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Zoupic, le propre de l'om

Zoupic, le propre de l'om

FAIR Plusieurs membres du FAIR ont été conviés individuellement à participer aux travaux des quatre réunions de la Commission de concertation sur les indicateurs complémentaires au PIB (Florence Jany-Catrice, Dominique Méda, Géraldine Thiry, Patrick Viveret) et ont assisté aux trois premières réunions (17 février, 3 mars, 17 mars). L’objectif de cette Commission coprésidée par le CESE et France Stratégie est de « proposer un tableau de bord d’une dizaine d’indicateurs afin d’éclairer les décisions de politiques publiques. Ce tableau de bord pourrait notamment répondre aux attentes de la proposition de loi visant la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse dans la définition des politiques publiques, proposition de loi adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale mercredi 29 janvier 2015. FAIR se réjouit de voir la thématique des nouveaux indicateurs de richesse progresser lorsqu’elle contribue à aller au-delà du PIB. Lire la suite...

La Plume d'Aliocha Menteurs, voleurs, tricheurs : tout est bon pour les voyous de la dette ! « Avant 1973 l’Etat Français opérait par avance de trésorerie auprès de la banque de France sans intérêt qu’il remboursait les années suivantes. Le déficit était alors insignifiant. » Avant 1973, l’Etat n’empruntait pas, tout simplement. Il y utilisait certes la BDF comme trésorerie, ce qui augmentait l’inflation, donc, on a bien fait de supprimer cette arnaque. Par ailleurs, le fait d’emprunter ne justifie en rien la situation actuel. L’Etat pourrait sans problème emprunter en début d’année et rembourser avec intérêt en fin d’année, comme le fait toute entreprise (et l’Etat est une entreprise comme les autre, juste plus grosse). Ce n’est évidement pas la voie choisie, qui a était celle de l’endettement massif auprès des marché financier par démagogie populiste (retraite à 60 ans, 80% de bachelier, 20% de hlm partout, nationalisation, rmi, etc, etc, etc,.). Si l’Etat emprunte à la BDF, comme ne 73, et bien les prix augmenteront pour annuler cette création monétaire, voila tout !

Mais qui ramassera les poubelles? J’ai obtenu l’autorisation de traduire et de diffuser un article qui m’a beaucoup parlé. Il s’agit d’un texte de Charles Eisenstein, un chercheur en “Economie Sacrée” (j’adore), qui répond à une question que j’ai entendu de nombreuses fois dès que j’évoque le modèle de société vers lequel l’humanité va évoluer: Mais qui ramassera les poubelles (dans ta société idéale)? Il est rafraîchissant de lire ainsi sa réponse, et de s’initier à sa vision des choses, qui me bouleverse, tellement elle répond à une aspiration profonde. Permettez-moi tout d’abord d’introduire Charles en incluant la bande annonce du film Occupy Love, par lequel j’ai découvert ses propositions. (Pour soutenir la production du film, vous pouvez verser un montant de votre choix sur le site de Crowdfunding Indiegogo) Les sites de Charles, où vous pouvez télécharger ses livres gratuitement:www.ascentofhumanity.com/ (vous y trouverez l’article original), et sacred-economics.com/ et son blog: charleseisenstein.net/

com | Accueil The Fertile Unknown Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles Interview La crise financière est en train de dévoiler un long processus de re-exploration d’idées anciennes et de valeurs oubliées, explique Charles Eisenstein dans cette interview. Pour ce penseur, la réponse à la crise se trouve dans la magie du don et la narration d’une nouvelle histoire. Charles Eisenstein est probablement l’un des auteurs les plus avancés dans la catégorie de la pensée intégrale avec sa spécialité : l’économie du don et la monnaie. Son dernier ouvrage, “L’Économie Sacrée“, est une bible de réflexion sur la valeur et l’argent dans la société actuelle et surtout celle de demain. Nous avons eu la chance de discuter avec Charles et de le faire parler sur sa vision de la nouvelle histoire que nous devons écrire. Un article traduit de l’anglais par Marianne Souliez. Cela fait cinq ans que la crise des subprimes a commencé et a fait s’effondrer le système financier… Et on dirait que rien n’a changé depuis ! Charles Eisenstein: Tu as raison. Charles Eisenstein in Amsterdam.

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