaient une prétendue obligation pour les établissements de restauration de proposer à la clientèle qui le désirerait un « doggy bag » pour emporter ses restes en fin de repas. Il n’en est rien et « il appartient toujours aux restaurateurs de décider s’ils souhaitent ou non mettre à disposition de leurs clients ces box anti-gaspi », comme le précise le Syndicat National des Hôteliers, Restaurateurs, Cafetiers et Traiteurs (Synhorcat). Seule modification réglementaire au 1er janvier : l’obligation pour les entreprises de restauration produisant plus de 10 tonnes de biodéchets (contre 20 précédemment) de trier ces déchets en vue de leur valorisation organique.

Le « Doggy Bag » une mesure anti-gaspi obligatoire depuis le 1er janvier 2016 | Arts & Gastronomie Depuis le 1er janvier 2016, le doggy bag est obligatoire en France pour les restaurants de plus de 180 couverts/jour_©Shutterstock_szefei Déjà monnaie courante aux États-Unis ou encore en Asie, le « doggy bag » fait une arrivée timide dans l’hexagone. Auparavant frileux à cette idée, les restaurateurs servant plus de 180 repas par jour devront désormais, depuis le 1er janvier 2016, proposer à leurs convives d’emporter leurs restes chez eux. Avec une moyenne de 125 g de restes consommables par repas, les français vont devoir prendre de bonnes résolutions. Si désormais les restaurateurs seront à bonne école, les convives devront eux aussi aller au-delà des clichés du client pingre ou trop glouton. Concernant le risque d’intoxication alimentaire, le Synhorcat, syndicat de restaurateurs, indique que dès lors que le plat est donné au client, la responsabilité du restaurateur s’arrête.

Les doggy bag recommandés à compter du 1er janvier 2016 ! | Actu-HCR Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi biodéchets du 12 juillet 2010 et à compter du 1er janvier 2016, les restaurants produisant plus de 10 tonnes de biodéchets par an sont vivement incités à proposer à leurs clients un doggy bag pour leur permettre de repartir avec leurs restes. Cela permet en effet de limiter le nombre de déchets à trier, tri sélectif qui devient en revanche obligatoire pour les établissements concernés. En pratique, seuls les établissements servant plus de 150 couverts par jour environ devraient être concernés. Contrairement à l’information lancée dans Le Parisien puis relayé par la presse ces derniers jours, les doggy bag ne seront donc pas obligatoires mais font l’objet d’une campagne de sensibilisation. Des partenariats avec des sociétés de recyclage ont ainsi été conclus par les syndicats spécialisés de la profession.

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