
http://www.slideshare.net/Bije/diaporama-littrature-ma-version7-13138205
Tartuffe (Molière) Get a translation, a bilingual edition, Español. Comédie. Les trois premiers actes ont été représentés à Versailles pour le Roi le 12 mai 1664. La comédie, entière et achevée en cinq actes, a été représentée au château de Raincy près Paris pour S.A.S. Monseigneur le Prince le 29 novembre 1664 et donnée depuis au public dans la salle du Palais-Royal le 5 août 1667, puis le 5 février 1669 par la Troupe du Roi. La préface de Molière. MADAME PERNELLE, mère d'Orgon.ORGON, mari d'Elmire. La scène est à Paris. Les joutes au moyen age La joute L'épreuve la plus spectaculaire était la joute, au cours de laquelle deux adversaires s'affrontaient directement, à pied et à cheval. Le chevalier défiait son rival en touchant de la pointe de l'épée le bouclier suspendu à son pavillon. Le défi devait alors être relevé. Les joutes donnaient l'occasion d'admirer de superbes tenues. Descendu dans la lice, le chevalier parait son armure resplendissante, manifestant ses sentiments envers sa dame, à qui l'on dédiait le combat : le chevalier portait au bras, sur la lance, ou autour du cou, un voile ou un mouchoir aux couleurs de celle-ci. Puis la joute commençait. Les joutes sont une symbolisation du moyen age, tant par son coté chevaleresque et courtois que par son coté violent. Le vainqueur recevait non seulement le prix mis en compétition, mais aussi les armes, les chevaux et la personne même du vaincu : celui-ci était considéré comme prisonnier et recouvrait la liberté sous une rançon. Histoire de la joute équestre L'équipements
CHEVALERIE Le tournoi medieval à Argenteuil Comment le devenait-on ? Tout jeune, les futurs chevaliers sont envoyés dans un château renommé pour y servir comme page, puis comme écuyer, au service d'un chevalier. C'est leur école de guerre. Au Moyen Âge, les tournois étaient des fêtes qui avaient pour but de divertir le peuple et les nobles gens, mais aussi et surtout de permettre aux chevaliers de s'entraîner à la guerre autant à cheval qu'à pied. Il existait en réalité trois sortes de tournoi. - Le premier est le « pas d'arme ». - Le deuxième est la « joute ». - Le dernier, s'appelait le « tournoi ». Le « pas d'arme » était un tournoi où s'affrontaient les chevaliers à pied, en duel, dans un enclos appelé la Lice. Le « tournoi » consistait en un affrontement entre deux camps, tout au long de la journée et au fil de plusieurs épreuves dont notamment une mêlée. Place des dames et de la courtoisie Les combattants étaient parfois appelés champions. La courtoisie dans les tournois Droits et devoirs d'un chevalier :
Roman de chevalerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Romance. Un roman de chevalerie est une œuvre romanesque, le plus souvent en prose, inspirée ou adaptée des romans courtois et des chansons de geste en vers des XIe et XIIIe siècles. Les premiers romans de chevalerie ont été Lancelot du Lac et Yvain ou le Chevalier au lion, tous deux de Chrétien de Troyes, au XIIe siècle. Le genre littéraire a bénéficié d’une grande popularité au XVIe siècle en Italie avec La Jérusalem délivrée du Tasse, ainsi qu'en Espagne et en France (Amadis de Gaule) et au Portugal (Palmerin d'Angleterre). Le roman de chevalerie a eu un regain de faveur au XVIIIe siècle, en particulier en France avec les adaptations du comte de Tressan, intitulées Extraits de romans de chevalerie, outre sa nouvelle traduction d'Amadis de Gaule.
Légendes VIDEOS Au 17ème Siècle - Références et Liens Livres de Références " Beaux Arts Magasine " " XVIIe siècle " Collection Littéraire Lagarde & Michard des Éditions Bordas " Dictionnaire Historique " de Dominique Vallaud " Histoire de France " des Éditions Larousse 1954 " Les Contes de Fées " de Charles Perrault " Les Fables " de Jean de La Fontaine " Les Reines de France au temps des Bourbons - Les Femmes du Roi-Soleil " de Simone Bertière " Les Rois de France " des Éditions Atlas " Les Rois de France " de Jean-Philippe Guinle " Mazarin - Le pouvoir et l'argent " de Georges Bordonove " Pierre Bayle - Sa vie, ses idées, son influence, son oeuvre " de Albert Cazes (Éds Dujarric & Cie Paris 1905) " Histoire de la Vie et des Ouvrages de Pierre Corneille " de M. J. Effectuer une recherche sur le site ou sur le web Recherche personnalisée Liens de Références
La légende du roi Arthur Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. C'est vers 1150 que la Table ronde est mentionnée pour la première fois dans Le Roman de Brut, œuvre d'un moine anglo-normand, Robert Wace (v. 1110-v.1170). Le symbole de l’idéal chevaleresque Peut-on voir dans l’institution de cette Table ronde une allusion d’origine celtique à une ancienne coutume voulant que les guerriers siègent autour de leur chef ? Elle est, en effet, appelée Table ronde parce qu'elle signe la rotondité du monde et le cours des planètes et des éléments du firmament dans lequel on peut voir les étoiles et les autres astres. La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230