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Bonheur

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le canard de fiction, voir Gontran Bonheur. Le bonheur se lit sur le visage de cet enfant. Définition[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». augere, auctus : « s'accroître » qui a donné augmenter…auctor : « qui fait croître », « fondateur », « auteur », qui a donné auteur, autoriser, autorité, octroyer… Du point de vue de l'étymologie, le bonheur est l'aboutissement d'une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère. Bonheur et plaisir[modifier | modifier le code] Le bonheur et le plaisir sont deux notions qui portent à confusion. En philosophie[modifier | modifier le code] Épicure (3eme s. av JC)[modifier | modifier le code] Blaise Pascal (XVIIe siècle)[modifier | modifier le code] Qu’est-ce que le bonheur ?

Manipulation mentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau La manipulation mentale est l'ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Quand ce pouvoir ne s’exerce pas sur un objet, mais se rapporte au contrôle psychique d’une personne, on parle de manipulation mentale[1]. Cette notion protéiforme est récente dans ses contours, dérivée de la théorie du « lavage de cerveau » encore mal connue. Notion controversée[modifier | modifier le code] Arnaud Esquerre, sociologue, pose les questions « Qu’est-ce qui distingue un consentement fabriqué d’un consentement non fabriqué par quelqu’un d’autre ? La manipulation mentale est un élément de compréhension essentiel de certaines dérives pour les uns, mais une thèse réfutée pour les autres[5]. En France

Liberté Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le sens commun, la liberté s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre. Cette notion renvoie à une double réflexion : d'une part sur la liberté en tant que questionnement sur la capacité de choisir et de faire ,d'autre part comme questionnement sur l'exercice concret de ce pouvoir de choisir et de faire. Dans la mesure où ces deux perspectives se recoupent de diverses manières, leur chevauchement peut provoquer des erreurs d'interprétation dans les analyses et la confusion dans les débats. Définition[modifier | modifier le code] D'un point de vue sémantique, on peut considérer la liberté comme étant l'ensemble de possibilités (ou de contraintes) qui sont physiquement ou socialement applicables à un individu. Liberté et possibilité de choix[modifier | modifier le code] L'existence d'un degré de liberté suppose que le sujet soit confronté au moins à une alternative.

La source du bonheur est dans notre cerveau Et si le bonheur, c’était vraiment dans la tête ? Une piste scientifique sans doute insuffisamment explorée, que nous explique un PDG-philosophe, dans son dernier ouvrage. Jacqueline Demornex Christian Boiron Heureux, Christian Boiron, 50 ans, l’est, visiblement. Psychologies : Qu’est-ce qui vous a poussé, vous, chef d’entreprise, à écrire un essai sur le bonheur ? Christian Boiron : Adolescent, j’avais tout pour être heureux. Mai 68, c’est loin. Cette définition du bonheur, fondée pour la première fois sur des bases scientifiques, entraînait logiquement celle du malheur : le « malheur » provient d’un désaccord entre les trois cerveaux et se manifeste par un « état d’urgence de l’instinct». Que sont les états d’urgence de l’instinct ? Le cerveau reptilien envoie alors un signal à la conscience — c’est l’état d’urgence —, qui entraîne colère, anxiété ou abattement. Un exemple ? Une vie entière peut être gâchée, faute de connaître ce mécanisme somme toute assez simple.

Persuasion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La persuasion, du latin persuasio, est l'action d'amener quelqu'un à quelque chose, à croire, à faire, à vouloir, à convaincre, « à la faveur d'une connivence »[1]. « L'art de persuader a un rapport nécessaire à la manière dont les hommes consentent à ce qu'on leur propose, et aux conditions des choses qu'on veut faire croire »[2]. Les anciens qui ont défini l'éloquence, le talent de persuader, ont distingué persuader de convaincre, le premier de ces mots ajoutant à l'autre l'idée d'un sentiment actif excité dans l'âme de l'auditeur et joint à la conviction[3]. Avant-propos[modifier | modifier le code] La persuasion vise à faire, sans expliciter toujours son but. Introduction[modifier | modifier le code] La persuasion, « cette souveraine toute-puissante des hommes »[5], appartient au domaine de l'influence, elle n'est qu'une péripétie de l'action sur autrui. Quelques méthodes de persuasion[modifier | modifier le code] le contrôle de l'esprit

Rêve Le rêve est une «disposition de l'esprit généralement nocturne, survenant au cours du sommeil, et qui procure à l'individu éveillé des souvenirs nommés eux aussi rêves». Au cours de l'histoire et des civilisations, le rêve a été un moyen de s'affranchir du temps et de l'espace ordinaire, pour accéder au surnaturel, aux ancêtres, au divin, ou encore comme un moyen de guérison, de connaissance et de révélation. L'approche rationnelle et scientifique en fait un processus ancré dans le corps et lié à l'activité cérébrale au cours du sommeil. Le rêve pose toujours la question de son sens et de sa signification, ou de son rôle et de sa fonction (approches philosophique, psychodynamique, neurobiologique...). Dans les arts et la littérature, le rêve représente la « vie rêvée » au sens de projet chimérique ou de représentation d'un autre possible. Ce peut être aussi bien de l'agir (espoir, recherche...) que du pâtir (errance, déception...). Étymologie du mot « rêve »[modifier | modifier le code] W.

Centre Paramita - Sources du bonheur Tous les êtres sensibles partagent ce même souhait : trouver le bonheur et éviter la souffrance. Peu importe notre âge, notre sexe, notre race, notre culture, ce besoin est identique à tous. Cela n'est pas seulement vrai pour les êtres humains, mais aussi pour les animaux et toutes les sortes d'êtres sensibles. Pour trouver ce bonheur, il importe avant tout de connaître les causes et conditions réelles qui y contribuent. Si on regarde la source de nos problèmes et souffrances, on pourra voir que ce sont nos propres perturbations mentales et notre sentiment exagéré d'auto-préoccupation. Par ailleurs, si on y réfléchit bien, on verra que, de même qu'un champ bien cultivé nous est bénéfique et source de profit, tous les autres êtres sensibles sont bonté et profit pour nous. Malheureusement, nous souhaitons tous le bonheur, mais à cause de notre ignorance, nous agissons bien souvent de manière à nous causer du tort. (Mantra de la compassion)

Influence (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie, l'influence est le processus par lequel une personne fait adopter un point de vue par une autre. L'influence opère une inflexion : celui qui aurait pensé ou agi autrement s'il n'était pas influencé se dirige dans le sens que souhaite l'influent de façon apparemment spontanée. Cette notion d'influence peut recouvrir aussi bien : des phénomènes de persuasion (A convainc B de la vérité d'une proposition X ou de la valeur Y, ou encore il le persuade d'adopter le comportement Z)que des phénomènes d'imitation ou mimesis, au sens où l'on dit, par exemple que B est sous l'influence de A parce qu'il l'admire, qu'il désire l'imiter, gagner sa reconnaissance, partager un peu de son prestige... L'influence est souvent celle d'un groupe. L'influence s'exerce aussi par des réseaux : des ensembles stables de relations humaines qui agissent dans le même sens et souvent échangent des informations précieuses, des services... G.

Force (vertu) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir force. Sur les autres projets Wikimedia : Force (vertu), sur Wikimedia Commons Portail de la philosophie Courage Centre pour le Progrès Bénéfique du Dharma: Les Sources du Bonheur D'abord, nous-mêmes ainsi que les autres, nous désirons le bonheur et souhaitons éviter la souffrance. Ces sentiments de bonheur et de souffrance doivent être compris par tous, car c'est identique pour tout le monde. Ensuite, il faut reconnaître les causes et conditions qui apportent le bonheur et la souffrance. Quelles sont ces causes et conditions? Par ailleurs, de même qu'un champ bien cultivé nous est bénéfique et source de profit, tous les autres êtres sensibles sont bonté et profit pour nous. Il y a plusieurs sortes de souffrances provenant de nos actes et de nos afflictions mentales. Il est important d'y faire attention. D'un autre côté, le développement des qualités de l'amour, la compassion, l'humilité, la patience ou la sagesse sont sources de toutes les joies du monde. Les états de bonheur et de souffrance sont des visions créées par notre esprit. De toutes façons, nous devons tenter de faire du mieux de nos capacités pour ne pas être déçus de nos actes à la fin de notre vie.

Biais cognitif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un biais cognitif est un schéma de pensée, cause de déviation du jugement. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à la réalité. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Ces travaux ont identifié de nombreux biais cognitifs propres à l'esprit humain [réf. nécessaire] à travers de multiples domaines : perception, statistiques, logique, causalité, relations sociales, etc. Liste de biais cognitifs[modifier | modifier le code] Biais sensori-moteurs[modifier | modifier le code] Biais attentionnels[modifier | modifier le code] Biais d'attention (en) — avoir ses perceptions influencées par ses propres centres d’intérêt Biais mnésique[modifier | modifier le code] Biais de jugement[modifier | modifier le code] Biais de raisonnement[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Violence Taux de violence physique pour 100 000 habitants par pays en 2002[1]. Pas de données Moins de 200 200-400 400-600 600-800 800-1000 1000-1200 1200-1400 1400-1600 1600-1800 1800-2000 2000-3000 Plus de 3000 La violence est l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Selon l'OMS[2], la violence est l'utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l'encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d'entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou un décès. La violence est observable chez les humains comme chez les animaux, ce qui indique sa signification évolutive et biologique[3]. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot violence vient du latin vis, qui désigne l'emploi de la force sans égard à la légitimité de son usage[4]. Typologies des violences[modifier | modifier le code] Phillip L. Livres

L'immigration : que du bonheur ? Non, l’immigration n’est pas que du bonheur. En tout cas pas pour tout le monde, et encore moins pour la grande partie de la population, et les « inconvénients » de l’immigration vont devenir de plus en plus importants si l’on continue au même rythme et, pire encore, si nous devions faire face à une situation de crise économique. A quand une présentation plus complète faisant état de l’ensemble de la situation, des avantages, des problèmes et inconvénients de l’immigration, car personne ne croit à l’avenir radieux d’une immigration circulant librement,sans limites et sans frontières. Ces deux illusions ont déjà entraîné de nombreux réveils et désillusions. Premier remarque : il est faux, inacceptable et certainement contreproductif d’affirmer que le fait de soulever des problèmes, souvent graves qui sont intervenus peu à peu avec l’immigration et qui ne peuvent aller qu’en s’accentuant si l’on ne réagit pas, c’est être xénophobe, anti-étranger, raciste, etc. PS.

Quatre causes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie aristotélicienne de la causalité désigne la conception de la causalité développée par le philosophe Aristote. Forgée au IVe siècle av. J. La cause matérielle[modifier | modifier le code] Il s'agit de la cause la plus inaccessible, la moins connaissable, bien qu'elle soit en même temps la plus évidente. Et s'il est possible à l'intellect de l'homme de dégager la forme de la matière, ce qui rend la connaissance possible, il ne lui est pas possible d'envisager la matière seule, pure. Dans les concepts fondamentaux d'Aristote, la puissance est associée à la matière. La cause formelle[modifier | modifier le code] La cause motrice ou du changement[modifier | modifier le code] Les disciples d'Héraclite affirmaient qu'il était impossible de connaître quoi que ce soit[réf. nécessaire], du fait que toute chose est en mouvement permanent — ce pour quoi Platon proposera sa théorie des Formes, ou Idées, immuables. Portail de la philosophie

» Erreur et illusion Dans les deux cas l’esprit a un rapport imaginaire à la vérité. Il erre loin d’elle mais si dans l’erreur il se trompe, on peut dire que dans l’illusion il est trompé. L’une est le signe d’un manque de connaissance et l’aveu d’une imprudence de l’esprit. (Sauf dans la recherche scientifique où le risque de l’erreur est instrumentalisé pour discriminer le vrai du faux). L’erreur est donc la marque d’une faiblesse. L’erreur procède d’ordinaire d’un défaut ou d’un manque de connaissance. Si l’on prend acte de la démarche scientifique on s’aperçoit qu’il y a une fécondité de l’erreur dans la mesure où l’esprit ne s’enferme pas en elle. Ce n’est pas le cas avec l’illusion. L’illusion consiste (illudere : se jouer, se moquer de) à prendre des fictions pour des réalités. Il s’ensuit que l’illusion est réfractaire à la confrontation au réel. Les illusions sont vraiment une prison en ce qu’elles sont l’effet-cause de l’aliénation radicale de l’esprit. Freud, L'Avenir d'une illusion. Partager :

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