
Cyberdépendance: "Les parents doivent accompagner leurs enfants dans leurs découvertes" 25 millions de Français jouent aux jeux vidéos, 3 foyers sur 4 ont accès à Internet, et 80% des 15-24 ans ont un profil sur un réseau social. Faut-il s'inquiéter d'une éventuelle addiction? Un colloque organisé par l'Union départementale des associations familiales a fait le point cette semaine. Entre 13 et 19 ans, un adolescent passe en moyenne plus de 30 heures devant un écran, quelle qu'en soit la taille. Tous ces outils créent une dépendance selon les spécialistes, qui utilisent même depuis quelques années le terme de "cyberdépendance", "addiction" étant devenu trop réducteur. Une réalité qui fait peur aux parents, moins aux experts, qui tendent à relativiser. "Il appartient aux parents d'accompagner leurs enfants dans la découverte et l'utilisation de ces nouveaux outils, explique le psychiatre Marc Valleur, auteur de "Le jeu pathologique" et praticien au centre de soins et d'accompagnement des pratiques addictives de Marmottan (Paris). Ne pas diaboliser
Le Monde : enfants devant écrans préjudiciable Des chercheurs affirment que l'Académie des sciences a tort de minimiser les effets de la télévison, d'Internet et des jeux vidéo sur les jeunes. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Michel Desmurget, directeur de recherche en neurosciences à l'Inserm ; Laurent Bègue, professeur de psychologie sociale ; Bruno Harlé, pédopsychiatre L'Académie des sciences a publié, le 17 janvier, un avis intitulé "L'enfant et les écrans". Les recommandations avancées sont si surprenantes, au regard des données d'ensemble de la littérature scientifique et des prises de position récentes de plusieurs institutions sanitaires majeures, que l'on peut s'interroger sur le soin apporté à la rédaction de ce travail. Lorsque l'Académie américaine de pédiatrie rédige un avis sur l'usage des écrans, elle fait appel à des spécialistes reconnus du domaine. L'usage veut que les avis officiels soient adossés à l'état du savoir scientifique. Est-ce excessif ? Pas sûr, dès lors, que le rapport bénéfice/risque soit positif.
Vidéo. Quel est l’impact des réseaux sociaux sur le moral des jeunes ? Les yeux rivés sur leur smartphone, pianotant sans répit dans une lumière bleutée, ils tweetent, snapent, chattent. Nourrissent stories, feeds et chaînes, cumulent abonnés, followers ou amis, dans une frénésie de likes, retweets et notifications. Aujourd’hui, plus de neuf jeunes sur dix utilisent quotidiennement les réseaux sociaux. Quel est l’impact réel de ces heures passées en ligne sur des adolescents en pleine construction identitaire ? Anxiété et dépression en hausse Deux faits inquiètent particulièrement les chercheurs : en 25 ans, les troubles de l’anxiété et la dépression auraient augmenté de 70%. "Les réseaux sociaux sont devenus un lieu dans lequel les relations naissent et se construisent, où l’identité se forge" L’enquête #StatusOfMind a été donc été menée par la Royal Society for Public Health et le Young Health Movement sur près de 1500 jeunes de 14 à 24 ans. Au total, 14 critères ont été évalués. >>> L’étude complète ici (en Anglais) YouTube en tête, Instagram bon dernier
Différents moyens de guérison Le Figaro : surexposition aux écrans Qu'ils prennent la forme d'une console de jeu, d'une télévision ou d'un ordinateur, les écrans fascinent tous les enfants. Ce plaisir ressenti par les plus jeunes au contact des images animées pourrait pourtant induire en souffrance mentale quand celles-ci sont consommées à trop haute dose, met en garde un rapport publié le 28 août par le Public Health England*, le département en charge des questions de santé publique au sein du ministère de la Santé du Royaume-Uni. Basé sur l'étude des habitudes de 42.000 enfants britanniques âgés de 8 à 15 ans, ce rapport montre qu'au-delà de quatre heures quotidiennes passées devant des écrans (télévisions, consoles, ordinateur et téléphone portable), le niveau d'anxiété, de stress, et même de dépression augmenterait chez les plus jeunes. Le contact de visu réduit l'anxiété infantile Cet impact négatif serait proportionnel au temps passé devant les écrans. Des initiatives timides » Les enfants mal protégés face à la multiplication des écrans
Selon une étude, les jeux vidéo permettraient d'avoir de meilleures notes Ils ont entre 15 et 17 ans, publient leur quotidien sur Facebook et passent leurs soirées devant les jeux vidéo. Ces jeunes hyperconnectés pourraient voir leurs résultats scolaires augmenter ou baisser, selon leur usage des nouvelles technologies. Super Mario, Tétris et même, Pokémon go? Et si les jeux vidéo permettaient aux jeunes d'obtenir de meilleurs résultats scolaires? C'est ce qu'une étude, menée par Alberto Posso, de la Royal Melbourne Institute of Technology, en Australie, révèle. Le travail, mené avec un panel d'élèves australiens de 15-17 ans, souligne que les jeux vidéo auraient un impact positif sur leurs notes en mathématiques, en lecture et en sciences. Jeux vidéo et éducation, même combat Les étudiants qui s'adonnent, quotidiennement, aux jeux vidéo en ligne, auraient «des notes supérieures de 15 points à la moyenne en mathématiques et supérieures de 17 points à la moyenne en sciences», d'après l'étude d'Alberto Posso. Facebook, mauvais élève Apprendre 2.0
Les dangers des jeux vidéo sur les enfants Les jeux vidéo sont un type très populaire de jeu pour de nombreuses personnes, surtout les enfants qui peuvent passer beaucoup de temps à regarder un écran de télévision ou d'ordinateur pour jouer. Vous devez savoir que la dépendance aux jeux vidéo peut avoir un impact négatif, en particulier dans le développement des enfants. Les parents ont besoin d'avoir une meilleurecompréhension au sujet des dangers des jeux vidéo, en particulier pour vos enfants. Danger sur la santé physique de l’enfant Si un enfant joue longtemps à des jeux vidéo, il fait rarement l’activité physique. Outre que l'obésité, les dangers des jeux vidéo pour la santé physique peuvent aussi amener les enfants à éprouver des spasmes musculaires. Danger sur la psychologie de l'enfant Les jeux vidéo ont un grand impact psychologique sur les enfants. Comment faire face aux dangers des jeux vidéo Il y a plusieurs étapes que vous pouvez faire pour aider les enfants à éviter les dangers des jeux vidéo, tels que: Florence Bayala
Le point : règle 3-6-9-12 «Blue Whale» le jeu morbide des réseaux sociaux qui pousse les ados au suicide Cinquante défis à relever et le dernier : se donner la mort. Dimanche 26 février, dans l’est de la Russie, deux jeunes filles de 15 et 16 ans se jetaient ensemble du toit d’un immeuble. Cette même semaine, en Sibérie, une adolescente de 13 ans était retrouvée grièvement blessée après avoir sauté du 5e étage. Une autre de 14 ans se jetait sous un train. Lorsqu’ils s’inscrivent au jeu sur un réseau social comme Facebook, les joueurs se voient attribuer un administrateur. Se taillader le bras fait partie des défis Certains défis sont softs, comme se lever à une certaine heure de la nuit pour écouter une musique triste, d’autres sont bien plus graves, comme se taillader le bras en forme de mots ou de symboles. À l’heure actuelle, le fait que le jeu soit la cause de ces suicides n’a pas encore été prouvé. Facebook commence tout juste à réagir Depuis le 1er mars, Facebook utilise aux États-Unis une intelligence artificielle afin de détecter les personnes capables d’attenter à leur vie.
Bonjour,
Cet article fournit de très bons conseils détaillés (heures par tranches d'âges) pour les parents, ainsi que les risques liés à un nombre d'heure trop important.
Lucie. by clabe_groupe4_psy Mar 23
c'est bien mais c'est pas assez, voir : by obsolescence May 1
Article du Point de Sophie Bartczak publié le 26/01/2013. Après quelques éléments chiffrés en termes d’utilisation quotidienne d’écrans cet article rappelle les risques et fournit des conseils aux parents par tranches d’âges (règle 3-6-9-12). by mathilde_groupe2_psy Apr 4