
[Dossier] Ce jour où il y aura plus d'incubateurs et d'accélérateurs que de startups La situation est encourageante, tout l’écosystème d’accompagnement se bouscule pour apporter les meilleurs services aux startups en pleine croissance. Pourtant bien souvent, il s’agit aussi (avant tout ?) d’un business rentable pour les acteurs privés et les acteurs publics du développement économique… Les dispositifs de d’accompagnement ou de financement n’ont jamais été aussi nombreux. Les incubateurs et les accélérateurs fleurissent à Paris et dans la France entière. Un phénomène national Les événements sont également plus nombreux que jamais hors Paris, ce qui est presque une révolution en France. Facile d’accompagner, facile d’innover ? Arrivera-t-il un jour où les startups préféreront ne pas se faire incuber? Si les accélérateurs prennent des participations en échange de fonds, d’expertises (hélas pas toujours avérées) et de mentoring, les sorties peuvent prendre plus de temps que prévu. Le climat évolue, les mentalités aussi
Blue Factory ouvre sa 13ème saison d'incubation La Blue Factory est un incubateur de startups, situé dans les locaux de l’ESCP Europe à Paris, qui aide les jeunes entreprises à caractère innovante, à accélérer leur développement. Le programme dure 1 an et les candidatures pour la saison 2013/2014 sont maintenant ouvertes. Depuis 2003, la Blue Factory a accompagné plus de 160 projets dans des domaines divers et variés tels que le design, la mobilité, l’éducation, le web, la culture, etc. A ce jour, des startups comme Bankeez, Carnet de Mode ou encore FinanceTesEtudes. Pour prétendre à la Blue Factory, voici les critères à remplir: Vous portez un projet d’entreprise innovant et soucieux de son empreinte économique, sociale et environnementaleUn membre au moins de votre équipe est étudiant ou diplômé de ESCP EuropeLes statuts de votre structure ont été déposés ou seront déposés au cours des premiers mois d’incubation Pour postuler Tagged Blue Factory, escp europe, incubateur
Vis Ton Choix Billets, Paris - Eventbrite Quantité non valide. Veuillez saisir une quantité de 1 ou plus. La quantité choisie excède la quantité disponible. Veuillez saisir votre nom. Veuillez saisir une adresse e-mail. Veuillez saisir une adresse e-mail valide. Veuillez saisir votre message ou vos commentaires. Veuillez saisir le code comme illustré sur l'image. Veuillez sélectionner la date à laquelle vous souhaitez participer. Veuillez saisir une adresse e-mail valide dans le champ À :. Veuillez saisir l'objet de votre message. Veuillez saisir un message. Vous ne pouvez envoyer cette invitation qu'à dix adresses e-mail à la fois. $$$$ n'est pas une couleur formatée correctement. Veuillez limiter votre message à $$$$ caractères. $$$$ n'est pas une adresse e-mail valide. Veuillez saisir un code promotionnel. s. o. Complet En suspens Vous avez dépassé la limite de temps ; votre réservation a été libérée. Cette limite de temps existe pour garantir la disponibilité de l'inscription au plus grand nombre de personnes possible. Merci. Zut ! Province
[Dossier] Ces pays qui lancent des visas pour les startups Le Canada, le Chili, le Brésil et les Etats-Unis ont tous lancé leur Startup Visa. Pourquoi ces pays sont-ils prêts à accueillir des jeunes entreprises sur leur territoire? Quels sont les avantages et les inconvénients? Soutenir la croissance économique et dynamiser le territoire sont souvent les premières préoccupations des gouvernements. Le Chili a 3 ans d’avance Attirer au Chili les meilleurs entrepreneurs du monde en leur mettant à disposition des moyens financiers et de l’accompagnement, tel est le programme “Startup Chile”. Sur ce créneau, le Brésil emboîte le pas de son voisin, en attirant les startups avec une bourse de 200 000 R$ pour un an, avec un appel d’offres qui a commencé en mars 2013, auprès des startups qui ont moins de 3 ans d’existence. 25% des projets seront sélectionnés parmi les candidatures étrangères. L’Amérique du nord n’est pas en reste Les Etats-Unis ont finalement adopté le “Start Up Act 2.0″ en novembre 2012, alors que le projet avait été déposé en 2011.
Xavier Niel va bien racheter la Halle Freyssinet pour en faire un temple numérique Dans le petit monde du numérique français, c'est un secret de Polichinelle, déjà ébruité par le Monde. Le projet de grand incubateur numérique à la Halle Freyssinet, dans le 13e arrondissement de Paris, sera financé en grande partie par Xavier Niel. Contacté par Challenges, le fondateur de Free, prudent, dit n'avoir "aucun projet abouti" en ce sens. Mais plusieurs sources, à la ville de Paris et à Bercy notamment, nous l'ont confirmé. Les détails restent à finaliser, pour une annonce officielle qui pourrait intervenir d'ici le mois de juillet. L'investissement est très important. Dès le départ, la ministre de l'Economie numérique avait assuré que le projet serait "financé par un pool d’investisseurs français, avec un appui possible de la Caisse des dépôts et consignations".
MOOVJEE | Mouvement pour les jeunes et les étudiants entrepreneurs [Live] "Startups / Grands Groupes : Même univers ?" avec Christophe Agnus et Thibault Lanxade Les Grands Groupes sont-ils des requins, prêts à tout pour mettre la main sur les jeunes startups, exploiter leur technologie et leur expertise? Les mauvaises langues diront qu’il leur suffit de créer un incubateur, puis d’acheter ces startups, que cela coûte moins cher que d’avoir à innover en interne. Décrypter les vrais enjeux des Grands Groupes, c’est tout l’enjeux de cette émission, réalisée en partenariat avec DECIDEURSTV . Dans un précédent dossier, Matthieu Langeard revenait sur la nocivité des Grands Groupes . Pour lui, “ la culture des grands groupes repose sur une logique addictive, manipulatrice et néfaste : celle de la popularité et des bonnes notes. D’un autre côté, Christophe Agnus a su saisir une opportunité pas banale: accueillir au sein de sa startup Sopixi, le PDG du Crédit Agricole, pendant un “stage” d’une demie-journée. A relire sur ce sujet : Tagged a-la-une , Aqoba , Christophe Agnus , Grands Groupes et Startup , Sopixi , Thibault Lanxade
Paris ou province: où monter sa start-up? - L'Express L'Entreprise Raphaël Lombard a fait partie de la délégation d'entrepreneurs français à Las Vegas, au dernier Consumer Electronic Show (CES). Un privilège réservé aux créateurs de start-up de Paris, ou des grandes villes françaises, labellisées "Métropole French Tech" ? Pas du tout. Sa start-up, Tapcards, dans l'univers de la photographie souvenir, il l'a mise sur pied à... Clermont-Ferrand. La preuve que l'implantation géographique de son entreprise ne passe pas obligatoirement par les grandes métropoles. Six mois de salaire assurés Lynda Mence, créatrice du futur site Les Petits Dormeurs, qui proposera des valises de maternité, a fait, comme Rapahël Lombard, le choix de l'Auvergne. Escapade au Cap Ferret C'est souvent dans le désir de conserver ou d'accéder à un certain confort de vie, que l'option province est préférée. Les investisseurs sont partout "Tout est moins compliqué" Il peut aussi y avoir du bon à se trouver dans un environnement à taille plus humaine.
Créer une entreprise, conseils et articles Il faut une excellente idée, du courage et de la ténacité ! Encore faut-il savoir transformer son idée géniale en entreprise viable ! Se mettre à son compte n'est pas une opération facile. Toutefois, l'entrepreneur novice peut vite se sentir submergé face à l'ampleur des informations à collecter et à intégrer. Elaborer un business plan est un excellent moyen pour progresser dans sa démarche en se posant les bonnes questions. Dans la même idée, cette page regorge de publications sur le sujet. Analyses-études Les atouts clés pour réussir son projet Cette étude met en valeur les atouts clés pour réussir son projet de création d'entreprise : les secteurs possédant un taux de pérennité élevé, l'investissement initial un critère discriminant pour la réussite de l'entreprise, l'expérience professionnelle et les diplômes : les principaux atouts du créateur... Articles Créer sa première entreprise Cette publication énonce plusieurs conseils à destination du créateur débutant en devenir. Dossiers
[Infographie] Les 10 points qui font qu'une bonne idée peut devenir une bonne startup Une bonne idée, peut-elle être une bonne idée de startup? Selon le Founder Institute, il existe 10 points importants montrant qu’une bonne idée peut être à l’origine d’un projet solide de startup. Si la pensée moderne tend à dire que l’idée n’est rien et que tout se retrouve dans l’exécution, ces 10 rappels semblent nécessaire pour croire à son projet. Tout d’abord, il est nécessaire d’être passionné par son projet par son idée, qui doit être la plus simple possible à expliquer. Se concentrer sur une seule source de revenue est la clé du début de l’aventure de toute startup, qui se doit de mettre de côté les 3 ou 4 autres projets qu’elle peut avoir. Prendre le temps de définir et cibler ses clients et son marché, sont certainement des rappels importants qu’il ne faut pas négliger. La suite dans l’infographie ci-dessous: Crédit photo: 7 Ceries Tagged Conseils pour monter sa startup, founder institute, infographie, selection-de-la-semaine
L'Archipel | Partenaires Mouvement des entrepreneurs sociaux (MOUVES) LOGO Le Mouves est une association qui fédère et représente les dirigeantes et dirigeants d’entreprises sociales, des entrepreneurs qui placent au quotidien l’efficacité économique au service de l’intérêt général. Pour développer cette autre manière d’entreprendre, le Mouves s’est donné trois missions : faire grandir une large communauté d’entrepreneurs sociaux, sources d’échanges et de propositions ; faire connaître leurs secteurs d’intervention, leurs métiers et leurs solutions et, enfin, contribuer à la création d’un environnement politique favorable à leur essor, partout en France comme en Europe. Ensemble Communications Participatives (avec Simplon.co) LOGO Mettre lien My Little Paris LOGO
Pour penser et agir autrement : La prospective [Startup] Jacques-Antoine Granjon et Xavier Niel rejoignent Marc Simoncini sur #cent1projets Le projet #vingt5projets devient maintenant #cent1projets avec l’arrivée de deux géants du web, que l’on ne présentent plus: Jacques-Antoine Granjon et Xavier Niel. Le projet initialement lancé par Marc Simoncini prend une nouvelle envergure suite aux annonces faites sur Twitter dimanche 23 juin 2013. Ce n’est plus 25 mais 101 projets qui devraient être soutenus à hauteur de 25 000 euros chacun, portés par des jeunes entrepreneurs de moins de 25 ans. Lancée le 23 juin à 10 heures et relayé par Le Parisien, l’opération prend donc un nouvel élan. Les projets déjà reçus dans le cadre de la première opération seraient quant à eux automatiquement ajoutés dans le nouveau projet. @lesmartweb Bonjour, le transfert des #vingt5projets vers #cent1projets est automatique ! Une séance de speed-dating départagera les derniers candidats au cours d’un pitch d’une minute seulement, pour enfin sélectionner les 101 projets qui seront soutenus. X. A relire sur ce sujet: