
Monnaie permanente Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une monnaie permanente est une monnaie dont la contrepartie (l'actif monétisé) est permanente. Elle ne peut être détruite[1] et résulte de la création monétaire au même titre que la monnaie d'endettement. Cette création monétaire a différentes appellations selon les économistes. Appellations[modifier | modifier le code] Le terme « monnaie permanente » est utilisé par Gabriel Galand[2] et Pierre Aunac[3]. Finalité[modifier | modifier le code] Les économistes qui préconisent la création de monnaie permanente le font généralement soit pour remplir des objectifs difficilement atteignables avec de la monnaie d'endettement, soit pour financer une relance rapide en cas de crise. Les investissements à « rentabilité lente, mais de très longue durée... n'intéressent que très modérément les banques commerciales et les marchés financiers[6]. » Jean de la Salle cite parmi eux les logements insuffisants, le réseau ferré, les voies navigables, etc[7].
La Bourse au plus haut, l’économie au plus bas Le découplage total entre la finance et l’économie réelle, au sens où la première fait d’autant plus plonger la seconde qu’elle se porte (apparemment) à merveille, a rarement eu une illustration aussi éclatante qu’aujourd’hui. La récession s’installe en Europe, et les bourses européennes sont en excellente forme, sans parler du Dow Jones qui bat tous ses records historiques. Voici les graphiques du CAC 40 puis du Dow Jones depuis quinze ans (source : suivis du graphique des taux de croissance (OCDE d’après Eurostat) depuis le début 2011 pour la zone euro et pour les États-Unis (croissance par rapport au trimestre précédent). Même quand on a des doutes sur la fiabilité et la précision de ces derniers chiffres, ce qui est mon cas, le plongeon de l’activité, également reflété par la progression du taux de chômage dans la zone euro, est évident. On peut cliquer sur les graphiques pour les agrandir.
Le 'wir', une drôle de monnaie septuagénaire - SWI swissinfo.ch Elle permet aujourd’hui à plus de 60'000 PME helvétiques d’obtenir du crédit à bon compte tout en développant leur clientèle. Un bon cinquième des petites et moyennes entreprises (PME) helvétiques font des enfants dans le dos du franc suisse. Elles paient leurs fournisseurs, leur charges et leurs investissements en wirs. Au moins partiellement. L’an dernier, le chiffre d’affaires cumulé réalisé en wirs uniquement a atteint l’équivalent de 1,7 milliard de francs. Très concrètement, la galaxie wir est un système monétaire privé, travaillant en circuit fermé. Au sommet du système: la banque coopérative WIR, basée à Bâle et présente dans plusieurs villes du pays. La banque WIR gère le trafic des paiements des participants au système. C’est en effet à travers ses crédits aux PME que la banque injecte les wirs échangés ensuite par les participants au système. «Sur le plan théorique, poursuit l’économiste, la banque WIR s’inscrit dans un fonctionnement courant. Petit retour en arrière. Liens
De Sarkozy à Hollande les ROTHSCHILD incontournables - La banque Rothschild conseille les grandes entreprises dans leurs grandes opérations de rachat ou d’acquisition. Elle conseille aussi l’Etat dans les mouvements de capitaux. Jouissant d’une autorité incontestée à droite comme à gauche, elle entretient des réseaux d’influence économiques et politiques avec les plus hautes sphères de la finance. "Les gouvernements passent, les Rothschild restent" : c’est ainsi que Martine Orange caractérise la puissance de cette banque. Rothschild : enquête sur une banque au cœur du pouvoir Au lendemain du 6 mai 2012, un jeune homme de 34 ans fait son entrée à l’Élysée. Emmanuel Macron Emmanuel Macron a choisi son bureau : celui de François Pérol, cet ami de Nicolas Sarkozy, qui fut lui aussi secrétaire général adjoint de l’Élysée avant de prendre les commandes dans des conditions contestées du groupe Banques populaires-Caisses d’épargne. François Pérol et Sarkozy Ainsi passent les hommes, les partis et les pouvoirs… et demeure la banque Rothschild.
Community Currencies in Action Un pas de plus vers le précipice La zone Euro, sous l’effet conjugué des politiques d’austérité, s’enfonce dans la crise. Pourtant, jamais les débats sur la politique économique n’ont été aussi intenses. Il n’en reste pas moins qu’ils se heurtent à un imaginaire des dirigeants politiques, tant en Allemagne qu’en France ou dans les autres pays, qui reste profondément structuré par le discours austéritaire. Le chômage a donc atteint récemment les 12% de la population active, mais avec des pointes à plus de 25% en Espagne et en Grèce. Graphique 1 Source: INSEE, Consommation des ménages et dépenses pour acquisition de biens immobiliers En effet, deuxième pays de la zone Euro, la France, par la vigueur de sa consommation, avait jusqu’à ces derniers mois évité le pire pour la zone Euro. Une politique qui conduit l’Europe dans une impasse. L’Allemagne a d’ores et déjà des réticences importantes sur l’Union bancaire, qu’elle avait acceptée à contre-cœur à l’automne 2012. La source de la politique austéritaire. Tableau 1
Monnaie Libre n°46 Yoland Bresson, EuroFranc, RdB, Bitcoin et OpenUDC Yoland Bresson revient dans Monnaie Libre ! Dans la première partie on rappelle les grands principes de sa théorie de la Valeur Temps qui démontre le Revenu de Base, mais aussi la Théorie Relative de la Monnaie qu’il a préfacée et qui aboutit à un résultat similaire par une autre voie. Yoland nous explique ensuite les grandes lignes de « l’EuroFranc » pour sortir l’euro de l’impasse actuelle, une approche de bi-monnaie qui serait une voie médiane entre le tout euro et la sortie de l’euro. Et enfin, dans une dernière partie, Stéphane répond à des questions de Yoland sur le développement des monnaies numériques telles que Bitcoin ou OpenUDC, tant au niveau économique que théorique et pratique. Yoland Bresson cc-by-sa Monnaie Libre
La France peut-elle désormais imprimer de la monnaie de façon illimitée ? Les données économiques de la France sont inquiétantes, et son gouvernement est empêtré dans une grave crise politique qui risque de saper sa crédibilité alors que le pays a désespérément besoin de réformes. Comment expliquer alors le récent effondrement des taux d’intérêts sur les obligations à 10 ans (OAT) ? Selon plusieurs medias, pas de doute : la Banque Centrale Européenne (BCE) a donné carte blanche à la France pour imprimer de la monnaie de façon presque illimitée. C’est ce que croit l’économiste néo-keynésien américain lauréat du Prix Nobel d’Economie, Paul Krugman. Ceci signifie qu’en termes financiers, la France a rejoint le groupe des pays avancés qui battent leur propre monnaie et qui ne peuvent donc tomber à court d’argent, un club dont tous les membres jouissent de coûts d’emprunt très bas, plus ou moins indépendamment de leurs dettes et déficits ». (Graphique des taux sur OAT françaises à 10 ans. Sources : Express.be et E&R Like this: J'aime chargement…
Banque WIR Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Banque WIR La Banque WIR est une institution bancaire suisse qui émet sa propre monnaie pour faciliter les échanges économiques entre ses membres. La banque WIR est un organisme sans but lucratif. Depuis la crise économique mondiale des années 2008 et suivantes, « le franc WIR n’intéresse pas forcément les PME suisses parce que les crédits en francs suisses sont [en 2012] octroyés à des taux d’intérêt historiquement bas. Historique[modifier | modifier le code] La Banque WIR a été fondée en 1934. Elle compte désormais plus de 60 000 PME parmi ses partenaires qui pratiquent un système de paiement sans numéraire. Actuellement en Suisse, une PME sur 5 utilise le WIR[5]. Liens externes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Margrit Kennedy, Libérer l'argent de l'inflation et des taux d'intérêts, éditions Vivez Soleil, 1993, (ISBN 2-88058-161-3) Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Stodder, James.
Maintenance Mode Samedi, les ministres des Finances de l’UE ne sont pas parvenus à se mettre d’accord pour garantir la survie des banques en difficultés au terme de 20 heures de discussion. Mercredi, ils poursuivront les débats pour tenter de parvenir à une solution avant le prochain sommet européen de jeudi et vendredi. Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble a proposé que les actionnaires, les créanciers, les déposants et les titulaires de comptes subissent une ponction de 8%, affirmant que cette solution demeurait plus favorable pour eux, car leurs pertes seraient beaucoup plus importantes si les banques faisaient faillite. Son collègue français Pierre Moscovici juge que cette mesure va trop loin. Comme les ministres des Finances de la Grande-Bretagne et de la Suède, il craint qu’elle ne provoque une ruée bancaire massive, et il préfère que les pays conservent une plus grande liberté pour décider ce qui doit être fait au moment où ils seront confrontés à cette question. Source : express.be
Les scenarii de dissolution de l'euro Share on facebookShare on twitterShare on emailShare on linkedinShare on viadeoShare on google_plusone_shareShare on scoopitShare on wordpressMore Sharing Services351 Note introductive de la Fondation Res Publica La Fondation Res Publica conduit, depuis 2008, un programme de recherche exigeant sur la crise économique et financière internationale, et plus particulièrement sur la crise de la zone Euro. Plusieurs colloques et séminaires ont été organisés par la Fondation, et de nombreuses notes publiées sur ce thème. C’est toujours dans la perspective d’irriguer le débat et d’éclairer les politiques publiques à partir d’une pensée républicaine moderne que s’inscrit la publication de cette nouvelle étude réalisée par les économistes Jacques Sapir et Philippe Murer. La situation économique et sociale et les défis qui se dressent face à la France et face à l’Europe nécessitent en effet une réflexion prospective pluraliste. Les scenarii de dissolution de l'euro by Fondation Res Publica
Offshore Leaks: Des données secrètes sont en mains de journalistes - Économie Offshore Leaks Une équipe du «Matin Dimanche» et de la «SonntagsZeitung» a eu accès à la plus grande source de données économiques confidentielles de tous les temps: plus de 2,5 millions de documents concernant des domiciliations offshore transmis à un réseau de journalistes du monde entier. Les îles Caïmans sont situées à l'ouest de la mer des Caraïbes.Image: dr Gunter Sachs. Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Le Consortium international des journalistes d’investigation ICIJ, basé à Washington, dispose de plus de 2,5 millions de documents concernant des sociétés offshore. Il y a plus d’un an, un paquet a été envoyé anonymement par la poste à une adresse en Australie. Depuis plusieurs mois, plus de quatre-vingts journalistes du monde entier travaillent sur cette gigantesque masse de données. 300 personnes sont concernées en Suisse Le cas Gunter Sachs
Jean-Marie Harribey » Blog Archive » To be or not to be... dans l'Euroland ? L’élection prochaine du parlement européen relance le débat sur l’euro et la construction européenne[1] : plusieurs livres[2] se positionnent de manière assez radicale, au vu de l’ampleur de la crise qui frappe peu ou prou la plupart des pays membres de l’Union européenne, qui sont au bord de la déflation, et aussi au vu du refus de leurs dirigeants de se défaire des dogmes qu’ils ont imposés : pacte budgétaire[3], règle d’or, maintien de la règle interdisant à la Banque centrale européenne de prêter directement aux États, mécanisme européen de stabilité fondé sur les emprunts auprès des marchés financiers. La question est désormais ouvertement posée : la sortie de l’Union économique et monétaire, voire de l’Union européenne, faciliterait-elle la résolution des problèmes économiques et sociaux dans lesquels nous sommes englués ? Nombre de voix, de tous bords, plaident en ce sens. Même Bernard Maris annonce qu’il « vire sa cuti ».[4] Il faut dire que le constat est sans appel.
Tiens tiens... Cap Gemini rachète Euriware, filiale d'Areva ? Petit décryptage. Tiens tiens, Cap Gemini rachète une filiale d'Areva. Cap Gemini ? Mais oui, vous savez, ce beau succès du CAC 40, fondé à Grenoble avec 7 personnes en 1967, et qui est aujourd'hui, entre autres "leader mondial en matière de systèmes informatiques appliqués aux réseaux et aux compteurs électriques intelligents". Ah, mais oui ! Les compteurs... Un autre élément pour comprendre, c'est qu'Areva voyait le cours de ses actions chuter, de 40 à 10 euros. Eh oui, le nucléaire continue de s'inscrire dans la logique boursière. Cap Gemini est aujourd'hui un groupe mondial qui compte 125.000 personnes dans 44 pays, avec un chiffre d'affaires de 10,3 milliards d'euros en 2012. Tout ceci est très mauvais signe. Voici le communiqué que nous avons rédigé pour le PG avec les camarades de la commission Écologie et ceux du Front des Luttes. Euriware / Cap Gemini : Salariés et sureté nucléaire jugés quantité négligeable ! Le Parti de Gauche soutient cette mobilisation.