
FORMES ET GESTION DES CONFLITS Le rôle des interprètes en temps de guerre - Dire presque la même chose : traduire dans le Monde 3/4 - France Culture, 23 mars 2011 Accès à l’émission sur le site de France Culture.Durée : 51 minutes passionnantes sur un aspect souvent peu pris en compte. Le rôle de la langue, de la parole. Importance du passage d’une langue à une autre, d’une culture à une autre dans chacun de ces cas avec comme invité, Mathieu Guidère (professeur à l’UTM). Invité(s) :Mathieu Guidère, géopolitologue, spécialiste de veille stratégique multilingue et du monde arabe, Professeur titulaire de la chaire d’islamologie et pensée arabe à l’Université de Toulouse 2Bassam Baraké, professeur de linguistique à la faculté des lettres et sciences humaines de l’université libanaise de Beyrouth, secrétaire général des traducteurs arabesHasseb Hadeed, maitre de conférences à l’université de Mossoul Accès au fichier mp3 Suffit-il de se réconcilier pour avoir la paix ? Suffit-il de se réconcilier pour avoir la paix ?
Guerre et diamants en Sierra Leone, par Andres Perez L’INTERMÈDE aura été de courte durée : la paix signée, en juillet 1999, entre le gouvernement de Freetown et les rebelles du Front révolutionnaire uni (RUF) s’est brisée, début mai 2000, avec la capture de 300 casques bleus par la rébellion. L’arrestation de M. Foday Sankoh, chef du RUF, par les Britanniques, le 10 mai, n’a pas mis fin aux affrontements. par Andres Perez, juin 2000 Aperçu On le savait depuis longtemps : l’économie criminelle peut ronger des Etats et des peuples entiers. Car il ne faut pas se tromper de protagonistes. D’un côté, le camp rebelle, le Front révolutionnaire uni (RUF), véritable maître du territoire, contrôle la moitié du pays et fait régner l’insécurité sur l’autre moitié, rendant impossible toute activité minière lourde comme celle que voudraient démarrer les petites compagnies (« junior companies »). Taille de l’article complet : 2 190 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ?
[herodote.org] « Entre guerres et conflits. La planète sous tension » : un thème-événement que celui de l’édition 2008 du Festival international de géographie, si l’on se souvient du tabou puis de l’extrême réticence des géographes universitaires à intégrer le politique dans le raisonnement géographique, en dépit des travaux d’Yves Lacoste et alors même que la géopolitique est au programme des lycées depuis plus de dix ans. Incontestablement pionnière dans ce domaine, l’équipe d’Hérodote se devait de faire le point théorique et méthodologique sur sa démarche géopolitique mise en œuvre depuis 1976. Cette démarche s’appuie fondamentalement sur le raisonnement géographien intégrant à la fois les caractéristiques physiques et humaines des territoires et leur histoire. Réaffirmation de l’importance du raisonnement géographique dans toute démarche géopolitique, les articles de ce numéro en démontrent, une fois de plus, la remarquable efficacité. Éditorial Béatrice Giblin Les résumés et les articles complets :
Géographie des conflits récents : quelques articles Plusieurs revues et blogs proposent des analyses des plus pertinentes sur les conflits qui se déroulent actuellement. Voici une liste (loin d'être exhaustive !) présentant des situations de guerres en cours ou d'immédiats après-guerres. Cette revue de géographie présente, à côté de ces numéros thématiques, une rubrique des plus intéressantes, intitulée "Sur le vif", dans laquelle les auteurs analysent des moments d'actualité. "La volonté du gouvernement sri lankais d’en finir militairement avec le LTTE a abouti à une catastrophe humanitaire. "En août 2008, le Caucase a été le théâtre d’une guerre opposant la Géorgie à la Russie, à l’issue de laquelle la Russie a décidé de reconnaître la souveraineté de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud, régions sécessionnistes géorgiennes indépendantes de facto depuis le début des années 1990. "La guerre en RDC témoigne du réveil d’une guerre qui couvait depuis des années. Parmi les articles récents, on pourra consulter notamment : Sur les blogs :
Les damnés de la mer : les pirates somaliens en mer Rouge et dans l’océan Indien Photomontage réalisé à partir de clichés de pirates à bord du cargo Faina (© US Navy). Par Alain Gascon, professeur à l’Institut français de géopolitique Université Paris 8, chargé de cours à l’INALCO Depuis environ cinq ans, les navires, reliant la mer Rouge à l’océan Indien par le détroit de Bāb al-Mandab et le golfe d’Aden, subissent les attaques répétées de pirates qui se réfugient dans les ports de l’est de la Somalie. Ce passage, par où transite la moitié du trafic mondial des hydrocarbures, est devenu l’un des plus dangereux du monde avec le détroit de Malacca et le delta du Niger. Carte publiée dans DIPLOMATIE n° 40 (septembre-octobre 2009). Jusqu’à l’arrivée des Portugais dans l’océan Indien, au XVe siècle, les navigateurs et les commerçants ont servi de relais entre Méditerranée, océan Indien et Extrême-Orient. On se presse à la « porte des Lamentations » La bien nommée porte des Lamentations Des empires à la guerre froide… Les damnés de la mer La fuite en avant Les damnés de la mer
Culture et Conflits Le diamant dans la géopolitique africaine Notes Cet article a été rédigé par trois chercheurs au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), établissement public de référence dans le domaine des sciences de la terre pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol. Des missions de recherche scientifique sont confiées à cet établissement autour d’appuis politiques publiques et de coopération internationale et d’aide au développement. Les trois auteurs de cet article font partie de l’unité « Économie, intelligence et développement durable » de la division des Ressources minérales. Jean-François Orru est docteur en géographie humaine (Paris-Sorbonne), diplomé d’un DEA de géographie et géopolitique (Paris III) et d’un Master (Développement des régions tropicales, Paris VII). Il est socio-économiste au BRGM et spécialisé dans la politique du développement durable et les aspects socio-économiques de l’aménagement territorial. Rémi Pelon est ingénieur des Mines. 1 carat (ct) = 0,2 g. Cubains par exemple. F.
Quelle durabilité des formes de régulation des conflits littoraux ? 1 Nous distinguons les conflits des tensions par un passage à l’acte d’une des parties prenantes qui (...) 1Les zones côtières sont des espaces particulièrement conflictuels du fait de la multifonctionnalité de l’espace (fonctions de production, d’exploitation, de consommation, de conservation, etc.), de la multiplicité des perceptions de cet espace, et des mutations rapides qu’ils subissent. Les conflits littoraux - où la dimension environnementale est de plus en plus présente - ne peuvent plus être considérés comme négligeables, car ils interagissent avec les modes de gestion et la cohérence des actions menées sur un territoire (Cicin-Sain and Knecht, 1998, Shipman and Stojanovic, 2007 ; Bruckmeier and Höj Larsen, 2008). De fait, leur prise en compte apparait nécessaire dans les démarches de gestion d’un espace, telles que les initiatives de gestion intégrée de la zone côtière (GIZC) (Vallega, 1999). Arbitrage juridique Régulation par des mesures administratives
Diamants du conflit Global Witness est l’une des premières organisations à avoir attiré l’attention sur le problème des diamants du conflit à l’échelon international. Notre rapport, A Rough Trade, publié en 1998, mettait en évidence le rôle des diamants dans le financement de la guerre civile en Angola. Notre démarche a permis pour la première fois de diriger les projecteurs sur les pratiques secrètes de l’industrie mondiale du diamant. Les pressions croissantes exercées à l’international par Global Witness et d’autres organisations ont joué un rôle crucial en contraignant les gouvernements et l’industrie du diamant à agir pour éliminer les diamants du conflit du commerce international. Que sont les diamants du conflit ? Les diamants du conflit – également connus sous le nom de « diamants du sang » –contribuent à alimenter les conflits violents et les atteintes aux droits de l’homme. L’industrie du diamant a encore beaucoup à faire pour éliminer le commerce des diamants du conflit.
Conflits et guerres actuelles | alterinfonet.org Agence de presse associative Conflits et guerres actuelles La source des trafics Le village de Mongbwalu, dans l’Ituri, au nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), a des airs de Far West : une seule rue poussiéreuse bordée de cafés ressemblant à des saloons ; un hôtel pouilleux à l’enseigne cabossée ; des bandes de jeunes motards qui observent le va-et-vient des passants, comme s’ils attendaient, d’un moment à l’autre, le début d’un duel. Le parallèle n’a rien d’outrancier : ici, comme dans les villes-champignons de la ruée vers l’or aux Etats-Unis, toute l’activité tourne autour du métal précieux. L’Ituri se situe en plein milieu d’une des zones aurifères les plus importantes de la planète. Le sous-sol gorgé de minerais a valu à l’ex-Zaïre, géant de l’Afrique, le surnom de « scandale géologique ». Taille de l’article complet : 3 896 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ? Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site. Accès sans abonnement
La liste des 26 guerres et conflits toujours en cours dans le monde Voici une liste des conflits toujours d’actualité. La tristesse de cette liste est sa longueur ainsi que les nombre de victimes recensées. Les conflits sont classés par le nombre de victimes total qu’ils ont causé. 26 – La Guerre du Crabe entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. Début : 1967 – Victimes : 100 C’est la succession des incidents maritimes frontaliers entre les deux Corées. 25 – La seconde guerre de Tchétchénie Début : 1999 – Victimes : 415 Ce conflit oppose l’armée russe aux indépendantistes tchétchènes. 24 – Les guerres baloutches Début : 2004 – Victimes : 1000 Les guerres baloutches ont connu cinq périodes d’activité. 23 – La guerre du Mali Début : 2012 – Victimes : 2000 La guerre du Mali oppose l’armée malienne aux rebelles touaregs du MNLA (Mouvement National pour la libération de l’Azawad). 22 – L’insurrection dans l’Ogaden Début : 1995 – Victimes : 2000 21 – Le conflit du Sud de la Thaïlande Début : 2001 – Victimes : 3000 20 – La crise du delta du Niger 6 – Guerre d’Afghanistan