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Google Drive

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Il existe une différence importante et non des moindres entre Dropbox et Google Drive.Google Drive, va vous proposer non seulement un espace de stockage (5 Go) sur ses serveurs, mais aussi des outils Full Web d’édition de texte, de présentation, de dessin, de formulaires.Vous disposez en ligne des mêmes outils que ceux de votre suite bureautique installés en local sur votre poste de travail mais bien davantage...Jugez plutôt : Les Googles Documents créés par l’intermédiaire de Google Drive peuvent se modifier dans une utilisation simultanée par plusieurs personnes connectées. Les formulaires Google prévus au départ comme des outils de planification (Ex. : réunions) ou de prospection (Ex. : Enquêtes, sondages, questionnaires ...) peuvent aisément se détourner en QCM, quiz et autres fiches évaluatives que nous utilisons volontiers dans nos séquences pédagogiques. Les nombreux "possibles pédagogiques" qu’offrent ce travail en ligne ne font aucun doute. Related:  INFORMATIQUE

Sommes-nous câblés pour argumenter Par Rémi Sussan le 27/06/12 | 14 commentaires | 2,483 lectures | Impression Cette irrationalité inhérente à l’esprit humain, dont nous avons déjà présenté plusieurs aspects dans nos colonnes, d’où vient-elle ? Si la raison a été réellement développée pour nous permettre de résoudre des problèmes complexes, elle aurait dû se montrer plus efficace. C’est le lièvre que soulève un article du New Scientist (réservé aux abonnés, mais ses sources sont disponibles en ligne). La réponse la plus évidente est que la raison n’a pas pour but de trouver des solutions. Le raisonnement sert-il d’abord à convaincre ? Fondamentalement, nous explique-t-on, l’homme est un animal social dont l’intelligence a évolué au sein d’un groupe. Afin de l’emporter dans le débat, certains biais propres à notre fonctionnement mental se seraient particulièrement développés. Un autre exemple cité par le New Scientist est la façon dont nous sommes sensibles à la manière dont les arguments sont présentés. Des biais innés ?

MindMup - Working with Google Drive Google Drive is a cloud storage from Google that you can use to store and manage private maps, or collaborate with colleagues and friends in a controlled environment. This page outlines the most important information about working with Google Drive in MindMup. For more information on Google Drive in general, and associated products, see the Google Drive support page. Prerequisites You will need a Google account to store files to Drive. Private Google accounts have access to Drive without any special requirements. MindMup does not need to know any particular details about your Google account and when working with Drive, the data passes from your browser to Drive directly, without going to our servers. Getting started The first time you try to save a map to Google Drive, or to open a map stored on Google Drive by someone else, MindMup will ask you to authorise access to your Drive. If you are not currently logged in to your Google account, Google might pop up a dialog asking you to log in.

La curation, un remède à l'infobésité ? Face à la surabondance d’information* et la difficulté inhérente d’en trouver de pertinentes lors d’une recherche, les usages changent. La curation*, pratique de partage de contenus entre individus, représente-t-elle un remède à l’infobésité* et aux limites des moteurs web classiques ? Définition Les anglophones utilisent le terme « curator », issu du latin « curare » (soigner), pour désigner un conservateur dans le domaine de l’art, c’est-à-dire celui qui sélectionne des œuvres en fonction du public d’une exposition ou d’un musée. Pour le Web, on parle plutôt de « content curator », autrement dit d’« organisateur de contenu » ou d’« éditeur de contenu », pour désigner l’internaute qui partage ses découvertes numériques. Il existe deux sortes de curation : automatique ou humaine. Différences entre curation et veille Curateurs et veilleurs opèrent de la même manière pour le choix des sources, de l’information et de son mode de diffusion de contenu pour un public visé. un public différent

Tutoriels Dropbox et Google Drive : le cloud computing au service de la pédagogie Le SCEREN-CRDP de l’Académie de Toulouse propose un dossier complet Le cloud computing au service de la pédagogie qui explore l’utilisation de Dropbox (offre d’appel gratuite de 2 Go de stockage en ligne) et Google Drive (5 Go de stockage en ligne). Que permettent ces 2 offres (comme bien d’autres) de cloud computing (informatique dans les nuages) : la notion de partage (de fichiers) et l’écriture à plusieurs mains tout comme des situations d’apprentissage qui permettent de passer de la coopération à la collaboration. Ce dossier permet de comprendre l’utilisation de Dropbox et Google Drive avec tutoriels pour des dispositifs pédagogiques pouvant être mis en place dans le cadre de l’apprendre que ce soit en formation, en initiation en EPN ou bien avec des activités menées dans le cadre scolaire ou professionnel. Dropbox au service de la pédagogie 1. Google Drive au service de la pédagogie 1. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Midi-Pyrénées

Des clics et des droits : le droit appliqué à l'image Avec l’explosion du numérique et les facilités d’écriture et d’édition sur le web (blogs, wikis, sites institutionnels ou commerciaux, plateformes de dépôt et d’échanges, réseaux sociaux), l’usage de l’image par les professionnels de l’information comme par les particuliers se développe à une vitesse accélérée. Et cela, bien souvent, dans l’ignorance – ou le mépris – des règles de droit qui s’appliquent à l’image. Le bref ouvrage de Michèle Battisti, publié dans une collection à visée essentiellement pratique, vient apporter des éclaircissements particulièrement utiles sur ces questions. Quand on rapproche les deux mots droit et image, comme les familiers de ces questions le savent, on évoque en fait deux sortes de droits très différents : d’une part, les droits de propriété intellectuelle appliqués à l’image, qualifiés ici de droit de l’image et, d’autre part, le droit à l’image, notion juridique plus récente, encore mal stabilisée et, de ce fait, d’un maniement très délicat.

Cloud computing au service de la pédagogie Le cloud computing au service de la pédagogie François POULHES, Chargé des TICE & de l’Ingénierie Éducative au CDDP de l’Aveyron propose un dossier complet Le cloud computing au service de la pédagogie Le site Web : qui explore l’utilisation de Dropbox (offre d’appel gratuite de 2 Go de stockage en ligne) Google Drive (5 Go de stockage en ligne) Framasoft documents : Le gros avantage des outils clouds Frama, c’est que contrairement à ceux de Google, ils ne sont raccordés ni à un service de stockage des données sur un serveur (les serveurs Google en l’occurrence) ni à une inscription, ni à l’ouverture d’un compte de messagerie . Que permettent ces 6 offres (comme bien d’autres) de cloud computing (informatique dans les nuages) : la notion de partage (de fichiers) et l’écriture à plusieurs mains tout comme des situations d’apprentissage qui permettent de passer de la coopération à la collaboration. Vous trouverez des dossiers :

Voici une astuce pour savoir tout ce que Google a appris sur vous Lorsque vous utilisez Google et ses différents services, vous ne le savez peut-être pas mais vous partagez, en réalité, de nombreuses informations que ce géant du net revend ensuite. Ce n'est un secret pour personne, les informations circulent très vite sur le Web et quand elles sont privées, elles se revendent cher. Utilisé par des centaines de millions de personnes, Google ne se prive pas pour se servir de vos informations personnelles. Quand vous utilisez le moteur de recherche, Google Maps ou encore Youtube, vous acceptez en fait de partager vos informations sans le savoir. Celles-ci sont ensuite revendues à des annonceurs qui pourront savoir quels sont vos goûts pour mieux vous séduire. Google se sert des informations que vous rentrez lors de votre inscription comme votre âge, votre sexe, votre numéro de mobile ou votre résidence et analyse aussi vos recherches Internet.

Comment effacer toute trace de vous sur Internet ? Après avoir un peu trop bourlingué sur la toile, certains veulent simplement effacer toutes traces de leur passage, aussi bien sur les réseaux sociaux que sur les sites web. Si c'est votre cas, voici comment procéder. Avant d’aller tenter d’effacer vos vieux compte Multimania, iFrance et MySpace, vous devriez sans doute commencer par aller effectuer une purge du côté du « Big Four », composé du quatuor Facebook, Twitter, Google+ et LinkedIn. En somme, c’est à ces endroits qu’on devrait logiquement avoir le plus de facilité pour consulter et/ou récupérer des informations vous concernant. Facebook ne vous aide pas vraiment lorsque vous désirez effacer votre compte. Vous trouverez l’option dans Réglages > Sécurité > Désactiver votre compte. En fait, si désirez vraiment effacer votre compte Facebook, vous devrez vous rendre sur cette page. Marre de gazouiller ? Rassurez-vous : il existe des outils qui sauront vous aider dans votre démarche :

3 outils pour supprimer ses comptes en ligne Article mis à jour le 25 août 2013 par Fidel Navamuel Savoir créer un compte sur tel ou tel outil en ligne, sur tel ou tel réseau c’est bien. Savoir le supprimer c’est mieux. Vos élèves n’ont souvent pas besoin de vous pour créer des comptes dans la multitude de services que l’on trouve en ligne. Les plus connectés d’entre eux possèdent d’ailleurs souvent de nombreux comptes sans en avoir même l’usage. Voici trois outils en ligne qui vont vous aider dans cette mission que beaucoup de sociétés du net tentent de rendre impossible ! Ces trois sites fonctionnent de la même manière. 1 – AccountKiller. 2 – JustDeleteMe. 3 – DeleteYoutAccount. Trois ressources en ligne qu’il faut mettre dans ses favoris pour pouvoir les retrouver facilement.

ThingLink - Sydologie - toute l'innovation pédagogique ! | Sydologie – toute l'innovation pédagogique ! Vous voulez rendre vos images plus dynamiques ? Alors vous ne pouvez pas passer à côté de ThingLink, non de Zeus ! Le concept est d’une insolente simplicité, vous placez des liens sur une photo qui, une fois cliqués, vous donneront des contenus complémentaires. Dans la pratique, c’est tout aussi simple ! Mais là où Thinglink se distingue de ses concurrents, c’est que la majorité des medias (vidéo Youtube, Spotify, Slideshare, Facebook, etc.) s’intègrent parfaitement au logiciel. Malheureusement, rien n’est gratuit (encore moins la qualité) ! Mais alors comment utiliser cet outil pédagogique (me direz-vous) ? 1 – Carte interactive C’est la base. 2 – Timeline Il est souvent assez compliqué de créer une frise chronologique sans tomber dans la surenchère de texte. 3 – Infographics Les infographics, c’est bien beau, mais quand on veut aller un peu plus loin dans l’explication d’un schéma, ça devient vite illisible ! 4– Restitution de contenu 5 – Décrire une photo 6 – Tutoriel logiciel

Je collabore en classe… et en direct! Faire co-écrire les élèves crée une dimension de responsabilité dès lors qu’ils publient leurs informations “en mouvement” et « à plusieurs mains » : l’écriture collaborative permet de relier les connaissances individuelles des élèves dans un savoir collectif. Comment le professeur-documentaliste peut-il prendre en compte ces compétences à la fois intellectuelles et sociales? Ces conditions pédagogiques peuvent permettre à l’élève d’interagir avec ceux de sa classe, voire en dehors, ajoutant une dimension responsabilisante d’une écriture en ligne qui est “vue” et “lue”. On a pas attendu le numérique pour faire collaborer les élèves. Quelle finalité à l’écriture collaborative? C’est la possibilité de développer des habitudes informationnelles dans une dynamique d’intelligence collective, si tant est que le cadre pédagogique soit bien posé. Entre autres : En pratique? Des exposés collaboratifs : Un thème d’exposé est donné à l’ensemble d’une demi-classe. Travail sur le copier-coller : Comment?

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