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Altermondialisme

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Slogans altermondialistes lors de la manifestation au Havre contre le sommet du G8 2011 à Deauville. Les mouvements altermondialistes regroupent divers acteurs qui, opposés à ce qu'ils appellent le « mondialisme néolibéral », jugé injuste et dangereux, revendiquent la mise en place d'une autre mondialisation. Leur diversité incite à parler davantage de mouvance que de mouvement au singulier. L'altermondialisme met en avant des valeurs comme la démocratie, la « justice économique et sociale », la protection de l'environnement et les droits humains. Hétérogène[1], le mouvement oscille entre un réformisme (par exemple à travers la revendication d'une Taxe Tobin[2] proposée par Attac) et un radicalisme[3], mais se rassemble autour du slogan « Un autre monde est possible » ou plus récemment, « D'autres mondes sont possibles »[4]. Historique et structure[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code]

Alter-globalization Alter-globalization slogans during the protests in Le Havre against the 37th G8 summit in Deauville, France Alter-globalization (also known as alternative globalization, alter-mundialization—from the French "alter-mondialisation"—or the global justice movement) is the name of a social movement whose proponents support global cooperation and interaction, but oppose what they describe as the negative effects of economic globalization, feeling that it often works to the detriment of, or does not adequately promote, human values such as environmental and climate protection, economic justice, labor protection, protection of indigenous cultures, peace and civil liberties. Etymology[edit] The term was coined against accusations of nationalism by neoliberal proponents of globalization, meaning a support of both humanism and universal values but a rejection of the Washington consensus and similar neoliberal policies. History[edit] The period of European colonialism[edit] Groups[edit] See also[edit]

Bernard Charbonneau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Toute son œuvre est marquée par l'idée que « le lien qui attache l'individu à la société est tellement puissant que, même dans la soi-disant “société des individus”, ces derniers sont si peu capables de prendre leurs distances avec les entraînements collectifs que, spontanément, ils consentent à l'anéantissement de ce à quoi ils tiennent le plus : la liberté. »[1] Durant les années 1930, il dénonce la dictature de l'économie et du développement[2] et s'impose comme pionnier de l'écologie politique [3]. Se méfiant toutefois de l'écologie partidaire, il propose de concevoir une forme d'organisation de la société, radicalement différente des idéologies du XXe siècle, solidement ancrée sur l'expérience personnelle. Bernard Charbonneau est par ailleurs le père de Simon Charbonneau, universitaire, spécialiste de l'environnement[4] et militant associatif. Biographie[modifier | modifier le code] Engagement[modifier | modifier le code]

Green Code | Solutions de trajets éco-responsables Chronologie de l'altermondialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article établit une chronologie de l'altermondialisme, de ses origines à aujourd'hui. Les oppositions à la mondialisation telle qu'elle se présente aujourd'hui semblent démarrer dans les années 1980 dans les pays du Sud avec la lutte contre la dette du Tiers-monde, et dans les pays du Nord, avec la recherche de nouvelles alternatives à la croissance et à la consommation énergivores. Dans les années 1990, commencent à se faire jour des mobilisations internationales, qui ne commenceront à être connues et médiatisées qu'à partir de la mobilisation contre l'OMC à Seattle. Pour les mouvements sociaux, il y a vraiment un avant et un après Seattle. Le mouvement se reconnait et, est reconnu comme altermondialiste. Rappel : quelques repères historiques[modifier | modifier le code] Les années 1990[modifier | modifier le code] 1992[modifier | modifier le code] 1993[modifier | modifier le code] 1994[modifier | modifier le code]

Luddisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation figurée du chef des luddites (mai 1812). Le luddisme est, selon l'expression de l'historien Edward P. Thompson, un « conflit industriel violent »[1] qui a opposé dans les années 1811-1812 des artisans – tondeurs et tricoteurs sur métiers à bras du West Riding, du Lancashire du sud et d'une partie du Leicestershire et du Derbyshire – aux employeurs et manufacturiers qui favorisaient l'emploi de machines (métiers à tisser notamment) dans le travail de la laine et du coton[2]. Le mot[modifier | modifier le code] Le terme trouve son origine dans le nom d'un ouvrier anglais, John ou Ned Ludd (parfois appelé « Captain Ludd », « King Ludd » ou « General Ludd »), qui aurait détruit deux métiers à tisser en 1780. Le terme « luddisme » est parfois utilisé pour désigner ceux qui s'opposent aux nouvelles technologies ou critiquent celles-ci (on parle même de « néo-luddisme »). Origine du mouvement[modifier | modifier le code] ↑ Edward P.

Résilience (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arbre qui pourrait être perçu comme un symbole de résilience : sa cime a été coupée, et néanmoins il vit et se déploie Du verbe latin resilio, ire, littéralement « sauter en arrière », d'où « rebondir, résister » (au choc, à la déformation). Les premières publications dans le domaine de la psychologie datent de 1939-1945. Werner et Smith, deux psychologues scolaires américaines à Hawaï, travaillent avec des enfants à risque psychopathologique, condamnés à présenter des troubles. À l'occasion d'un suivi effectué pendant trente ans, elles notent qu'un certain nombre d'entre eux « s'en sortent » grâce à des qualités individuelles ou des opportunités de l’environnement[réf. nécessaire]. La notion de résilience s'oppose parfois à la notion de « coping » (Paulhan & al., 1995) (en anglais to cope = se débrouiller, s'en sortir). La résilience serait le résultat de multiples processus qui viennent interrompre des trajectoires négatives.

Liste de médias de l'altermondialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article sur les médias de l'altermondialisme recense les médias alternatifs altermondialistes ou principalement consacrés à l'altermondialisme et contient également des références de documents, dossiers, textes, vidéos, audios utiles pour l'analyse du mouvement altermondialiste ou de l'altermondialisation. Elle complète la bibliographie de l'altermondialisation qui elle ne reprend que les livres publiés. Rôle des médias[modifier | modifier le code] Le rôle des médias est très important dans l'histoire du mouvement altermondialiste : en France, c'est en décembre 1997 Le Monde diplomatique dans lequel son directeur, Ignacio Ramonet, publie un éditorial intitulé Désarmer les marchés[1], qui suscite des milliers de réponses de lecteurs qui permettront la création de l'organisation Attac. Médias de l'altermondialisme[modifier | modifier le code] Presse écrite altermondialiste[modifier | modifier le code] Radio[modifier | modifier le code]

Guy Debord Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Debord. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et contexte historique et culturel[modifier | modifier le code] Très tôt, Guy Debord perd son père. Le mouvement populaire est amené dans l’impasse de la Seconde Guerre mondiale, et, à ses 17 ans, tous les événements fondateurs de ce qu’il appellera La Société du spectacle sont en place : la généralisation de la technologie, l'espionnage généralisé, les camps, Hiroshima/Nagasaki, la collaboration de classe du PCF avec la bourgeoisie, l’affrontement « spectaculaire » Est/Ouest, et surtout la reconstruction à crédit de l’Europe. En 1951-1952, selon les propres mots de Debord, « jamais… le champ de bataille n'avait été aussi vide[5] ». D’autres, cependant, refusaient ce partage. Le mouvement lettriste[modifier | modifier le code] Les débuts de l'Internationale situationniste[modifier | modifier le code] Les années de réalisation.

mouvement utopia Forum social mondial Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FSM. Le Forum social mondial (ou FSM) est un forum international ayant pour but de faire se rencontrer des organisations citoyennes du monde entier sensibles à la cause altermondialiste (« Un autre monde est possible »). La première édition du FSM s'est tenue en 2001 à Porto Alegre au Brésil. l'opposition à l'ordre « néo-libéral » caractérisant la mondialisation actuelle,l'ouverture à tous les courants idéologiques pour les projets alternatifs,l'absence des partis politiques en tant que tels. Les forums sociaux ne délivrent pas de déclaration finale, mais sont des espaces ouverts de débat d'idées et d'élaboration de projets. Historique[modifier | modifier le code] Le forum de Porto Alegre en 2001[modifier | modifier le code] La première édition du FSM s'est tenue du 25 au 30 janvier 2001 à Porto Alegre, au Brésil. Le forum de Porto Alegre en 2002[modifier | modifier le code]

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