
première guerre mondiale, gouvernement, guerre, Photographie, Arthur Mole, John D. Thomas, Philadelphie, oncle sam, Durant la Première Guerre Mondiale, le gouvernement américain commanda à l’anglais Arthur Mole et l’américain John D. Thomas une série de photographies de foules de soldats à fins propagandaires, « patriotiques ». Celles ci devaient représenter des symboles forts, de la cloche fêlée de Philadelphie à l’Oncle Sam.
Documents d'époque, Cartes-photos, Cartes photos écrites, Cartes-postales, Cartes postales écrites, Dans les tranchées, Photos aériennes, Photos autres Il y a quelques temps j'ai récupéré quelques cartes illustrées écrites par un soldat et des membres de sa famille, souvenirs émouvants quand on sait qu'il a été, peu de temps après, tué au combat. (1) Originaire de l'Yonne, il était né et habitait Ancy-le-Franc. Comme tous ses compagnons du front, il profitait d'un moment de repos ou de calme pour écrire quelques mots à sa famille. 2 février 1915 Ma petite femme chérie J'ai reçu ta lettre du 28 janvier hier aussi comme tu me dis que tu vas aller à Paris je te met deux mots a la hâte en arrivant fait repasser les lames de mon rasoir avant de me l'envoyer, je viens d'écrire à Jean et à ma tante Je termine en vous embrassant tous de tout coeur. La suivante est datée du 8 février. Le 15 février il est en passe de remonter au front mais il prend le temps d'écrire ces quelques mots : 15 février 1915 Affectueux baisers a tous. Comme le précise le JMO, son bataillon est affecté au service de garde dans le secteur de Souchez. 7 mars 1915 Henriette
Chronologie de la guerre de 1914-1918 La Grande Guerre Les députés « protestataires » d'Alsace-Lorraine La loi des Trois ans (7 août 1913) Les députés tués à l'ennemi au cours de leur mandat Les comités secrets de la Chambre des députés Marcel Gromaire, La Guerre, 1925, huile sur toile © Musée d'art moderne de la Ville de Paris / Roger-Viollet Cliquer sur l'image Chronologie 28 juin L'archiduc François-Ferdinand et son épouse sortant de l'hôtel de ville de Sarajevo quelques instants avant leur assassinat Cliquer sur la photo L'archiduc François-Ferdinand, héritier au trône d'Autriche-Hongrie et son épouse, la duchesse de Hohenberg, sont assassinés à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) par Gavrilo Princip, jeune nationaliste serbe de Bosnie. 21 - 23 juillet Entretiens franco-russes en Russie. 23 juillet L'ultimatum de l'Autriche-Hongrie est remis à la Serbie. 28 juillet L'Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie. 30 juillet Le tsar signe l'ordre de mobilisation générale de la Russie. 31 juillet Cliquer sur chaque photo 1er août 2 août 3 août 4 août
Le 28 août 1914 : « Grosses pertes, reste 1 050 hommes sur 3 000 » | Matricule 0220 : le blog du poilu Le carnet d’Henri Flamant (Archives familiales, DR) 28 août 1914 Entendons le canon devant nous, du côté de la Meuse vers Montmédy : revue du colonel à 8 heures et demie. Making of Le caporal Henri Flamant, dont nous publions les carnets rédigés au jour le jour, vit la fin de la « bataille des frontières » (10-28 août 1914) visant à retarder, sur la Meuse, l’avancée des Allemands. Le 24 août 1914, Joffre a décidé la retraite de la 5e armée, entre Maubeuge et le massif boisé des Ardennes. Ensuite, fait la soupe, pas de distribution ; je dois manger des conserves. Nous touchons une demie boule [de pain]. Le régiment a subi de grosses pertes, reste 1 050 hommes sur 3 000. La section de mitrailleuses qui ne sait pas où sont restées ses pièces. 29 août 1914 Réveil 4 heures, suis beaucoup mieux ; bois bonne tasse de lait ; jambes faibles ; ventre vide. Fait le café. 30 août 1914 Nous étions préparés à bien dormir, mais à 11 heures du soir : sac au dos. La canonnade devient générale.
Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : autochromes de la guerre 1914-1918 Autochromes de la guerre 1914-1918 1. La technique employée 2. Les photographes Inventé en 1903 par les frères Lumière, l'autochrome est la première photographie couleurs (" en couleurs naturelles ") fabriquée de façon industrielle. Destiné à être projeté, l'autochrome est considéré comme étant l'ancêtre de la diapositive en couleurs moderne. Les photographies présentées ici ont été réalisées par quatre photographes, opérateurs militaires pendant le conflit de la première guerre mondiale : Cuville, Castelnau, Aubert et Albert Samama-Chikli. Castelnau et Cuville ont réalisé leurs clichés en 1917 après le recul des troupes allemandes dans le nord-est de la France et en Belgique. À l’évidence prévues pour être utilisées à des fins de propagande, elles représentent des destructions (bâtiments civils ou religieux, usines, arbres fruitiers, etc.), mais aussi des portraits de civils et de militaires connus ou anonymes. Les photographies d’Aubert n’ont rien à voir avec ce qui précède.
Première Guerre mondiale : elle devait être la “der des ders“ Plus de 60 millions de soldats ont pris part au Premier conflit mondial du XXème siècle, l'un des plus meurtriers : plus de 10 millions de personnes y ont trouvé la mort et environ 20 millions n'en sont pas revenues valides. Cette guerre opposa deux grandes alliances, la Triple-Entente et celle des Empires centraux. La Triple-Entente était composée de la France, de la Grande-Bretagne, de la Russie et des empires qu'elles contrôlaient en tant que grandes puissances coloniales. La coalition des Empires centraux était initialement constituée de l'Allemagne, de l'Autriche-Hongrie et des empires sous leur emprise. L'Empire ottoman les rejoignit en octobre 1914, suivi un an plus tard du Royaume de Bulgarie. La France y engagea ses troupes coloniales, issues de son empire, principalement d'Afrique, constituées d'un million de soldats.
Lazare Ponticelli, immigré italien et dernier poilu français 1Le hasard a voulu que le dernier poilu français fût un immigré italien. Lazare Ponticelli, né en 1897 en Émilie-Romagne, est entré dans l’histoire quelques années avant sa mort survenue le 12 mars 2008, à l’âge de cent dix ans. Ce hasard émerge en fait d’une histoire nationale qui, depuis deux siècles, s’est construite avec l’immigration et s’est nourrie des apports étrangers. Indispensables à la modernisation économique et au peuplement d’un pays menacé par la dépopulation pendant plus d’un demi-siècle, les étrangers ont été de tous les combats, au sens figuré comme au sens propre. Le déclenchement de la Première Guerre mondiale fut un moment emblématique. 2L’un des groupes les plus enthousiastes pour défendre la France, symbole de liberté et de démocratie face aux régimes autoritaires, est celui des “Russes”, en réalité les juifs émigrés depuis les années 1880, fuyant l’Empire des tsars et ses pogroms. 3Ces combattants allogènes allaient être intégrés à la Légion étrangère.
Une nouvelle histoire des mutineries de 1917 Recensé : André Loez, 14-18. Les refus de la guerre. Une histoire des mutins, Paris, Gallimard, coll. « Folio Histoire », 2010. L’historiographie de la Grande Guerre est arrivée à l’heure des refus [1] : la publication de l’ouvrage d’André Loez consacré aux mutineries françaises de 1917 confirme ce basculement. Avec une rigueur et une clarté remarquables, André Loez se tient à distance de ces interprétations consacrées. La crise de désobéissance de l’armée française en 1917 Les mutineries d’avril-juin 1917 ne sont pas un événement mineur et marginal pendant le conflit. Les mutineries, par ailleurs, s’inscrivent dans un « continuum d’indiscipline » (Timothy Parsons [5]) qui traverse le conflit dès son origine. Les mutineries : un mouvement social en temps de guerre Pourquoi les soldats se mutinent-ils ? Le rôle de Pétain La reconstitution de la chronologie précise des mutineries dissipe ce qui reste encore – peu de chose, à vrai dire – de l’aura du Pétain de 1917. Une sociologie des mutins
World War one as interpreted in magazine writings In 2014-2018 the world marks the 100th anniversary of the most profound war in human history. In more than four years of brutal combat civilization was radically changed. The course of modern world history can be traced to the upheavals created by this Great War. The war was universal. And when it was over, new players and new forces emerged from the destruction. To understand the scope and meaning of Great War within its context, this WORLD WAR ONE CENTENNIAL GALLERY offers 700+ magazine articles culled from major journals from the war years. If you appreciate the articles, read the e-novel informed by them —
Photos of The Great War It was supposed to be the war to end all war. For over four years World War I raged on, leaving in its wake a toll of death and destruction such as the world had never seen. These are the images of that time, an eternal testament to all those whose lives were lost or forever altered by The Great War. Une sélection de BD (de 2014 ) sur la Grande Guerre © Putain de guerre, 2014, Casterman 1914-2014, un siècle et une commémoration pour le début d’un conflit qui reste ancré dans la mémoire collective malgré les années. 1914, la guerre devait être courte. Elle durera quatre ans. De 1914 à 1918, 1 700 000 dont 300 000 civils. 900 morts par jour en moyenne pour les Français, 1300 pour les Allemands. Une guerre d’images Le 3 août 1914, à Paris et à Berlin, on part la fleur au fusil. Les caricaturistes, la propagande et les dessinateurs vont ouvrir les hostilités avec des affiches revanchardes pour reprendre l’Alsace et la Lorraine ou Guillaume II, l’empereur allemand, en singe à moustaches. © Sous les cocardes, 1992, Nouvelles Editions Latines 1914 va mal commencer pour la France et ses « Piou-Piou », fantassins à culottes rouges, cibles idéales pour les « Boches » à casque à pointe, vêtus couleur vert de gris. Des années après, Jacques Tardi sera le premier en France à vraiment montrer la réalité sans fard de la Grande Guerre.
Première guerre mondiale La nécropole de Notre-Dame-de-Lorette Cet article date de plus de deux ans. Publié le 08/11/2018 17:28 Durée de la vidéo : 4 min. Article rédigé par Emmanuel Macron est attendu jeudi 8 novembre au Mémorial de 1914-1918 de Notre-Dame-de-Lorette à Souchez (Pas-de-Calais). Ce lieu est rempli d'histoire. 1,4 million de Français tués, plus de trois millions de blessés, des villes et des campagnes anéanties, des populations déplacées. 1914-1918 est un épouvantable carnage en France, mais aussi dans le monde. Partager :