
Comment faire travailler efficacement des élèves en groupe ? Faire le point 1.1 Pourquoi choisir le travail de groupe plutôt que le travail individuel ? 1.2 De quoi parle-t-on quand on dit groupe ? 1.3 Quelles peuvent être les réticences des enseignants à mettre en place des travaux en groupes ? 1.4 Comment contourner les dérives du travail collectif ? 1.5 Quelles sortes de groupes ? 2.1 Que dit Piaget à propos de la coopération ? 2.2 Quel est le point de vue de Vygotski sur les relations pédagogiques ? 2.3 Comment Bruner décrit-il l'étayage dans les relations pédagogiques ? 2.4 Que dit Wallon du groupe social ? 3.1 Qu'est l'apprentissage social ? 3.2 Que nomme-t-on conflit socio-cognitif ? 3.3 Quelle théorie du développement social de l'intelligence est utilisée ? Principes et expériences 4.1 Comment définir le tutorat ? 4.2 Comment l'utiliser, quand et pourquoi ? 4.3 De quels différents dispositifs tutoraux dispose-t-on ? 4.4 Comment apparier les acteurs ? 4.5 Qu'attend-on d'un tuteur ? 4.6 Quels sont les inconvénients et dérives possibles ?
10 questions à poser aux enfants et adolescents pour apprendre à apprendre (métacognition) Commencer très tôt à dire ce qu’on a fait, ce qu’on fait, ce qu’on va faire (la métacognition) est un incontournable de la prévention de l’échec scolaire. La métacognition recouvre plusieurs aspects : la connaissance qu’on peut avoir de processus cognitifs, d’opérations mentales nécessaires pour accomplir une tâche ;la capacité à utiliser cette connaissance lors de l’accomplissement de la tâche La métacognition est plus difficile avec des élèves qui maîtrisent mal la langue (parlée et écrite), qui ont des lacunes scolaires et qui sont peu efficaces dans leur travail. Jean-Michel ZAKHARTCHOUK, auteur de Apprendre à apprendre, propose plusieurs conditions pour amener les élèves à pratiquer la métacognition en classe : ……………………………………….. de Jean-Michel ZAKHARTCHOUK (éditions Réseau Canopé) Articles similaires Pédagogie, neurosciences, psychologie positive, métacognition : 10 questions pour développer les apprentissages des enfants 22 septembre 2016 Dans "Ecole et apprentissage" 12 avril 2016
Organiser la coopération dans sa classe Il y a les treize desserts de Noël, et il y a ces treize fiches libres de droits réalisées par Pierre Cieutat, Sylvain Connac, Cyril Lascassies et Cécile Morzadec, dans le cadre d’un atelier sur la coopération entre élèves des Rencontres du CRAP-Cahiers pédagogiques en aout 2017. Il s’agissait dans cet atelier de faire vivre aux participants des formes de travail organisées en classes coopératives. Pour susciter l’aide, l’entraide et le tutorat, un plan de travail a été adossé à une partie des échanges. Chaque participant a alors pu choisir d’étudier, seul ou avec d’autres, un item correspondant à ses besoins, intérêts ou désirs. Les mots de la coopération Fiche 0 - Les mots de la coopération Travail en groupe Fiche 1 - Travail en groupe L’aide et le tutorat Fiche 2 - L’aide et le tutorat Les conseils coopératifs Fiche 3 - Les conseils coopératifs Les démarches de projet Fiche 4 - Les démarches de projet Les jeux coopératifs Fiche 5 - Les jeux coopératifs Gestion de la classe Les plans de travail
La motivation des élèves : le rôle des facteurs sociaux 1Les pays d’Asie du Sud-est et d’Europe de l’Est obtiennent souvent des résultats élevés dans les études comparées de performance scolaire. Pour tenter d’expliquer ce phénomène, on a longtemps mis l’accent sur les pratiques pédagogiques et en particulier sur le caractère interactif de l’enseignement en classe entière. Cependant, ces dernières années, la croyance inconditionnelle dans l’effet des pratiques pédagogiques a reculé alors même qu’on reconnaissait de plus en plus l’importance de l’arrière-plan contextuel. 2En visitant la Russie pour la première fois, peu de temps après la chute de l’Union soviétique, j’ai été immédiatement frappé par le degré très élevé de motivation et d’implication des élèves ainsi que par leur haut niveau de réussite scolaire. Réussite sociale et sportive aux États-Unis « Habituellement, nous n’avions pas de devoirs à faire, sauf s’il s’agissait d’un projet ou d’une rédaction, et nous avions une étude de 45 minutes. Culture et éducation en Russie
Kit jeux coopératifs / Apprendre par le jeu Canopé Définition Les jeux coopératifs (ou de coopération) sont des jeux dans lesquels les joueurs jouent collectivement, sans compétition, afin de poursuivre un objectif commun. Soit l’ensemble des joueurs gagnent s’ils atteignent le but à atteindre, soit ils perdent tous ensemble si ce n’est pas le cas. Ils se définissent en opposition aux jeux compétitifs dans lesquels l’objectif d’un joueur se réalise au détriment des autres joueurs. Les jeux coopératifs peuvent prendre la forme de jeux de plein air, jeux de rôles, escape games, jeux vidéo, etc. Coopération Les travaux de Sylvain Connac permettent d’identifier et de comprendre le lexique associé à la coopération en situation scolaire. 1-Aide (entre élèves) : Situation coopérative durant laquelle un élève, qui se reconnaît capable, vient apporter ses connaissances et ses compétences à un élève qui en a exprimé le besoin. 4-Autonomie : Capacité d’une personne à se diriger elle-même dans le monde. Source : Connac, S., Meirieu, Ph.(2017).
mieux-apprendre - Bienvenue dans l'Univers du mieux-apprendre Les 7 profils d'apprentissage Résumé et avis - Accueil » Développement Personnel » Les 7 profils d’apprentissage Les 7 profils d’apprentissage Bienvenue sur Des Livres Pour Changer de Vie ! Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute recevoir mon livre "Vivre la vie de vos rêves avec votre blog" : cliquez ici pour recevoir le livre gratuitement ! 🙂 Phrase résumée des ” 7 profils d’apprentissage”: Nous apprenons tous de façons différentes, et ce livre propose un outil qui permettra à chacun de mieux se connaître pour mieux apprendre, mieux se former et mieux enseigner. Par Jean-François Michel, 2015 (deuxième édition, troisième tirage), 179 pages Note : Cette chronique est une chronique invitée écrite par Anne-Estelle du blog Plaisir d’apprendre. Chronique et résumé du livre “Les 7 profils d’apprentissage” Chacun a sa propre façon d’apprendre, sa propre stratégie pour se motiver et enregistrer l’information, et son propre comportement. Chapitre 1 : A chacun sa façon d’apprendre: Mais le plaisir ne suffit pas. Attention ! 1. 2. 3. 4.
Apprendre avec les pédagogies coopératives. Démarches et outils pour Quel est son propos ? Il s’agit de mettre en mains de tout enseignant débutant ou expérimenté la possibilité de s’insérer progressivement dans une révolution pédagogique qui va faire de l’élève, ou plus exactement des élèves, j’y reviendrai, les acteurs principaux de l’apprentissage. Le temps serait-il revenu pour les enseignants de marquer une indifférence aux acquis en termes de connaissances et de compétences ? De s’adonner aux errances de l’autonomie utilisée comme un moyen et non comme un but à atteindre ? Il n’en est rien et il devient vite évident que Sylvain Connac se méfie d’une lecture trop angélique des outils des pédagogies Freinet et institutionnelle. Richard Étienne, professeur de sciences de l’éducation à l’université Montpellier III.rietienne@wanadoo.fr Entretien avec Sylvain Connac Dans l’ouvrage, il est question du « maître comme institution zéro ». Vous ne parlez guère des manuels, sauf pour rappeler que Célestin Freinet en souhaitait la disparition.
La taxonomie de Bloom pour éviter l'illusion de maîtrise chez les étudiants et évaluer les niveaux de maîtrise des élèves La taxonomie de Bloom permet la classification des niveaux d’acquisition des connaissances. Elle permet d’identifier l’activité intellectuelle sollicitée chez un apprenant quand on l’évalue sur une compétence. La taxonomie classe l’acte mental en plusieurs niveaux de complexité, du plus simple au plus complexe sur des critères génériques (applicables à n’importe quelle discipline et n’importe quel niveau des apprenants). En 2002, deux professeurs américains, Anderson et Krathwohl, ont proposé une révision de la taxonomie de Bloom pour intégrer les avancées de la psychologie et des sciences cognitives. La nouvelle taxonomie de Bloom est composée de six niveaux : se rappelercomprendreappliqueranalyser évaluer créer 1.Se rappeler L’apprenant est capable de restituer ce qu’il a appris précédemment. 2.Comprendre L’apprenant est capable de tisser des liens explicites entre ce qu’il a appris et un nouvel apprentissage ou un exercice déjà pratiqué. 3.Appliquer 4.Analyser 5.Evaluer 6.Créer Sources : Related
Problem loading page Je remonte cet article grâce à Eowin ...pour la piqûre de rappel :) :) Bon mercredi Quand je dis autonomie j’entends capacité à prendre en charge son apprentissage ! Petite phrase et tout un programme ! Vous entendez souvent : « Maîtresse, ça veut dire quoi ? « Maîtresse j’ai fini le 1 » « Maîtresse je prends un fluo pour surligner ? « Maîîîîîîtressssssssssssssssssssssssssssssssse !!!! Les élèves qui posent des questions sans arrêt sont tributaires de leur enseignant. Caractéristiques Les notions d'autonomie et d'apprendre à apprendre sont liées, et selon les auteurs se confondent (est autonome l'étudiant qui sait apprendre, pour Holec) ou se distinguent (apprendre à apprendre, c'est se préparer à être autonome, pour Portine). Pour savoir apprendre il faut d’abord vouloir apprendre : en avoir la capacité et la possibilité. Selon Sylvie Lay il y a deux catégories de difficultés à surmonter pour les élèves: - Un « rapport au savoir » qui n’est pas conforme aux attentes de l’institution scolaire
Apprentis citoyens : Former à la coopération et à la participation de 5 à 14ans De BoeckClaudine Leleux et Chloé Rocourt2015 Éduquer à la citoyenneté par l'acquisition de compétences suppose une méthodologie spécifique. Dans Hiérarchiser les valeurs et les normes, cette éducation avait été abordée sous l'angle de la moralité. Un chapitre très important s'attache aussi à repenser la question de l'autorité et de la sanction éducatives aujourd'hui. Comme dans les autres volumes de la collection, la démarche théorique est illustrée par des séquences conçues pour des élèves de 5 à 14 ans qui sont le fruit d'une activité théorique et pratique : préparées par les étudiants et discutées en formation initiale avant d'être données en classe et évaluées sur le terrain. Le lecteur trouvera le contenu et les intitulés de leçons dans la Table des matières en cliquant sur l'onglet à gauche.
Les 4 piliers de l’apprentissage d’après les neurosciences – Apprendre à éduquer D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. Comment les enfants apprennent-ils ? 1. L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? La tâche la plus important des enseignants est de canaliser et captiver, à chaque instant, l’attention de l’enfant.L’enseignant doit veiller à créer des matériaux attrayants mais qui ne distraient pas l’enfant de sa tâche principale, notamment en ne créant pas de double tâche. L’ “effet maître” consiste à bien orienter l’attention des apprenants et donc à bien définir la tâche en question. Il est possible d’entraîner les enfants à rester concentré en présence d’une distraction, à savoir résister à un conflit interne. 2. 3. 4.