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La pédagogie inversée

La pédagogie inversée
(page précédente) La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt? Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Les adeptes de la pédagogie inversée préfèrent donc que les élèves utilisent le temps de classe pour construire, collaborer, lancer des défis, remettre en question leurs apprentissages plutôt que de s’asseoir et écouter. Dans cette philosophie, les technologies sont omniprésentes. Pour lire la suite Related:  Pédagogie

Présentation | Classe Inversée Ce site a pour but d’expliquer le concept de classe inversée à tous les professeurs qui souhaitent avoir un réel impact auprès de leurs élèves et qui veulent connaitre les meilleures méthodes pour développer une ambiance de classe motivante et décontractée. Exemple de classe inversée Ce concept connait un succès grandissant : de plus en plus de professeurs à travers le monde modifient leur façon de “faire la classe” pour passer à un modèle plus pratique et plus humain. Ce modèle part d’une idée très simple : le précieux temps de classe serait mieux utilisé si on s’en servait pour interagir et travailler ensemble plutôt que de laisser une seule personne parler. La classe inversée : plus qu’une méthode, une philosophie Professeur guidant un groupe de travail Il s’agit donc davantage d’une philosophie que d’une méthode à proprement parler. Un modèle plus humain Les interactions deviennent plus conviviales Les avantages de ce modèle sont multiples, mais le principal est la liberté qu’il procure.

La classe inversée, un modèle à suivre pour l’école numérique ? Pas certain… Les microcosmes éducatifs ne bruissent que de ça… Après les MOOC et les tablettes, la classe inversée est, semble-t-il, au cœur de la réflexion de tous ceux qui veulent bien se préoccuper de faire avancer la pédagogie et de la mettre en adéquation avec son temps. Écrivez un article avec, dans le titre, l’expression « classe inversée » ou, mieux, « flipped classroom » qui fait tout de suite plus branché et vous verrez votre notoriété en ligne atteindre des sommets. Pour tout vous dire en secret, ce billet n’a d’autre but que celui-là… L’état de l’art Faisons le point. Sitôt « débarquée » de la DNE, l’été dernier, Catherine Becchetti-Bizot s’est vue confier une mission d’étude « des pratiques mobilisant des pédagogies actives liées à l’utilisation des outils et ressources numériques » à laquelle elle travaille d’arrache-pied, parcourant la France pour y rencontrer les collègues qui pratiquent la classe inversée. Les interrogations, les doutes Redécouverte des pédagogies actives ?

La Classe Inversée « Enseigner avec TNT Pour lire mon rapport sur mes classes inversées, cliquez ICI (pdf, 3 Mo)Une liste d’articles sur la classe inversée, compilée par Pédagogie Universitaire La classe inversée, c’est quoi ? C’est une façon différente d’enseigner et d’apprendre. Cette façon de faire est utilisée aux États-Unis au niveau primaire, secondaire, collégial et universitaire depuis 2007. Les étudiants devaient s’approprier les contenus à la maison au moyen de vidéos sur YouTube et ils devaient utiliser le blogue du cours pour communiquer … C’était beaucoup de travail, mais cela en valait la peine! La classe inversée en image En vidéo La classe inversée, c’est quoi ? Et voici certains trucs pour inverser sa classe avec succès Comment ? Transformer des notes de cours en vidéo Créer des tableaux individuels effaçables pour les vidéos ou pour le travail collaboratif étudiant. Liens utiles Voici certains articles en français mentionnant le modèle de la classe inversée et son utilisation par des pédagogues engagés: Autres sites :

La classe inversée n'a pas réponse à tout Il y a eu les Mooc, il y a désormais la classe inversée. Si la méthode n'est pas vraiment nouvelle, elle suscite l'intérêt d'une communauté enseignante de plus en plus attentive à la pédagogie dans l'enseignement supérieur. Preuve s'il en faut : les ateliers sur le sujet ont fait salle comble lors d'un colloque organisé à Brest du 15 au 17 juin 2015 sur les questions pédagogiques. À cette occasion, AgroParisTech et l'École de biologie industrielle ont présenté leurs expérimentations, soulignant des avantages mais également des limites. Des étudiants plus actifs À AgroParisTech, Valérie Camel a transformé une partie de ses cours magistraux en classe inversée, en licence 3 et master 1. Côté étudiants, c’est plutôt un succès : "Ils trouvent l’approche novatrice et formatrice, mais cela leur demande plus de temps de travail qu’un cours traditionnel", décrit Valérie Camel. Des cours difficiles à étudier seuls, en amont Une méthode pas adaptée à tous Les Mooc sont-ils "pédagogiquement pauvres" ?

La pédagogie inversée La pédagogie inversée : les flipped classrooms : de nouveaux espaces-temps pour enseigner et apprendre à l'ère numérique Conférence de Marcel Lebrun, professeur à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'éducation de l'UCL de Louvain ; Le mercredi 3 Octobre 2012 lors du Forum@tice Document support de la conférenceLe blog de Marcel Lebrun A propos de la pédagogie inversée Qu'est-ce que c'est ? Marcel Lebrun : livres, articles, conférences Des technologies pour enseigner et apprendre (édition De Boeck)Théories et méthodes pédagogiques pour enseigner et apprendre : quelle place pour les TIC dans l'éducation ?

Réfléchir avant d’inverser la classe - Faculté d'éducation 22 avril 2014 Sarah Saïdi Dans le monde de la pédagogie, deux mots circulent sur toutes les lèvres : classe inversée. La rumeur grandissante a poussé Isabelle Nizet et Florian Meyer, professeurs à la Faculté d’éducation, à tester eux-mêmes cette méthode pédagogique dans le cadre d’un cours d’évaluation du baccalauréat en enseignement au secondaire. Durant trois semaines, les étudiantes et étudiants d’Isabelle Nizet ont visionné à la maison 16 courtes capsules multimédias portant sur des concepts théoriques précis. Quant aux étudiants, ils espéraient surtout mieux comprendre la matière pour réaliser de meilleurs travaux. Par contre, plusieurs auraient voulu que la professeure valide davantage en classe leur compréhension des contenus des capsules. Tout compte fait, même si la grande majorité des étudiantes et étudiants ont apprécié l’expérience, les commentaires reçus sont plutôt polarisés : on adore ou on déteste la classe inversée. Des leçons pour le professeur Pas une recette

Aménagements pédagogiques spécifiques pour l'enfant dyslexique Ce document est distribué par un centre référent lyonnais. Il donne les aménagements pédagogiques spécifiques pour l'enfant dyslexique. A donner aux enseignants ... Aménagements pédagogiques spécifiques pour l'enfant dyslexique Accès à la connaissance Laisser plus de temps pour la lecture des consignes ou demander à un camarade de lire la consigne à haute voix.S'assurer que toutes les consignes écrites soient bien comprises avant la réalisation : les reformuler.Pour l'apprentissage de la lecture, aider l'enfant à nommer, repérer et segmenter les phonèmes et les autres unités sonores avec des codes de couleur ou des gestes (S. Restitution des connaissances Notation Autres Conseils pédagogiques généraux

De retour en classe… inversée : enthousiasme, scepticisme et recherches par Jean-Sébastien Dubé Depuis notre article de novembre 2011, la popularité grandissante de la classe inversée ne se dément pas, qu’il s’agisse de l’augmentation du nombre de membres du Flipped Learning Network (de 2500 fin 2011 à 15 000 en octobre 2013), de la multiplication d’articles, de recherches et de rapports d'expériences ou des quelques monographies qui ont été écrites sur le sujet, notamment Flip Your Classroom: Reach Every Student in Every Class Every Day, de Bergmann et Sams (2012). D’après ces derniers, à qui l’on attribue la paternité du modèle, la classe inversée n’est PAS un «… synonyme de vidéo en ligne. La plupart des gens qui entendent parler de la classe inversée pensent d’abord aux vidéos. Les «piliers» du modèle Quant à eux, Hamdan et al. (2013) rappellent que chaque classe inversée est distincte, mais que certains principes, résumés par l’acronyme FLIP, sont à la base du concept. Un scepticisme de bon aloi L’apport de la recherche Sources Hamdan, N., P.

4 stades de perturbation de l’apprentissage traditionnel par les TIC Il existe une bonne variété de modèles théoriques pour situer l’enseignant dans son progrès technopédagogique (SAMR, ASPID, Raby, matrice MIT, etc.). En voici un qui s’intéresse aux élèves. Je suis tombée sur cette infographie diffusée sur Twitter par le site américain TeachTought. Elle présente 4 stades d’intégration de la technologie non pas dans l’enseignement, mais dans l’apprentissage. En voici une traduction et une adaptation libres : Premier stade : Apprentissage dirigé L’apprenant utilise la technologie de façon dirigée. L’apprenant est dirigé dans le choix et l’utilisation constructiviste de la technologie à des fins d’apprentissage, mais c’est souvent pour accomplir des tâches purement académiques (qui seraient entièrement réalisables sans la technologie). Deuxième stade : Apprentissage encadré L’apprenant accède à de nombreux réseaux, mais nécessite support, encadrement et planification pour en tirer profit au niveau de l’apprentissage. Troisième stade : Apprentissage mobile.

Twitter en philo : des gazouillis dans le vent L’utilisation pédagogique de Twitter comme outil de microblogging et de réseau social est stimulante, notamment par son architecture ouverte et asymétrique, même si la briéveté des messages et l’interface austère restent des obstacles à la conversation. Dans le cadre de mon enseignement [1], j’ai essayé cet outil assez simple et « dans le vent » de deux manières : pour la diffusion et pour l’interaction. Diffuser et interagir Dans le cadre de mon cours de philosophie, Twitter m’a permis de générer un flux d’informations (RSS), consultable sur la page d’accueil de mon site ou en suivant directement www.twitter.com/profphilo. Par ce canal, j’ai diffusé des informations liées au cours, au programme de philosophie et à l’épreuve du baccalauréat, activant en cela la fonction blogue de Twitter. Je compte poursuivre cette utilisation modeste de Twitter, qui a été satisfaisante. Une invitation à dépasser les murs de la classe Un outil peu adapté à des échanges suivis

Numérique et travail collaboratif : des élèves « acteurs » Avec des outils numériques, les élèves de Jean-François Tavernier, prof d'histoire-géo, décryptent ensemble des documents iconographiques. Et deviennent acteurs. Marqueed permet aux élèves de travailler ensemble autour de l’oeuvre de Hans Holbein, “Les Ambassadeurs” (1533) “Les études sur l’intérêt du travail collaboratif et de l’échange entre pairs pour l’apprentissage sont aussi anciennes que l’école, on en parlait déjà bien avant le numérique.” Ainsi Jean-François Tavernier, professeur d’histoire-géographie au collège de Barr (Bas-Rhin), introduisait-il la présentation de son atelier, “Quelle plus-value du numérique dans le travail collaboratif”, lors des Net Journées, les 25, 26 et 27 mars 2015. « De nouvelles situations d’apprentissage » “Que change le numérique ? Framapad est un logiciel d’écriture collaborative, qui permet aux élèves de rédiger ensemble un seul et même texte. Qu’apportent les outils numériques au travail collaboratif ? Plus loin que les photocopies Fabien Soyez

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