
Ifé - Le multi-agenda Info Le multi-agenda est un outil pour appréhender le travail enseignant dans sa complexité. Une modélisation plus fine des gestes d'étayage, au cœur du métier d'enseignant est développée à travers les postures enseignantes et les postures d'élèves. L’activité de l’enseignant consiste à mettre en travail un ensemble complexe de préoccupations. Un premier niveau de ces macro-catégories ou macro préoccupations a un caractère très générique. Outre la préoccupation centrale dans la leçon spécifique d’enseigner un contenu spécifique, nous en avons identifié dans les séances étudiées quatre autres : L’imbrication de ces préoccupations communes est constante.
Le dispositif "plus de maîtres que de classes" Le dispositif "plus de maîtres que de classes" a été instauré par la circulaire du 18 décembre 2012. La loi pour la refondation de l’École de la République du 8 juillet 2013 disposait qu’une partie des 7 000 emplois qu’elle prévoyait de créer lui serait consacrée. Le dispositif donne la possibilité d’affecter, sur la base d’un projet pédagogique, un enseignant supplémentaire dans une école ou un groupe scolaire. Plus de maîtres que de classes eNq9V9ty2jAQfc9XePxum0sLTseQaWnSMpNMaRKmfWOEvQZRYTm6cOnXVzZOwB2bBhH10V7N2Yt2zx4FV5slsVbAOKZJz266DduCJKQRTmY9e/x44/j2Vf8iWKAVOjzWdRuT7qVthQRx3rMzszsFlHD3593tZ1AAwOz+hRXQ6QJCUTonBSbuV8TndyjNzljBiuLIWoKY06hnp1Lkf62AC6bC6KeUCUQGSMCMsm3gFb9LR5qTdrfbaTcOrYGX4b7CAeY/KPvFUxTCiNEVjiCq9BIjwkHLQ7yORkjMh0lMK5G9tDXpvu90fN9LieROBM4SYcGAO08Sss+8gMC1vK+fsztWu5avWbsxB3aLkpm50g1oImAjsgrWVC/rEEw0Exjl/WUofJlVh4aIVBc/ZpPxgxYwg6cHYCsCR+oSYZ4StHUXPNX18V0C2z7kn5U+cNR76V0tH1PEYcxIJfhciJR/8Lz1eu2i0EkRw9yN2fN9e7pJGW0oNbRUMkUldeiLcMnNDrwiNJxEdM3fuJnVrCCGlBmY4m5DExNKxiARRvl+VFophhLBfJjcMNVq3+IY15CvYFIPPD24iDLyazZuLfzhYJdglQExhrYlXKJo392Rg20RSGZirsTBM1LhQ3UibHp24+X3Pocq4sgPvFQh/8gdF2HvLYG3y/TUdcVMUv2AykTUNK0m0WM+EJuiVTFwQ8GjBdrcw9OwGvejsqoohNNwmu/8jt/qXLb9Zqt7jmTIl6Kx0bs/YGFjTj7tdpdJ6YBq9m7M9GgjJ75jnOq39Vj7sEcr8XWXdXaDj0w9LYjC/6vGiSTEO60Aclqd/VkiRmoKGPNSQBVQjbUELsb3w6Ni52y1qJR6rVo8/aIU2msD/y9VrH6/nZ6XEh9ySnCIhHpKm5JQJvXtzlCJ++X6UXfF7SM2xtaDsrA05KeYouJt9raiT83EP9982TCcsZYLAWOoOL9pUq2DdzOhK7OvTwxzLx0DLxOy/Ys/dqA3lw==
Ifé-Les postures enseignantes Une posture est une structure pré-construite (schème) du « penser-dire-faire », qu’un sujet convoque en réponse à une situation ou à une tâche scolaire donnée. Les sujets peuvent changer de posture au cours de la tâche selon le sens nouveau qu’ils lui attribuent. La posture est donc à la fois du côté du sujet dans un contexte donné, mais aussi de l’objet et de la situation, ce qui rend la saisie difficile et interdit tout étiquetage des sujets. Les « postures d’étayage » permettent de rendre compte de la diversité des conduites de l’activité des élèves par les maîtres pendant la classe : Une posture de contrôle : elle vise à mettre en place un certain cadrage de la situation : par un pilotage serré de l’avancée des tâches, l’enseignant cherche à faire avancer tout le groupe en synchronie.
L'école primaire et la refondation - «Plus de maîtres que de classes» Comité national de suivi "plus de maîtres que de classes" Présidé par madame Marie-Danièle Campion, rectrice de l'académie de Clermont-Ferrand, le comité national de suivi est constitué d'enseignants exerçant dans le premier degré, de formateurs (conseillers pédagogiques et maîtres formateurs), de représentants des organisations syndicales, de chercheurs, de cadres de l'éducation nationale. L'Inspection générale de l'éducation nationale et la Direction de l'évaluation, de la performance et de la prospective (DEPP) apportent également leur expertise aux travaux du comité qui a pour mission d'accompagner la mise en oeuvre de ce dispositif. Consulter leRapport du comité national de suivi du dispositif "plus de maitres que de classes" remis le 29 septembre 2015 à la ministre. Prévenir la difficulté scolaire Prévoir les formes d'organisation les plus efficaces Des modalités d'intervention variées Mieux répondre aux besoins des élèves Organiser la mise en œuvre du dispositif Les écoles concernées
Respire - RESPIRE, le réseau social de l'innovation RESPIRE : qu'est-ce que c'est exactement ? Comme de nombreux autres réseaux sociaux, RESPIRE (réseau d'échange de savoirs professionnels en innovation, en recherche et en expérimentation) permet à tout membre : d'initier ou de participer à des discussions (tchat et forum) ;de créer des groupes de travail et d'en définir les outils et les règles d'intégration ;d'accéder, de produire et de diffuser des informations, notamment sous forme de documents (vidéos, écrits etc.) ;d'inviter qui il souhaite à rejoindre le réseau. Cet outil donne la possibilité de fusionner en un lieu unique les pratiques de veille personnelle et veille partagée, d'engager un travail collaboratif et de créer des communautés de pratiques. Il introduit ou facilite le réseautage, la formation et la co-formation à distance. Un réseau social de l'innovation... pour quoi faire ? Le concept de RESPIRE et sa mise en oeuvre répondent à plusieurs objectifs : Comment s'inscrire ?
Ifé-Les postures élèves Chez les élèves, cinq postures traduisant l’engagement des élèves dans les tâches ont été identifiées. Les élèves les plus en réussite disposent d’une gamme plus variés de postures et savent en changer devant la difficulté : Bucheton, D., Soulé, Y. (2009). Les gestes professionnels et le jeu des postures de l’enseignant dans la classe : un multi-agenda de préoccupations enchâssées. Plus de maîtres que de classes : Agir sur les difficultés des élèves ou celles de l’Ecole ? 30-07-2014 - Comment réduire l’échec scolaire des enfants des quartiers populaires ? C’est cette question qu’aborde le rapport de l’Inspection générale rédigé sous la direction d’Yves Cristofari et de Rémy Sueur, sur le dispositif « Plus de maîtres que de classes » (PDM). Pivot de la refondation de l’Ecole, le dispositif PDM souffre, selon le rapport, de difficultés de mise en place sur le terrain. Un pilier de la refondation Pilier d’une refondation qui pointe l’urgence d’un effort pédagogique dans l’enseignement primaire, le dispositif PDM veut, selon la circulaire de 2012 qui l’a créé, « mieux répondre aux difficultés rencontrées par les élèves et de les aider à effectuer leurs apprentissages fondamentaux, indispensables à une scolarité réussie… Il s'agit de prévenir la difficulté scolaire, tout au long de la scolarité primaire, et d'y remédier si elle n'a pu être évitée. Une mise en place bureaucratique Le dispositif PDM s’insère en plus des autres aides existantes. François Jarraud
Maitres surnuméraires : à quelles conditions ? La publication de la circulaire sur les "maîtres surnuméraires" dans les écoles donne chair à une question importante pour la refondation de l'Education prioritaire : comment faire de cette proposition un levier pour le travail collectif, au service de la réussite de tous ? On en parle beaucoup, mais ce n’est pas si nouveau : il y a presque dix ans, un intéressant rapport de la DEPP tentait d’évaluer l’impact des maîtres surnuméraires (MS) dans les écoles, mis en place dans le cadre de la déclinaison des politiques d’éducation prioritaires sur les territoires. L’étude concluait notamment qu’on attendait beaucoup de lui, par son effet d’entrainement, « rassembleur, expérimenté, volontaire, voire formateur », référent, sécurisant. L’expérience du Centre Alain-Savary Le travail mené avec plusieurs académies par le Centre Alain-Savary conforte ces conclusions : si le travail avec les MS est jugé légitime par les équipes, il y a parfois loin de la coupe aux lèvres. Articuler les métiers
Le co-enseignement et si vous vous laissiez tenter? Bonjour à tous, Aujourd »hui nous allons parler de co-enseignement. La pratique se développe certes,mais reste sporadique dans bien des académies. Pourtant ses bénéfices pour les élèves comme pour les enseignants sont multiples. Or le plus souvent on n »ose pas ou peu, on se freine par les contraintes qu »une telle pratique impose. 1. Il s »agit d »intervenir au sein d »une même classe à deux enseignants. Il s »agit en effet de tout mutualiser qu »il s »agisse des élèves, des moyens, des locaux, du matériel. Co-enseigner signifie que deux adultes ayant une mission d »enseignement interviennent dans un même espace, un même temps, en direction des mêmes élèves. 2. Ils sont multiples. Tout d »abord le co-enseignement permet d »individualiser et différencier les apprentissages beaucoup plus efficacement. Deuxième avantage certain: l »implication des élèves.Chacun trouve dans cette pratique une reconnaissance de sa personne, de son niveau d »apprentissage, se sent valoriser et aider. 3.
10 mots pour commencer à entrer dans ce dispositif "Plus de maitres que de classes" Plus de maitres que de classes, c'est changer l'organisation, développer la coopération, accompagner de plus près les élèves, conduire l'équipe différement; tout cela se retrouve dans les mots d'acteurs, comme ici dans cette série. Nous consacrons d'autres entretiens prochainement pour les équipes du 1er degré. Dix clips video pour dix mots de l'Ecole; à partir de l'analyse des actions et dispositifs innovants ou expérimentaux en France, dix mots jaillissent pour illustrer en actes et en paroles d'acteurs les changements en cours dans l'Ecole aujourd'hui. -et puis... le 11ème mot à la discrétion des personnes (et de nos élèves). Une production de la DGESCO-DRDIE (Département Recherche et Développement en Innovation et en Expérimentation), 2011 - concept et interview: François Muller, réalisation Thierry Foulkes. Dix clips video pour dix mots de l'Ecole; à partir de l'analyse des actions et dispositifs innovants ou expérimentaux en France, dix mots jaillissent pour illustrer en actes e…
co-intervention-formation de formateurs EP- Deuxième journée de formation des formateurs académiques ce vendredi 14 octobre 2016 au collège Arc de Meyran à Aix-en-Provence. Animé par deux chercheurs en science de l’éducation, Patrick Picard de l’Institut Français de l’Education (IFé) à Lyon et Christine Félix d’Aix-Marseille Université (AMU), ce temps de réflexion était destiné aux formateurs de l’académie. La phrase d’accroche de la journée donnait le ton sur les échanges qui allaient suivre : « Si l’enfer c’est les autres, intervenir à deux, … C’est quoi ? ». Le but en effet était bien de donner quelques clés aux formateurs pour accompagner au mieux les équipes sur le terrain, sur ces questions prégnantes de la co intervention. La matinée commençait par quelques rappels, notamment sur les temps de conception d’une formation. Prévoir (clarifier la demande > commande, moyens, négociable et non-négociable > et surtout la question : c’est quoi le problème ?) Cela passe par un projet défini à la base.